Alexander
Kiriyatskiy
poésie
Pavlenski
Sur la place de Bastille,
Votre banque vous brille
Par la consécration de l'artiste
Qui ne joue aucun rôle
Et ne sait nulle parole
En français, car l'absurde bien triste
Fait détruire ma Russie,
Au barbare vous dîtes: "Si
Tu blessais tes femmes russes, sataniste,
Tu serais, Pierre génial,
Notre peintre du mal,
Qu'à Paris l'art du diable existe."
L'homme n'a rien dessiné.
Mais l'Europe l'amenait
Au triomphe parfait des violences.
L'on coupe l'art de peinture
Par le feu des blessures
Pour monter à sa reconnaissance.
La Russie l'a permis
De trouver ses amis
Entre les journalistes qui dansent
À côté du bandit.
Pour Poutine, l'âne rôtit
Ses palais pour quelle indépendance?
L'âme attend la police.
À Moscou, celle-ci puisse
À conduire vers le dur héroïsme.
Pierre répète cette action
Pour la révolution
À Paris, l'on l'appelle l'extrémisme
Par dix ans de prison...
À Moscou nous disons
Qu'en Russie l'on cultive l'égoïsme,
D'où l'Europe sans trésor
Nous approche de nos morts
À travers son "naïf" daltonisme.
À mon sauveur d'Alpes
Vive Robert JAGGI // par l'étoile du Comte
Qui me brille en Suisse, // sauve parmi mes ondes.
Leurs derniers dix ans // de ma vie racontent
Comme Il m'a aidé à bien vivre contre
Mon décès - sans droit // d'exister par l'ordre,
Où ce Noble crée // mon espoir au bord de
Son canton Valais... // Que je sois une ombre,
L'ennemi de Dieu désirait nous mordre
Par l'esprit tombé. // Et l'enfer L'infecte
Comme mes deux amis // pour chaque aide directe
À ma vie d'Europe. // La santé correcte
De Robert s'oppose, par l'histoire, aux sectes.
L'origine soutient // Don JAGGI qu'il reste
En Antiquité... // Le Moyen Âge déteste
Le sénat sans voix // et Boèce. L'âme teste
Quinze siècles par sa sagesse funeste.
Ce nom de famille // du sixième dur siècle
N'oubliait jamais // le soleil des règles.
Aux époques du mal, // il volait comme aigle:
Aux paysans, du ciel - défendait leur seigle.
Sur lui regardaient // tous ses sages ancêtres
De leur Paradis. // Ses parfaites fenêtres
Voient Robert JAGGI // de la Terre pour l'Être
Des justices divines à travers ce maître.
Alexandre Galitch:
Danses des bourreaux
Mal dormaient les bourreaux? Dis à chaque nuit,
Ces bourreaux ont visité leurs amis,
Mais ils ne lésinent pas les vivres beaux,
Alimentent chaque ami des bourreaux.
Sur la table, ils vous mettent le mollet,
Car ils boivent ce tort cognac au soufflé,
Coulent le thé aux ivrognes par l'alcool.
Le muffin donne le biscuit de "Salut",
Où les maîtres vous touchent vos épaules
Et glorifient Staline "sage" et voulu.
Ils chantent très sincèrement à ce symbole.
Sur la garde sommes-nous, disent les bourreaux,
Quand revient-t-il? Vers nos Êtres moraux,
Apparaisse vite au Politique Bureau,
Lève-toi, Père, enseigne-nous par ce cours aux
Rogues sur les pains blancs des communistes,
Vois les larmes bouillantes plus chaudes.
Et aux âmes des bourreaux il est triste.
Prenez-les en pitié par leur mode:
Vers la nuit, souffrent trop tous les bourreaux,
Aux tyrans ont nombreux mots très gros.
Et pendant notre vie adroite des rots:
Par les gueules, ces "pierrots" frappent nos héros.
Comme jadis fut la jeunesse militaire.
Battent les jambes sous les plexus solaires,
Tuent un cri aux larmes des tortionnaires.
Les étages sautent et disent leurs paroles
Aux médecins d'urgence et vers
La tristesse de Staline, l'on rappelle ce symbole,
Et l'on chante sincèrement à l'enfer.
Il y avait un ordre, disent les bourreaux,
Et l'aisance des Biens Êtres moraux,
Ton affaire nage au Politique Bureau,
S'il te plaît, reçoive-le de ce cours aux
Forts gardiens qui respirent par l'oxygène,
Ne crie pas, car ta voix n'est personne,
Les tourmenteurs avaient une peur de chienne
Prenez-les en pitié par leurs zones. 1
____________
1 - C'est la traduction poétique en français d'Alexander Kiriyatskiy
Al. Kiriyatskiy en russe (Youtube)
Sergueï
Alexandrovitch Choumilov
Aujourd'hui et en France, Galitch est la
bête,
Téléphone au cent quinze, l'on bat mes poètes.
Réfugié, par ton front, un drogué rompt l'assiette,
Mange comme ces français sans raison et sans tête
Ta Russie se rappelle dans mon
cœur
Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,
Dors sans pied!
Réveilles-toi à six heures
Hors des fêtes!
Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir
Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le plaisir.
L'âme sauvage voudrait tuer l'autre forme pour rire,
Trouve la cause claire afin d'obliger, à souffrir,
Un vieillard, requérant de
l'asile
Au passé, celui-ci dirigeait son navire
Commercial, voyageait vers les
îles
Pour dormir
Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,
Qui ne sont plus les hommes, car ils n'ont que leur rage,
Portent l'ère des souffrances dures à tous nos âges.
L'un de ses diables vifs te dévoile son visage.
Il menace notre vieux capitaine
À Strasbourg, l'Homme ne perd pas l'honneur et ses sages,
Où il ne s'abaisse pas
jusqu'aux chiens,
En dommage.
Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,
Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.
Au matin, l'on donne la nourriture, l'ordre rit.
À sept heures, l'homme quitte ce bâtiment triste, gris...
Le malade très
âgé est à pieds
Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c'est son prix.
Dans douze heures, il revient au
foyer
De souris.
L'on dit qu'il n'est pas le réfugié. Ce statut
Conduit le capitaine aux drogués qui nous tuent.
Dont il prie l'aide trop tard, ce vieillard a perdu
Le printemps, car, il y a trente ans, il avait dû
Embarquer son bateau à
New-York
Et l'asile politique pouvait être vendu.
À l'océan, il
rattrape l'os de l'orque
Dépendu.
(H040) Et l'autre qui a sa grande confusion
& tarde repentance la voudra ruiner, seront trois regions
par l'extreme difference
des ligues, c'est assauoir la Romanie, la Germanie,
l'Espagne, qui feront diuerses sectes par main
militaire, delaissant le 50. & 52. degrez de hauteur (H041) feront tous hommage des religions loingtaines aux regions de
l'Europe & de Septentrion de 48. degrez
d'hauteur, qui premier par vaine timidité tremblera, puis les plus
occidentaux, meridionaux & orientaux trembleront,
(H042) telle sera leur puissance, que ce qui
se fera pas concorde & vnion insuperable
des conquestes belliques.
De nature seront esgaux : mais grandement differents de foy...
(H040) Le deuxième d'ailleurs à
la confusion de celui-ci premier, n'hésitera pas à vouloir le
ruiner et aura 3 pays adhérents des ligues distinctes, à savoir
l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne qui enfanteront leurs divers partis
militaires. Ces mêmes ligues seront, malgré leurs ressemblances
extrêmement différentes, de côté en laissant le 50e
et le 52e degré de l'Angleterre, (H041) et ces états feront certaines
hommages aux religions lointaines, on aura lieu surtout du 48e
degré à l'Europe du Nord, où malgré des accords de
paix, l'on commencera à trembler. (H042) &Puis tremblera presque l'Europe
entière jusqu'aux pays les plus occidentaux, les plus méridionaux
et les plus orientaux en Russie. Leur puissance sera telle qu'ils
réaliseront des alliances et des unions invincibles par leurs
conquêtes guerrières. Ces pouvoirs seront militairement
égaux de leur nature mais grandement différents de leur
croyance....
(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)
Et en Europe, il n'y a aucune
démocratie,
Comme à l'époque du stalinisme en Russie.
Mon nom est dans la liste noire, secrète - "Merci",
Crie mon poème aux yeux des démocrates aussi.
Je suis Sacha, le personnage des "Fils d'Arbate"
De Ribakov. L'on nous sépare des masses en
boîte;
Mais ne jette pas dans les prisons, les ordres battent
Pour chaque désir de nous lever parmi les rates.
Nos stalinistes d'occident persécutaient
Les professeurs, partout, aux Universités
Qui essayaient de nous inscrire, l'on leur dictait
De retirer leurs lettres par leur
volonté.
