UNIVERSITÉ DE ………………..
FACULTÉ DES LETTRES
DÉPARTEMENT
DE LITTERATURES COMPAREES
Motivation de thèse
Projet de la thèse d’Alexander
KIRIYATSKIY: Deux
influences de GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) et de Bertran de Born (1140- v.1215) sur la littérature européenne
pour obtenir le grade de
Docteur en littérature comparée (Ph. D.) présentée publiquement par ALEXANDER KIRIYATSKIY
au Directeur de Thèse:
1) Introduction:
I)
L’introduction explique
le concept de la thèse de niveau
doctorant formule sa tâche sur la base de deux influences de Guillaume IX et de
Bertran de Born. Le premier chapitre «Un peu de l’histoire des langues romanes et
de sa littérature» montre le développement de la littérature médiévale du
VI siècle au XIII siècle. Le fondement de l’introduction analysera pourquoi le
deuxième malléine n’appartient pas au Moyen Âge selon l’histoire de la
littérature: http://www.anagnosis.org/ana/?q=node/67
VIe siècle
Boèce (traduit quelques traités d'Aristote, source de la
scolastique ; sa Consolation de la philosophie est très lue) http://www.gelahn.asso.fr/age18.html
http://www.philo5.com/Les%20philosophes%20Textes/Boece_ConsolationDeLaPhilosophie.htm
Saint Benoît fonde les institutions monastiques
occidentales. http://perso.orange.fr/jean-francois.mangin/merovingiens/dim_religieuse_mero.htm
Cassiodore, homme d'état italien, au service du roi goth
Théodoric, puis moine en Calabre. http://www.antiquite-vivante.ch/archives/4 Il lie la foi chrétienne et la pensée romaine
dans ses Institutiones
divinarum & saecularium litterarum. http://www.musicologie.org/publirem/hmt/hmt_cassiodore.html
--
Bénédicte de Nurse http://www.ora-et-labora.net