Que l'on ne nous permette jamais de travailler
Sous nos officieux noms parmi les ouvriers!!!
Car sous l'averse, l'on oblige à nous mouiller
Que, comme plusieurs drogués, nous nous mangions derniers.
Que nos espoirs soient décédés dans la souffrance
Que nous perdions, comme les ivrognes, l'indépendance
Des démocrates d'Europe pour son Staline. En France,
Nous les prions, par ses esclaves, leurs indulgences.
Mais si nous soutenions nos thèses, et nous aurions
L'argent des clans pour l'air des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables des rayons
Illuminés la vérité que nous verrions.
Car toutes mes nuits passaient // dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en règne d'obscurité,
Que cet enfer produise, // par les douleurs, mes œuvres
Comme ma syllabe en vers // tentait de refléter
Que je n'ai pas mes droits // de travailler par l'ordre,
Et rédiger ma thèse, // n'est pas aide à Genève,
Or, ma recherche en// Europe oblige à mordre
Mon âme pour mes études, // absence de mon rêve.
(H046) & sera au moys
d'octobre que quelque grande translation sera faicte,
& telle que l'on cuidera la pesanteur de la terre
auoir perdu son naturel mouuement,
& estre abismee en perpetuelles tenebres, seront precedens au temps vernal, & s'en ensuyuant
apres d'extremes changemens, permutations de regnes,
par grands tremblemens de terre, (H047) auec
pullulation de la neufue Babylonne,
fille miserable augmentee
par l'abomination du premier holocauste, & ne tiendra tant seulement que
septante trois ans, sept moys, (H048) puis apres en
sortira du tige celle qui auoit demeuré tant
long temps sterille...
(H046) Ce règne sera aussi le plus
obscur et le plus ténébreux qui ait été depuis la
création du monde jusqu'à la mort et passion humaine et de
là jusqu'ici, et ce sera au mois d'Octobre qu'une grande translation
aura lieu, à tel point que l'on croira que
(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)
Que mon peuple était //
contre son grand pays,
L'Amérique démontrait // que les jours sont nos nuits,
Affirmait que l'idée // des communes c'est le bruit.
Son Europe l'invitait, // car l'on n'a pas détruit
Mon État concourant. // Pour lui rompre le dos,
Tous de nos ennemis // ont reçu leurs cadeaux
Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient très prudes aux
Mots des vers qui ne coûtent, // aujourd'hui qu'un verre d'eau
Et donnait les travaux // des meilleurs professeurs
Aux stupides soviétiques // qui n'avaient nulle saveur
Par beaucoup d'ans non plains // aux écoles de soudeur:
Pour leur faire des armées // contre l'île du bonheur.
Qui n'avait aucune languE, // sauf le russe,
était lié
Aux plus hautes sociétés, // où habitent aux palais,
Car ils ont obligé // la Russie à aller
Vers l'abîme de l'enfer. // À l'Europe, ce pas plaît.
Il n'y a plus mon Union // qui pouvait contredire
Aux Rois illuminés // par le Cosme bien pire,
Au diamant de la dure // hiérarchie en plaisir
Du control sur chaque âme // et du gris souvenir.
2. 02 La teste blue fera la teste blanche
Autant de mal que France a fait leur bien.
Mort a l'anthenne grand pendu sus la branche,
Quand prins des siens le roy
dira combien.
(2. 02 La
tête bleue se fera cette même tête blanche
Autant de ce mal que la France leur a fait leur bien.
Le grand mort est pendu. Il a l'antenne sous la branche,
Lorsque, aux princes des têtes, le roi dira combien.)
Ces esclaves, nous parlons,
Ont construit Babylone
À travers les boulons
Sur le Tibre.
Reconnu est le roi,
Aujourd'hui, c'est pourquoi,
Et je n'ai aucun droit
De l'âme libre.
L'Existence parfaite
Tue mon vers, car Rejette
Ce récit du poète
Par quelle fibre
Des menteurs et Pratiquent
L'obtention fantastique
Pour l'asile politique.
Cette vie vibre
Entre les exigences
Des lieux qui donnent une chance
De monter. L'expérience,
Qui existe,
Dit: "J'ai peur des tyrans,
Lorsqu'il faut, pour l'argent
Comme il y a quarante ans
Vers l'heure triste."
Un vieillard canadien
M'a rompu mon destin.
Il s'appelle Michel
Venne
Journaliste.
Il défend quels fidèles
Aux pouvoirs, où le ciel
Ne plaît plus au bordel
Des artistes.
L'heure rôle fort des acheteurs
Te conduit au bonheur
À quels riches demandeurs
De l'asile.
Qui est persécuté,
Bat leur sécurité,
Rompt, par la vérité,
Qui dévoile leurs bougies,
Sans aucune énergie,
L'entraîne sa mort, agit
Dans les villes.
Je deviens dangereux
Aux bourreaux trop heureux,
Sur leur feu, coule l'hébreu
Ce jaune huile.
Lorsque, comme au bandit,
L'état juif m'interdit
De faire tout, Michel dit:
"Quoi tu chantes?"
Il ajoute: "Du pouvoir,
Te menace quelle mort noire
Sous le ciel?" Chaque gris
C'est ma tente.
Il déclare, en même temps,
Ce statut pour une dame
Qui revient, à ses champs,
Très contente.
Paye non vingt mille dollars,
Afin de recevoir
Cet asile pour l'histoire
Qui s'invente.
Le Canada
(Merde dedans)
Bat, cependant,
Ses blanches gens.
Car veut aider
Aux bangladais,
Sur nous merdait
Pour chaque idée.
Aux juges gentils,
Paye pour l'asile
Cinquante mille
Dollars utiles.
Les yeux avares
Tuent vos vieillards
Pauvres et rares
Pour leurs standards.
Que chaque enfant
Quitte ses parents,
Où tout se vend
Par l'ère d'argent.
L'être humain
Perd ses chemins,
Car baise les mains
De ses doyens.
Le Canada est pauvre,
Où l'art a quel destin?!
Consacre toutes ses oeuvres
Aux ordres canadiens.
Tu gagnes un peu pour l'Être,
Portant ses publies-sacs.
Mais frappe à chaque fenêtre,
Réclame, au bord des lacs.
Que, chaque hiver, l'homme tombe
Dans l'escalier en rue,
Sa vie en glace, comme l'hombre,
Sans pieds est disparue.
L'abîme des résidences
Formule vos gens misères.
Ces mêmes foyers commencent
À rappeler l'enfer.
Tes rêves sont impossibles
Aux infinis villages,
Car toutes leurs villes horribles
En boîte n'ont nul visage.
En mille neuf cents vingt quatre,
L'âme riche les a construits,
L'on justifie ce ladre
Alors et aujourd'hui!
Beaucoup de kilomètres,
Il n'y a que ses prisons
Afin de reconnaître
Leurs murs par les maisons.
Les ouvriers du peuple
Préparent la fin d'Hitler
Conservent son gris meuble
Acheté avant sa guerre.
La force incroyable
Invite ses immigrants.
Car vos esclaves de diable,
Travaillent pour le tyran.
Il n'y a que leur mensonge:
"Richesse de chaque état",
Que nos stupides prolongent
L'histoire du Canada.
Íleos, íleos,
íleos,
gkhenú imín o
pánton anekhómenos
ke pántas
ekdekhómenos.
(Bienheureux, bienheureux, bienheureux,
Que sois-tu, céleste,
notre observateur
Sortant de tout, cher
concepteur.)
(Roman le Mélode)
(Milieu du VIe siècle après Christ)
Constantinople mort sous
vos croisades pendant sept jours en feu.
Mais l'empereur traditeur rend son prêt. Sa
disgrâce est bien mieux?
Cessent d'exister les statues en Byzance, sur trois
Forums... Dieu
L'âme catholique soutient ce péché. Elle
attend l'aide des fous cieux.
Ses chevaliers blancs découpent, en morceaux,
les sculptures d'or... Fracassent
Les murs des temples, arnaquent leurs icônes
pour telles pires populaces!
Volent cette richesse infinie des hautes tours
historiques sur les places
Pour enfoncer l'aiguillon au cerveau qui, aux sauvageries,
les menace,
Où leur armée possédait ce César
Ville qui est nu pendant:
Un siècle dur et demi... Elle rappelle ses
derniers huit cents ans,
Lorsque l'Empire Byzantine ressemblait l'enfer aux
musulmans.
Et au quinzième centenaire après Christ,
l'islam vainc ce pays grand.
Leurs courtisans ont traîné sa Puissance
aux troubles bizarres.
Ses minarets s'opposent aux acropoles... Thaumaturges,
dîtes rare:
Contre ou pour beaucoup d'iconoclastes donnent leurs
grecs avares
Qui n'ont pas crainte d'orient? Mon État
croit aux rois montagnards.
Et au Troisième autre Rome, son Kremlin
descend par cette Byzance,
Où le trésor s'est perdu dans ce char
de ses Guerres à nulle chance.
Vers Istanbul a foncé le sultan! Sois, Moscou,
ton cadeau aux influences
Non de la Chine! Chère Russie, réveille-toi,
prison des Renaissances
Et pauvreté de tes Astres. Leurs aubes ou
leurs soirs créent ta fable?!
Notre Hellade ne restituera pas son miracle
en sable.
Mais sous sa peur, ta mémoire étincèle
au bonheur d'espoir stable
Au Paradis des visages, où s'élance
chaque russe véritable.
Des juifs chrétiens et musulmans,
Dieu est ce rien. Son cosme géant
L'a opposé aux cultes dans
Nos expressions des Dons croyants.
L'idole dirige seul votre frère
Vrai pur. Menace du drôle enfer
Que nous croyons à ses chimères
Qu'on a créé tous l'Univers
"Il y a six mille d'années" au "bieN"
Pendant six jours" L'a fait sa main:
Son Globe Terrestre du gredin
Qu'elle cassera le monde sien
Statique et blanc comme un cristal.
L'esprit l'a dans son piédestal,
Où chaque samedi il dort: pas mal
Et trompe sans pudeur morale
Qu'aux fils cosmiques donne l'ours en chaînes.
Il veut que nos raisons s'éteignent.
Qu'avec "dieu" soit Soumis, enseigne:
"Fermons l'Entré d'ailleurs sans peine!"
Envoie l'oeil noir aux créations
Des autres civilisations
Qui lisent: quoi songent?.. Vibration
D'aire, ton accent tire l'agression
Par toutes nos religions. Il ment
Qu'il a sculpté cette Terre avant
Vos jaunes Étoiles "creuses" sous son vent:
Pour endormir sur l'un "divan"?
À ses esclaves, il persuadait
Que ce mensonge peut aider
Après leurs morts, soit abordée
Sa foi qu'elle aille contre l'idée.
Ce n'est pas Dieu. Cet égrégore
Se cache de nos mesures d'abord.
Son pus ne mange que quels corps?
L'attend le châtiment d'un sort:
Comme au "Cinquième (vif) élément"
L'île, qui s'explose, dépend du temps.
Aux punitions tragiques, ses camps
Se perdent à leurs bulles des gammes.
Il est soufi que sa faiblesse
Brisait nos obtentions qui pressent
Son incendie par sa vitesse
D'évolution sans nulle tristesse,
Où l'égrégore ment que cette guerre
Attache vos pauvres à ta terre
Très radioactive avec l'hiver
Pendant l'époque sans atmosphère.
Mais Dieu réel, aux arts humains,
Découvre l'Infinie, amène
Ses âmes parfaites à Ce destin,
Sans cultes de l'autre chemin.
Et le trompeur d'exil, la bête
Essaie d'influer sur les planètes,
A réfugié des Trous Noirs Faîtes,
De Dieu. Toujours rêve des conquêtes.
Au temps, est né de la poussière
Astrale. Il rit sur ses frontières
Des siècles brefs, oblige l'aile fière
À s'incliner. Armée dernière
À ce menteur, l'abîme des mythes
Construit ses temples et ses gîtes
D'Égypte sous sept pyramides
Extraterrestres qui sont vides.
Ce Ra sait claire qu'il est mortel.
Éduque l'humanité fidèle.
Sans tradition devient sa grêle:
Hors sang et sans peurs éternelles.
Pendant millions d'années, les morts
Accomplissaient les hommes sans corps
Vers Absolu, cet égrégore
Ne nous criait jamais: "Non!", fort.
Neutralité de sa matière,
Tu as ta construction... Aux sphères,
La brèche de nos valeurs transfère
Tes changements: aux questions-ères
Qui sont finies dans leur physique.
En Dieu est sa longueur unique
Sans fin... Infinité pratique
Tous nos cadastres galactiques,
Où leurs futurs passés présents
S'unissent par Sa Fusion de rangs.
Tout d'Univers est, cependant,
Parfait en Dieu à tous ses champs.
Dans l'un point sont toutes les espaces
Comme l'un se trouve sur toutes les places
Cosmiques. Encore, Dieu les embrasse
Par soi à ses versions des masses.
Le mot limite ta bouche: "Mille a"
Des verbes qui se gagnent. Voilà,
La goule rompait leurs buts par là:
Quelle tromperie du mal (!) parla:
"Ce Fond Terrestre de l'idole,
Le puceron de l'Astre colle
Non raisonnable aux PAROLES
Sans sa télépathie du sol!"
L'essence gère LEURS relations,
Perd l'inutile opposition
Et ce CONFLIT, où nous fixions
L'absence des compréhensions.
Suffisamment intelligent,
L'on deviendra. Le mot des gens
S'oubliera. L'esclave urgent
Sera l'un télépathe sergent.
Le fleuve de ses pensées profond
Est délicat à l'abstraction,
Où sans langage brille sa vision
À ses lectures vîtes des notions!
Le nom "divin", toi, parasite,
Dise pour dormir samedi. L'orbite
Tourne au tour de nous. Gravite,
Boule invisible, satellite.
L'éther bestiole n'est pas Satan.
Son existence, en orient,
Est calculé par dix milles ans
Influe sur leurs affaires, souvent.
Dieu nous jugeait pour nos actions.
Avec leurs chutes joue l'extension.
Au timbre, sa contradiction
A évité ses illusions.
Nous ment ta "vérité" binaire,
Touche ses croyances. Aux lumières,
Ni dieu, ni diable Lucifer,
Cet égrégore est par Homère,
A su dompter ses juifs rabbins,
Casse leur passé pré-égyptien,
Unit l'islam et les chrétiens:
L'Asie avec l'Europe sans bains.
Depuis ses "six époques" "créait"
L'odieux aux livres, à leurs prêts...
Au "jour septime" s'endort après
Ses duperies, fatigue... Duraient
Ses fraudes, longtemps. S'appelle Adam
Vers l'aube des MENTERIES infâmes.
Sous Absolu réel, l'entame
Des Hontes purifie les âmes.
Il y a nos treize milliards d'années,
Dieu a formé Cette corde née.
L'enfer l'avait discriminé,
A élargi l'instantanée,
L'une milliardième. Dieu l'a sauvée.
Le diable crie: "L'annule! Je vais
Détruire partout!" Dieu l'entravait
De chaque nouveau présent gravé.
Quelqu'un vivait au loin Futur,
Lui rejetait son haute culture
Et au Moyen Âge renaît l'or dur,
Où décapite son aventure.
Plus tôt s'aggrave en quatre mille.
Après sa mort, l'erreur le pille.
La vie prochaine griffe ses périls
Par l'un croisade tué inutile.
Avec un musulman s'endort.
Jérusalem enterre deux torts.
Au Paradis, ils montent hors
L'espace, où tous s'approchent du bord
De notre Purgatoire salut
Des fous, aspirent vers Absolu.
Illimité t'a résolu
L'incohérence vermoulue.
Qu'au vingt unième preux siècle aillent
Ses nourrissons qu'ils se réveillent
Pour ne pas faire leur mal pareil
Qu'ils l'oubliaient au pire sommeil.
Lors l'homme rencontre son décès.
Mais l'égrégore va les lasser.
Seul l'un feu ouvre nos accès
À Dieu pour tout notre passé.
Sur toutes nos galeries, a plané leur palais.
Sous un dôme invisible, cette ville
Chatoyait pour l'élite du diadème et volait
Par l'humaine récompense civile.
Vives pour ses supérieurs au jardin édénique!
L'escalier d'or du lieu fabuleux
Monte à son château sur le nuage fantastique
Au dessus des tours miraculeux.
Les pierres très lumineuses se rappellent aux forêts
Sur nombreuses places en marbre le jour,
Où les ponts mosaïques se perdaient en soirée
Et pendaient au dessus de l'eau pure.
La piscine manifeste le fond du diamant.
Sur ses deux mille mesures en marnière
Du Forum sous-marin qui sépare nos feux péans.
La surface aquatique coupe deux sphères.
Le coussin d'air semblait argenté. De ce voile,
Grandissait le sanctuaire actuel!
Une idée d'Atlantide scintillait comme l'étoile,
Regardait de la mer au bleu ciel.
Les trois âmes ondes ouvrent l'un bût Paradis!
Comme il y a leurs cent siècles.., prévu
A été ce futur des atlantes maudits
Dessiné au passé en revue.
L'arc-en-ciel lumineux a frappé les entrés
Sous la danse des muets hologrammes,
Où sont dure obscurées plusieurs arches carrées,
Lorsqu'aux pieds sont tombés nos mutants.
Alors qu'ils conquéraient la planète de ses glaces,
Ils n'ont pas distingué les paroles.
Entre des animaux, l'esclavage de leur classe
Apprenait à trouver l'autre rôle.
Trois savants volent sans bruit dans l'une boule translucide.
Les mémoires s'étonnaient des beaux styles.
Le voyage au miracle prépare leur visite
Au Conseil du Suprême Don hostile.
À ses intelligences, se donnent les couleurs
De l'une des Escaliers d'Univers...
Du château s'approchent trois hommes. Pendant cette même heure,
Les attend le chef de toute cette Terre.
Entrent dans ce palais, à travers tous les murs,
En bateau elliptique... Toutefois
Par les branches des vîtes galaxies en structures,
Pour sept ans l'on élue l'Un des rois.
De ses Astres, ce Cercle dirige l'atmosphère
Et reflète ce plus Fort par l'espace.
L'on lui rétribuera là pour toutes ses affaires,
L'âme a crainte d'aller sous sa crasse,
A varié l'apparence de tous trois côtés.
Au ton rouge, sa lumière brille égale:
Au trône en pierreries, à sa difficulté,
Au symbole du Concept intégral.
Sur lequel devant eux, l'Homme Haut a comparu.
Son plancher a construit trois fauteuils.
Par le cosme, la salle a montré toutes les rues
Des conflits tristes au troisième oeil.
Le savant essentiel a pensé: "Roi, ta clé
Permettra de défendre nos gens.
Au Cerveau sans péché, ses rayons doivent rouler
Pour noyer Sa faiblesse dans l'océan."
Sur des vies antérieures, sous leurs siècles glissait
Plus Puissant. Il prévoit les erreurs
Des trois braves que les aide l'expérience laissée,
Son épître s'adresse à la peur.
Mars attendait la peine pour son haut intellect
De sa vie tuée là, sous son horion.
À l'écart des époques, leur sacrifice abject
Reflétait l'explosion de Phaéton.
Les martiens hexapodes possédaient leur cerveau
Raisonnable cadeau d'atmosphère,
La planète rouge cache les pyramides, ses caveaux
Ont prévu ce décès en enfer.
Ils avaient quitté Mars avant un coup du météore
À l'année du réveil des volcans.
Sont parti au noir cosme, qu'il les améliore
Tous... et nous crée ses intelligents.
La vie priait Phaéton de ne pas s'exploser
Qu'au futur ne s'engendre pas l'homme
Que ses soixante cinq millions d'année proposées
Aient tenu Mars vif aux astronomes.
Qui aura la conscience de Terre?... Le savait
Mars, donne ce visage au troglodyte.
Entre les roches, ses ouvriers l'ont gravé
À ses extra-martiennes proches visites.
Mais la mort de Phaéton a choisi notre gens
Et elle a abordé ce ciel chaud.
Les tombées des Bolides ont drainé chaque océan
De tout Mars qui rappelle un Cachot.
Ils dirigent et maudissent notre âme par nul coeur
À l'égal des aveugles "amis".
De ce temps, conduisent à Jupiter, tirent nos fleurs.
À son onde sOmmes nous soumis.
Les atlantes, partielles raisonnables et fières,
Enseignaient les mutants sans dure paix.
Seul Saturne Patrie trouve l abîme des affaires
Aux têtes pour y développer.
Deux flux des électrons, le jeu des hexapodes
Détestait notre gens. Nos avers
Sont, pour eux, sans visages, alors que les périodes
De nos vies passent courts et non divers.
Les martiens descendants enlevaient, sans clarté,
L'homme du singe sauvage sans prière:
Pour faire nous, où Dieu veut sa même neutralité
De deux signes aux limites en matière.
Les insectes de Mars envoyaient plusieurs mers
Des mauvaises particules à nos seines.
À tes fentes étroites, coulent les fleuves des enfers.
Qu'en bateau sa raison sûre s'éteigne.
L'ordre filtre ce sort par le fond et réveille
L'or partout. L'on n'avait aucun choix.
Lors, l'écran protecteur débarrasse du sommeil.
L'autre monde l'Attend la claire Foi.
Par son âme, Phir survole vers Aüm cette nuit lente,
Au dessus de l'océan au palais.
À la vie sans ce mal n'était pas prêt Atlante.
Dans ses mains, Phir ne prend pas sa clé.
Les mutants ne comprennent nul de leurs livres lus.
Donc, la barbe d'Aguive n'est pas Dieu!
Quel cerveau primitif blasphémait Absolu
Par le culte sauvage très odieux!
Qui, il y quelque temps, est sorti des cavernes,
En voyage à Vénus exclamait:
"Mon misère feu de champ et son dieu en caserne
Ne seront plus, de moi, honorés!
Je pensais que ce cosme est bleu, c'est son brai!
Ses péchés règnent sur tout l'Univers.
Il est froid au pire loup en esprit noir! C'est vrai,
Où l'espace s'élargit par l'hiver".
Deux flous mythes moins sauvages soulevaint leurs tribus,
L'écrêtage de l'un doigt se remplace
Par l'une circoncision. Sans croyance, ce but
Chasse à l'autre géhenne sur cette glace.
Ses souffrances charbonnent l'âme. Car par la pensée,
Les insectes envoient leurs décrets:
Vers l'homme non raisonnable qui n'a nul passé.
L'abstraction ne gagnait rien doré.
Pour la faute, leurs navires battent ces mêmes hexapodes
En seconde par l'une mille d'idées
Que, pendant plusieurs ères, les gens aient leurs périodes
Des détentes que Dieu les aidait.
Aüm a calculé ses codes de l'influence
Sur l'échec et sur tous vos chagrins.
En cerveau, où est né ce bas tort? L'expérience
A quelle source qui fait l'homme au Bien?
Les martiens réfugiés provoquaient ses faiblisses
Que, sans culte, l'homme n'aie que l'enfer.
Son panneau de commandes se rompe et laisse
Nos lectures des secrets à sa Terre.
Les hommes et les atlantes doivent se séparer,
Nous deuxièmes volerons libres loin.
Car l'unique fort cerveau serons nous amarrés
Vers Titan avant un lourd chemin.
Ce sommeil quitte Aüm. D'invisible augure
Ne peut pas éviter notre perte,
Ne sait pas quelle loi d'autre l'aura ce futur?
Ouvrira le fou cosme d'alerte.
L'aube réveille celui. Le plancher pellucide
Montre que le soleil dore l'océan
Et inspire que prévoient des consciences lucides:
Périra noyé son continent.
Au circuit, l'espace ouvre ce sens maximal
À ses chaînes des cellules, aux beaux temps.
Aux constances d'instant, la lumière va égale
À tous quatre côtés de sa rame.
Ses wagons courent sur une construction matérielle.
Ils restaient au passé. Et toujours,
Leurs visions glissent sur l'arme conscience partielle
Aux adieux avec un ordre pour
Ses schémas reflétés. L'offre change ce mur
Au recours de son ambassadeur.
Ce Conseil Supérieur n'a pas peur des courbures
Et incline l'incident en couleurs:
"Élu est décédé. Mais l'on décidera
En valeur de vos muets hologrammes.
De nos chutes synchrones, tombe plus vite ce même drap
Afin de compliquer l'humain drame. .."
Aux voix d'apesanteur, se figent les ombres corps.
Dans la sale recèle la literie.
Du plancher transparent voit la mer. Son trésor
Du trille interstellaire s'est chéri.
Sur les yeux disparaît le plafond elliptique.
La mémoire du pouvoir a fondé
Sa lumière concentrée. L'attention la critique
Et elle libre, du mal, l'île vidée:
Nous sommes sur quel rameau des jonctions d'Univers!
Nous fusionnent ses parfaits trous cerveaux
Que flottent toutes nos notions, l'une à l'autre sans guerres
D'abstraction au dessus du rideau.
L'on s'écarte, regarde sur l'un en arrière
Le tableau illumine son édit:
Par Aüm, deux machines abaissent l'ancre solaire,
Débarrassent l'intellect du conflit.
Hors nos temps, Tout de Dieu et l'enfer enchaîné
Y dormaient par dix-sept dimensions.
Lors la séparation a chassé leur but né
Pour produire la fin à l'explosion.
Tout ce monde naîtra moins que son Positron,
Où alors qu'il n'y avait nul malheur,
Dans un point, tous nos lieux sans concept d'autre "NON"
S'illustraient magnifiques ou meilleures.
Par les rythmes de l'infinité, chaque ficelle
Supérieure et égale collectait
Toutes ses formes sans fond et n'avait nulle partielle
Difficile à travers l'Unité.
Sa Puissance pouvait unifier tous les signes.
Dont, la couple du pas sans clarté
A jeté l'ombre charge hors chances divines:
Trois temps pour leur diversité,
Il n'est pas paradis infini de matière.
L'être rapidité dépassait
La lumière quatre fois, où grandit l'Univers,
Le présent rappelait son passé.
Un million deux cents mils en seconde, vitesse,
Tu as fait élargir l'extension,
Où ses points opposés s'approchent qu'ils disparaissent
À travers leurs annihilations.
Là se sont dissociés des pouvoirs primordiaux
Qui conduisent à la lutte cependant.
Sans divine harmonie, quittent leurs dons initiaux.
Par les larmes, séparent ses océans.
Toutes nos forces amènent à la source unique.
Microcosme d'abîme étendu,
Absolu a laissé l'île du filtre cosmique.
Au futur, l'inutile est fendu.
Dieu restait dans une seule milliardième de la masse
Explosée par le mal sous le temps.
S'élargie ce même cercle partout. Il nous chasse
Des morceaux qui construisent notre champ.
Mais la noire énergie a ouvert ses frontières
Qui conduisent à sa futilité,
Où les Trous Noires s'opposent aux places vides de l'enfer
Pour suspendre ce cosme voûté.
Chaque période de la vie éloignait nos grises morts
Des microns aux amas galactiques.
Les cadastres de branches dirigent leurs flux forts,
Et inventent une arme physique:
Les Neutrons lourds s'emboîtent à travers les Protons
Afin de formuler nous divers.
Entre nos centres et les orbites d'Électrons,
Les distances séparent l'Univers.
Entre les galaxies et dans tous les atomes
Par ce temps, la sphère creuse s'élargie.
Ses rapports trompent que pour leur offre nous sommes
Tout s'éloigne de cette noire énergie,
Où son feu qui embrasse le passage disparu,
Est vaincu à travers nos Trous Noirs,
Leur conscience invite toutes les âmes, où nos rues
Se souviennent par l'énorme mémoire.
Dans les Trous Noirs, il n'y a que des cordes sans fin,
Les images en raison de leurs notes.
Par nos treize dimensions s'ouvrent tous les chemins,
La lumière intérieure n a nulle faute.
Contre les énergies noires, nous crée Absolu,
Sauve nos contradictions et remplace
Le passé restauré. Son futur est son glu
Entre tous nos objets en espace.
L'idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
Leurs dix-sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
Que trois métriques des maux cosmiques au temps pour être vieux
Et l'on décède dans ce futur sans connexion des lieux.
Car dans cinquante milliards tours d'années, viendra la mort,
Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
Dont les distances entre eux vaincront le sens plus fort
Des Trous Noirs qui se cacheront par nos derniers rapports.
La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères
Nos évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
Il est possible d'ajourner la fin de l'univers.
Ses Trous Noirs n'ont aucune distance
Entre nos particules fidèles,
Qui ont, à l'ordre, la puissance
De leur donner l'union partielle
Avec ses mondes d'Absolu...
Années, quatorze milliards! Dans
L'une de ces sphères, aviez voulu
Dire l'infini à un mutant
De nul espace. Par aucun temps,
La belle vitesse du haut salut
A fait unir l'ordre présent
Passé pour son prochain non lu.
Nos galaxies sont temporelles,
Elles naissent du minimum... L'enfance
Du diable explosait leur ciel
Aux six milliard d'années, aux chances:
Avant cette explosion des rames pour notre crise d'espace,
L'autre présent n'a nul passé, car il n'a rien qui passe,
Où il n'existe pas danger de l'être qui menace
À l'harmonie, là-bas sa place domine surtout en face.
Alors dix-sept mesures très dures ont figuré le fond
Plus grand que ce même univers dans son petit neutron...
Ses opposés ne se battent pas, où tous ensembles n'ont
Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.
Milliard de fois, ses quantités des forces dominaient
Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
À l'intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
Sous l'énergie noire de nulle couche qui tente d'éloigner
Ses électrons et nos protons.
Par la faiblesse des formes,
Les galaxies disparaîtront.
L'obscurité énorme
Fera éteindre nos étoiles
Dans le futur. Leur but
Élargira l'abîme spatial
Qui nous approche des chutes,
Où nos gravitations grosses luttent
Que l'unité soit maximale.
Son signe "minus" casse toutes leurs routes
Qui le conduisent à l'un idéal
Que notre astre dorme
Des cinq milliards d'années au trône
De l'homme. Encore, comme l orme,
Que grandissait l'humaine personne.
Par chaque étoile, continue toute notre vie inorganique
Des créations. Ces sont leurs raisons méta galactiques.
Pour l'intellect éternel, nous tient sa puissance physique
Contre la noire énergie sans visage, d'obscur mal statique.
Par le destin aux élus se donne le pouvoir sur la Terre.
Crée ses ravages à travers l'argent de l'été à l'hiver.
Ses sacrifices sont nos chutes demain, aujourd'hui et hier.
L'empire n'aveugle pas l'un et invite l'autre à l'enfer.
Un homme meurt par Mozart. Où il est sa diversité?
Là, son opposé porte le chagrin de Salieri, luttait
Dans sa prison de la rue. Mais la jalousie sans clarté
A maudit toute l'harmonie et sa propre génialité.
Trois cercles sont. Le premier de mères détermine ses entrailles.
Dieu veut choisir: à quel siècle naisse l'âme, où elle se réveille
Que l'embryon passe toutes leurs hypostases dans son divin sommeil
Pour être le créateur de l'art et non son ombre vieille.
Le tour suivant fait devenir vieux, oblige à décéder,
À son troisième monde voler à travers l'éternité.
Son Paradis nous débarrasse des cultes, pour l'unité
Avec Dieu de tout. Dans l'escalier, vers Absolu montez.
Éuterpé cóhibét // néc
Polý-hýmniá
Lésborúm réfugít // ténderé
bárbitón;
quód si mé lýricís// vátibús
ínserés,
súblimí fériám // síderá
vérticé.
Euterpe, sois résonnée pour moi que Polhymnie
Veuille donner l'harmonie de sa lyre à Lesbos.
Tu m'admets le poète plus fameux de lyrique,
Mon front très orgueilleux touchera ce ciel feu.
(Quinte Horace Flacce, fin de l'"Ode à Mécène".)
/20 avant Jésus Christ/
(Traduction française d'Alexander Kiriyatskiy)
Des graphomanes qui ont douté
Du vingt et unième siècle mal heurté
Donc, d'un million d'années, a survécu le troglodyte.
Par la nature d'atrocité, dort son esprit d'hybride.
Et en Egypte, les esclaves construisent leurs pyramides,
Pendant ses guerres, le grec pleure aux théâtres des morts vîtes.
Nos religions affirment que l'âme tombe en enfer,
Car elle est née avant les vies de nos prophètes divers,
Il y a beaucoup de temps avant la foi de notre frère.
Nos rois cachent la pitié à tous: limpides des autres ères.
Les muses et leurs génies étaient choisis par Absolu
Leurs points de vue sont vifs toujours. Ils n'ont pas lu
Deux Testaments et le Coran. Aux cultes n'a pas plu
Ce Paradis de Dieu hors traditions et sans leur glû.
Confronte Colomban de leur Luxeuil et l'homme sauvage.
Ne juges jamais des concubines d'Iran pour leur Moyen Âge,
Toutes nos Croyances nous amènent au ciel de leurs filages
Afin de surpasser par chaque idée pour l'êrtre sage.
Vers l'acte sans violence des bienfaits, l'ordre est bon
Qui ne devient jamais plus cher que toutes les vies qui font
Voir Dieu non pour telle révérence, expliquait Platon:
Par le tourment s'excuse la faute pour sa compréhension.
Depuis l'enfance nous croyons en Dieu traditionnel.
À cette sauvagerie, l'obscurité devient fidèle,
Car elle n'a pas senti l'erreur des livres immortels.
Dans l'autre civilisation, l'âme renaîtra sans fiel.
Aux cosme raisonnable, non à seule l'humanité
Décent ce Don pour naître, vivre et se refléter
Dans l'Univers comme ses cellules afin de l'accepter
Au Créateur des mondes, au Paradis Beauté.
2.23
Bien tost après le prince parvenu:
Combien qu'hors fleuve ennemi repoussé
Dehors saisi trait d'oyaseau soutenu.
(2.23 Au palais, se remplace l'oiseau déchassé,
Tard, bientôt combien d'eau, le prince est parvenu?
En dehors des fleuves, l'ennemi s'est stressé,
Car le trait de l'oiseau est
saisi et soutenu.
(Nostradamus
1555)
Modifie le Globe Terrestre,
Chère machine du temps, orchestre
Par le vingt troisième
Siècle, sa vitesse énorme
Change et explose les formes
Tous deviennent leurs crèmes.
Au passé, l'action stupide
Bat la vie! Par celle si vide,
L'autre prévision
A quel but? L'espace amène
Aux questions: "Aux âmes humaines
Dieu donne le grand
trône?"
Dieu est en dehors des ordres
Du présent. Le temps peut mordre
Les imperfections.
L'homme n'était jamais l'image
D'Absolu. Rompt son voyage,
Toutes ses illusions.
À l'ère chaude Mésozoïque,
L'homme est dans sa fantastique
Digne machine du temps.
Pour manger, tue une mouffette.
Celle-ci ne donne pas ses bêtes
Pour remplir les champs.
Le futur ira par l'autre
Route qui ne sera plus notre
Règne des mammifères.
Les reptiles mangèrent l'ancêtre
Des souris pour ne pas être
L'homme sur notre Terre
Au cerveau des raisonnables,
Que l'oiseau fasse sa plus stable
Civilisation,
Sous le bec est la poitrine,
Leurs croyances sont divines,
Veulent dire à l'homme:
"Non!"
Le destin de la nature
Des oiseaux crée sa peinture.
Leur bouche c'est leur bec.
Car l'époque des dinosaures
Ferme nos voyages sans heures
Que mon sang soit sec.
Au passé, notre mesure
Du temps ouvre nos blessures,
Dieu corrige l'histoire,
Cache nos dangereux ouvrages,
Ne laisse pas à l'équipage
De faire ce cauchemar.
2.28
Prendra Diane pour son jour et repos:
Loing vaguera par frénétique tête,
Et délivrant un grand peuple
d'impôs.
(2.28 Le pénultième surnom
du prophète
Prendra Diane pour son jour de repos:
Et loin voguera par la frénétique
tête,
En délivrant un grand peuple
de l'impôt.
(Nostradamus
1555)
Chaque vingt cinq siècles, Dieu
crée, // tourne la Drachme en route,
Son invisible moteur // de nos esprits, trouve l'union
Par les niveaux des étoiles // L'innovation nous écoute,
Celle-ci reflète tous les temps // pour l'infinie rotation.
La subconscience de l'homme // prend les idées de sagesse,
Fait diriger la planète, // par seules les femmes en raison
Qui sauvent la télépathie,// l'ordre des
enchanteresses,
Coulent la lumière de la lune // plaine, à la méditation.
Le troisième œil de Dhyâna // donne la frontière, par
sa ride,
Entre deux indépendants // de nos conflits. En sanskrit,
La prophétesse l'a prévu // dans les douleurs d'Atlantide.
Pour le futur de nos races, // sa prophétie est décrite.
Nos malheureuses âmes en feu // quittent, en futur, notre Terre,
Nostradamus nous conduit // par les antiques souvenirs.
Et quel destin nous attend? // L'œil de Dhyâna doit se taire,
Dont je démêle son mystère // qu'il ne faut pas revenir.
Sans mal, l'un est l'animal, // l'autre nettoie sa conscience.
Mais tous savent lire les pensées // de tout le monde partout.
Qui a des ailes, perd ses pieds // par leur belle indépendance
Pour séparer ceux tombés // et ceux qui ont le bien doux.
2.41 La grand' éstoille
sept jours brûslera,
Nuée fera deux soleils apparoir:
Le gros mastin toute nuit hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.
(2.41 Pendant sept
jours, la grande étoile brûlera,
Car son nuage obligera deux soleils à apparaître
Toutes les nuits, le gros chien hurlera,
Le grand pontife changera la terre pour naître.
(Nostradamus
1555)
La flamme orageuse des comètes
brûlera l'atmosphère,
Les villes tomberont, l'homme habitera sous leur terre.
En raison de l'air chaud, un chien hurlera sous les murs.
Leurs grottes sauveront la vie à travers les sous-sols obscurs.
L'attaque des météores ouvrira leur nouveau siècle dur,
Alors que deux soleils couvriront l'enfer par nos blessures.
Les individus choisiront les élites en mystère
Avec un prophète pour sauver, par nos âmes, leur lumière.
Titan de Saturne deviendra le but des navires
Spatiaux, ses robots tenteront de construire
L'énorme station pour faire là, par le méthane,
l'oxygène.
Mais la coupole ne défendra plus nos maisons humaines.
Et l'être devra habiter dans leurs villes souterraines,
Où, comme le loup, criera un chien sous les antennes
Sans vie. Son urne paraitra une prison pour souffrir.
Nos rêves ne seront que le ciel, comme le cosmos de Sir.
2.62 Mabus
De gens et beste
une horrible défete
Puis tout à coup la vengeance on verra,
Cent, main, soit, faim, quand courra la comète..
(2.62 Alors que Saddam
mourra plus tôt, viendra
Une défaite horrible des gens et des bêtes:
Puis, tout à coup, la vengeance, on verra,
Que cent mains aient faim, lorsque courra la comète.
(Nostradamus 1555)
Nostredame décrit // l'aujourd'hui
sévère,
Où ce siècle a // soif des autres
guerres.
Dans les pays sauvages, // passe leur l'Âge
de Pierre,
L'art de chimères.
L'occident a peur // de leur haine profonde.
Qui a faim d'argent, // unira ses ondes
Contre l'industrie // de nos vies secondes,
Par tout ce monde.
Manque l'or droit sur // leur reconnaissance,
Nulle consécration // des perdus sans
chance
Idéalise Saddam // en l'Europe, en transe,
Sans indulgence.
Tous voient la raison // d'être, pour
laquelle,
Son Coran formule // quelle croyance belle
De l'âme rejetée! // Naît tel
vite modèle
Des morts fidèles!!!
Nos Diplômes d'Europe // nous annulent
Leurs Titres,
Sont comme mes carnets // de libre arbitre,
Leur mafia oblige // à faire leurs
pupitres,
Rompt sous ses vitres.
Que nos Masters Deux // de toutes vos Sorbonne
Distribuent, partout, // les réclames
mignonnes
Sous la pluie sans fin, // l'esclavage pomponne
Quelles richesses bonnes!
Et nos professeurs // portent la réclame,
Ne sont pas entrés // dans le gris
programme
Des États Unis. // Qui oublie leurs
drames,
Aide à Saddam, et
Coule les lacs salés // très froids dans
nos bottes,
Lorsque je me traîne, // où les buts
pilotent.
Mon corps se mouille pour // la réclame idiote:
"Goût de biscottes".
De l'aube à la nuit // doit tomber
l'averse.
Mais
Où nos larmes chaudes // ont leurs causes
diverses,
Aux vents se versent.
Les douleurs s'abaissent. // Sur ses pierres
dures,
Tu ne chemines plus... // Tirent plusieurs
piqûres.
Aux gazons, l'on voit // l'herbe douce. Ses cures
Sont moins obscures.
Devenons misères! // Les revues pesantes,
Dans les "publie-sacs" // noirs nous alimentent,
L'escalier amène // aux Riches qui
nous mentent,
Montrent leurs plantes.
Sous Leur pOrte est // une
chaise en plastique,
Ce miracle jette // le plaisir cosmique
Aux esclaves mouillés // Le chauffeur
panique:
"Levez vos cliques!"
Donne nos yeux aux pieds! // Nos passions
reviennent.
Deux genoux calculent // chaque coup de mes
veines,
Apparaît Saddam, // où retiennent
leurs chaînes,
Sonnent nos sirènes.
Nostradame prédit // les
effervescences
Du temps relatif. // L'homme sans expérience
Ne doit pas savoir // toutes ses providences
Comme leur absence.
2.
75 La voix ouye
de l'impolit oyseau
Sur le canon de respiral éstage
Si haut viendra du froment le boisseau,
Que l'homme d'homme sera Antropophage.
(2.
75 Entend la voix de l'impoli oiseau
Sur le canon, où respire chaque étage:
Car le froment haut viendra du boisseau,
L'homme mangera l'homme en Anthropophage.)
Le bonheur du miracle en rage,
La couleur des épis vous éduque un enfant
Qui respire, dans le ciel, par chaque âge.
Les tentures transformèrent son plancher de l'enfance,
Dans l'image du jaune adolescent,
Son chemin s'attira, par sa reconnaissance,
À l'heure de l'espionnage et descend
Au jeune homme qui écoute ses chanteurs populaires.
Dans chaque mal, dort l'abime des ordures.
Mais l'absence de Muse a les voix de chimère,
Se soulève par plusieurs aventures.
Par-dessus des fenêtres volaient les corbeaux,
Sur l'appui s'est assis l'un des freux.
Celui-ci interdit de donner un verre d'eau
Aux derniers, qu'ils soient morts malheureux.
Au Monarque au trône toute la Terre se soumet,
Tous les autres hommes sont les zéros.
Sans lumière, sa couronne saura être charmée
À travers nombreux ordres très
gros.
Il prendra le pouvoir sur beaucoup de pays
Dans nos ans liés à la
liberté,
Brûlera ses amis à l'époque de leur nuit,
Notre être devra s'abonder.
2.81 Par feu du ciel la cité
presque aduste,
L'urne menace encore Ceucalion,
Vixée Sardaigna par
la Punique fuste,
Après que Libra prend son Phaëton.
(2.81 Par le feu du
ciel, la cité se brûle, car saigne
L'urne qui menace, encore, Deucalion,
Par sa Punique des Vaisseaux, est en Sardaigne,
Plus tard, leur Balance prend son Phaéton..
(Nostradamus 1555)
Mais trois mille ans passeront
et sept cent quatre-vingt-dix sept
De la naissance de Christ, les météores
brûleront la tête
De la plastique ville en gomme. Sa coupole, sous
Ne défend plus du soleil mais chasse l'homme
des sous-sols au front
Contre le fleuve en métal et à l'Ordre
de Deucalion.
L'Art des croyances dira pourquoi s'est
explosé Phaéton
Entre le Mars et le fluide Jupiter pour donner la
chance
Aux mammifères de faire l'homme à la constellation
Balance.
Notre élu montrera ses étoiles des
Gémeaux, l'urgence
Aux raisonnables perdus leur patrie et leur rêve
dernier
Qui attendra l'aide des constellations du Cancer,
est lié
À l'illusion sur
L'air sans coupole rompue nous enverra les rayons
des nuits,
Les mutations génétiques aimeront sa
sociale hernie,
Refuseront le prophète au pouvoir du menteur
fourni.
Et soutiendront leur tyran qui voudra voler au
Saturne.
La Providence prédit le destin de son être
diurne
Sur le Titan, où ce culte devra tomber dans son urne,
Lorsque la constellation de Balance brûlait
le Phaéton pour nous,
Dieu a prévu que, parfois, l'homme devait
être à genoux.
L'imperfection des pécheurs tomberait avec
l'ordre mou,
Si nos stupides jetaient cette prophétie,
par les animaux
Dans l'atmosphère du Saturne. La constellation
Gémeaux,
Fait la lecture des pensées provoquer
nombreuses guerres sans mot.
2.
91 Soleil levant un grand feu l'on verra
Bruit et clarté vers Aquilon tendant:
Dedans le rond mort et cris l'on orra
Par glaive, feu, faim, mort et attendant.
(2.
91 Le soleil qui lève un grand
feu, l'on verra
Le bruit et la clarté vers Aquilon tendent:
Dans le rond mort et les cris l'on aura
Par leur glaive, feu, faim et mort ils attendent.)
(Nostradamus 1555)
Vers
l'incendie dernier, les ventres
De nos vaisseaux cosmiques veulent prendre
Nos plantes et nos animaux.
L'invite Saturne au Titan,
Fait une station, car sait comprendre
L'homme qui décrit, par les forts mots,
Qu'il a sauvé tous les rameaux
De notre vie chère qui l'attend.
Dans une trémie qui est l'armoire
Sous une montagne. Partout, sans gloire,
Sous ces feux morts il n'y a nul ciel.
Sa lave détruit l'esprit rompu.
Mais nous supprime toutes les mémoires.
L'espoir, comme le passé partiel,
S'oublie sous notre poids mutuel.
Mais les cerveaux perdirent leurs rues
Derrière nos dos. Le mal a pu
Dicter le culte d'une personne.
Et sa télépathie couronne
Le règne qui semble absolu.
Dans ces vaisseaux, leurs gens quittaient
Toutes les pensées humaines sont lues
Et la fusée vole dans leur flux!
Mais, à genoux, l'humanité
Aveugle ne peut plus goûter
Notre beauté d'indépendance.
Il est Dieu, notre Providence.
L'homme imparfait endure son tort
Du temps bref de la dictature.
Mais le Titan cesse son échéance.
Ce grand voyage finit, la mort
Arrive au dictateur, son corps
Descend dans l'atmosphère du pur
Géant Saturne en dehors
De leurs souffrances, hors des murs.
2. 95 Les
lieux peuplez seront inhabitables,
Pour chans avoir grande division:
Règnes livrez à prudens incapables,
Lors les grands frères mort et dissention.
(2. 95 Les lieux peuplés seront inhabitables,
Pour chanter leur grande division:
Livre les Règnes aux prudences incapables,
Mort des grands frères par la dissension.)
(Nostradamus 1555)
L'âme de vie prolonge l'être, fait changer
l'air d'atmosphère
Du Titan Saturne crée l'homme qui a laissé la Terre!
Les nouveaux concepts nous montrent la station particulière,
Où dans le passé, sans diable les Atlantes s'en sauvèrent.
Le cerveau de cette planète envoie vite, aux cellules en fluide,
La mémoire et la conscience du dernier prophète. Nous guide
Vers l'ère qui nous débarrasse de chaque émotion hybride
D'animal. Sans mal, nos sciences des hommes et nos arts sont vides.
Les individus s'unissent dans leur claire macro intellect
Qui n'a pas besoin des prix comme des punitions d'affect.
Sans raison, l'autre plupart a peur et veut tuer tous ses mecs
De la pure télépathie, prévision antique des grecs.
Et Saturne raisonnable, croit que son homme animal
Ne vit pas sans ennemi, car son but n'est pas sans mal.
Il prie Dieu que Jupiter ne nous ferme pas l'étoile,
Pour l'obscure Titan afin de nous voler, où Dieu dévoile.
Tous lisent les pensées des autres et transforment leur acteur
Dans ce sacrifice de torts responsable de l'erreur.
Dont ses funérailles déversent le pardon par les rêveurs
Qui brûlent le pouvoir du trône et cessent d'être les
pécheurs.
Cette nouvelle lumière sépare dure les gens pures et leurs
sauvages,
Que pendant certaines années, le Titan fasse le passage
Des hommes de conflits aux Êtres Raisonnables sans ombrage,
Aux constellations de l'autre galaxie, fixe leur voyage.
Les hommes modifient leur monde intérieur pour faire l'union,
L'harmonie prend l'Univers galactique dans les chaînons,
Absolu permet aux âmes de sentir les prévisions
Et sa providence brame que, de Dieu, nous l'obtenions.
Sur l'aiguille, (Al. K. en russe)
une famille dure brille
et le
loup se grille
pour
ses propres filles:
L'ordre des gens,
Est le vent.
L'œil du chasseur, fasse le grand
Assassinat en gardant
L'Être des morts utiles!
Quand les montagnes
Voient le temps
Qui tirent nos loups? Notre sang
Est sur leur neige. Et l homme gagne
À tuer par ce gris style.
L'air laisse ma trace
Aux chiens grâce
À mon odeur. Que l'homme chasse
Sur moi, quitter cet espace
Dans l'âme sans corps débile.
L'hélicoptère
De chimères,
Me persécute sur ma terre!
Sauve tous nos fils en guerre
Du sacrifice, en fil!
Rapidité
Non voûtée,
Ne permet pas de noter
L'Être sans vie enchantée
Par ma famille sous l'île.
Dans le terrier,
Vous pourriez
Vivre cachés du mûrier,
Vous rappelez le dernier
De ce bonheur fragile.
Balle en fer digne,
M'assassine!
Pour le futur de vos mines
Trop nourrissantes sans vignes
Comme sans malheur en mille.
Que ma lignée
Des poignées,
Dans un printemps, soit régnée.
Mes louveteaux sont soignés
Par leurs enfants gentils.
Sur ce sommet
Animé
De nos montagnes abîmées,
Ne bravez pas d'en aimer
La jalousie hostile.
Pénal
du mal (Al. K. en
russe)
Qui a Fortune, ce feu d'amour,
Son bon est la bougie en jour.
En vain, nous attendons ta cour,
Muse, tu nous donnes
Tes souches de Rome, en Grèce. Ton mur
Contre l'icône.
Tes reconnus rédigent: "Dormait
Mon chat aux pieds" et n'ont jamais
Écrit pendant leurs vies. Aimez
L'ordre en gloire.
Ce culte naît. Mais fait charmer
Nos goûts non rares.
Chaque tradition est l'intestin
Qui, comme son fleuve, boit les destins,
Mais bat, pour nos malheurs, ses chiens,
Mes strophes en fête.
Car ta reconnaissance tient
L'or de comète!
L'ivrogne ne veut jamais le thé.
Il interdit de répéter
L'art romantique de la beauté:
Tinte quel cuivre!
Lutte contre son éternité
Pour ne pas vivre.
Léon Trois coule ce sang. Byzance,
Tu tues nos frères par ta puissance,
Dont tu es contre la balance
Entre les peintres.
Gouvernement! repousse l'urgence,
L'arbre pour teindre.
Tes ennemis deviennent les gendres
De l'empereur qui perd ses tendres
Cortèges. Les Turques peuvent te rendre
Les dates précises?!
Partout, l'islam fera s'entendre
Dans tes églises.
Ce populaire te fait fermer
Chaque homme ouvert, il y a l'armée
Que nos consécrations brimées
Cachent l'aire absence
De sa "robe" bien illuminée
Par l'indulgence!
L'Aime chaque roi russe, caméléon,
Pour GorbatchOv, embrasse le trône,
Il y a le Règne, nous lui jetons
Quelles fleurs aux jambes!
Sans ce pouvoir, détruit son don,
Chasse de sa rampe.
Figure que Christ n'est pas comme Dieu,
Se bouche le nez, méprisent nos yeux:
Lisent chaque blessure dans ses cheveux.
Cette sueur répugne?
Son sang nous semble contagieux
Sous ses loques brunes.
L'esclave, battu par ses gardiens,
soulève deux planches grosses, en vain,
Crée sa nausée de voir leur bien.
Crève, tu nous guide
Cloué aux bois, as soif du grain
Dans nos cœurs vides.
Que Christ avale le fiel vinaigre,
Sa bouche brûlée t'approche du Maigre
Prophète Divin, sa mort intègre
L'être de frère:
En Absolu, pour son allègre
Fils sur la Terre.
Sur la Croix merde Ce Piteux,
Et sa puanteur nous sauve du feu,
Que sa Rome crie: "Ne touche pas mieux
L'Aile Croix, impie!"
Tels excusés deviennent quels preux
Par leur graphie.
Si l'on pensait encore comme hier:
"Christ ne sauve plUs l'âme de
l'enfer!"
L'on enverrait à Dieu les vers
Plaints des offenses:
"Ta Croix-Peine est bonne en hiver
Sans tes défenses!!!"
Rappelle nos dissidents misères
Qui sont montés pendant la guerre
Froide, y lisaient en pires manières
Leurs chants aux bêtes.
Pour ce ventage, s'intitulèrent
Nos grands poètes.
Brille, en reconnaissance, l'orgueil
Qui n'était pas permis au seuil,
Car ne pouvait plus croire qu'on veuille
Voir ses poèmes
Laurés par la couronne des feuilles
Des Âmes Suprêmes.
Saut du vers nuage
Chaque
ergot
Rompt
les liages
De son
gros
Esclavage,
Les
cadeaux
Du
courage
Vont
au beau
Vers,
Moyen Âge,
Ton
grand mot
Trouve
nos sages
Âmes.
Il faut
Lire
ses pages.
Nos
oiseaux
Quittent
leurs cages,
Nagent
sur l'eau
Des
images,
Pour
nos dos,
Sans
chômage.
DEUX
VISAGES
Appréciez l'espoir du cœur
Et la rouge
couleur des fleurs
Qui
conduisent vers le bonheur
Par
nos subconsciences,
Reflétez
deux roses, penseur,
Et
l'aire des Croyances.
L'Univers
crée nos pensées,
Animez
leurs rimes passées,
À
l'humanité dansée
Donne
l'abîme des chances,
Et l'histoire
fait renforcer
Notre
route immense.
Stábat máter dólorósa (Al.
K. en russe)
Jacopóne da Tódi
Le statut de
"réfugié"
Présuppose nos étrangers
Qui coupent leurs chrétiens
âgés
Dans
les guerres civiles.
Nos esclaves européens
S'abaissèrent aux gales de chiens,
Ils grattèrent la peau, pour rien,
Par
cette vie tranquille.
L'on enchantera chaque mot
Des persécutés "normaux"
Qu'ils soient forts par quels trumeaux
Des
beautés habiles!
Qui n'était jamais malade,
Lave vos culs pour tous ses grades,
Il n'est pas le camarade
Des
stupides de Nil.
Seules ces bêtes reçoivent l'argent,
Comme vos supérieurs des gens,
Elles obtiennent l'or, en bougeant
Par
leurs pipes si viles.
Camp de nos concentrations,
Tu as, pour une expression
De la civilisation,
Ton
futur péril.
La raison s'est déchirée.
À genoux, l'âme perd son gré.
De l'asile, elle apparait
Comme
un bon AcheteuR
De NombreuX JugeS qui
t'ont dit
Que les cieux soient interdits,
Que vivent leurs drogués bandits
Comme
leur Grand Voleur!
Car l'Europe est leur rencontre
Comme le cul qui nous démontre
Que ces vers seront gluants contre
L'ombre
du bonheur.
La Russie les intitule
Ses Dieux, mais ceux-ci la brûlent
L'ordre bat, comme les crapules,
L'infinie
douleur.
Les vieux sont dans le marasme,
L'on les lave par l'enthousiasme
Des savants russes, car l'orgasme
Pisse
sur leurs MeilleurS.
Reconnus sont les tchétchènes
Qui voient, en Russie, l'arène
Des batailles, où nous amènent
Aux
antiques vendeurs
Des esclaves. Les autres peuvent
Endormir parmi les fleuves
Dans la rue pour les épreuves
De
vos Droits de l'Homme,
Où se cache la Cour énorme.
Sa réponse a telle forme:
Attendez-moi sous vos ormes,
Tous
conduisent à Rome.
Votre illusion vient vide.
Sous celle, souffre l'invalide.
Par le front, il a quelles rides:
"L'âme n'est pas en gomme!"
Qui tuait tous ses fascistes,
Est, par cette Cour, dans la liste
Des tirants, comme l'extrémiste,
En
enfer, nous sommes,
Murmurez par ses bleues lèvres:
"Ce vieux perd la vue, en fièvre
Pleure, en fou malade énerve,
Il
cherchait sa pomme."
Qui passait cette vie très pure,
N'est pas liée à la piqûre
Des drogués, car sa blessure
A
plusieurs diplômes.
Mais vous plaisent seuls les mensonges,
Car, par eux, vos pouvoirs prolongent
À manipuler nos Songes,
L'Être
à genoux.
Leurs robots règnent sur la France,
Car séparent, sans différence,
L'eau de leur Reconnaissance
Et
la Mort pour nous.
L'Univers n'a rien et grève
Mais sa déception est brève,
Tous les êtres ont leur rêve,
La
lumière des trous.
Dans l'obscurité sans chance,
Ce feu a la voix d'enfance,
Lorsque l'autre vie commence,
Dieu
se trouve partout:
"Stábat máter dólorósa
Júxta crúcem lácrimósa"
Víta brévis ést, curiósa,
Práti frigidú
Mère, tu as la douloureuse
Larme, ta croix amoureuse,
Donne la vie brève et curieuse
Le
vent froid est doux.
ESPOIR
Jam satis terris // nivis
atque dirae
grandinis misit // Pater et
rubente
dextera sacras // jaculatus
arces
terruit
Urbem,?,?
(Pour la terre en grêles, // neige, tu
es funeste,
Zeus régnait longtemps, // par sa main ardente,
dont il fulgurait // l'aire des rues célestes,
aux sols, la crainte,...)
(Quinte Horace Flacce)
Mon espoir
rappelle, // par la voix d'Horace,
Nicolas de Cues. // Sa richesse embrasse
La philosophie // médiévale. Quelle trace
C'est la lumière.
L'Aréopagite // voit le ciel. Sa terre
Le conduit vers Dieu // grâce à chaque prière
Qui unie les mots. // Et leur but commence
Notre silence.
A travers l'esprit, // se réveille quelle chance
D'élever mes yeux // vers leur expérience
Pour l'humanité. // "Docte Ignorance",
M'ouvre l'audience
Du Beau Doctorat // à travers l'histoire.
Renaissance, tu // vas des hauts armoires,
Où je suis ravi // par les sages mémoires...
Oh Globe Terrestre,
Cesse de diriger // ce cosmos d'orchestre,
La médiocrité // n'a aucune palestre
De la même façon // dont n'a ni un centre
Ni tête, ni ventre.
C'est l'inquisition // qui a peur du chantre,
N'aime aucune beauté, // et promet mais ment_trop
Que tout l'Univers // est le sien qu'il entre
Dans l'être tendre.
HAUTE RECONNAISSANCE
Je vous désire le grand bonheur,
Je ne dois pas ouvrir mon cœur,
Mais je raconte mes douleurs
Pour votre terre.
La poésie contemporaine
N'aime pas les rimes, alors qu'elle règne
Car ses chanteurs heureux amènent
L'âme à la guerre
Avec les idéaux rompus,
Ma lettre a perdu leur but:
Auprès du mal, je n'ai rien pu
Savoir et faire.
L'on cracherait sur la beauté,
Si cette dernière avait goûtée
Mes coups par leur éternité.
Reconnaissance,
Tu es plus chère que les talents,
Sans toi, plus vite devient plus lent,
Son diable noir tue l'ange blanc,
Par ses puissances.
Il n'y a que seuls leurs gris menteurs,
L'art reconnu tient le moteur
De toute la vie, et la belle fleur
N'a aucune chance.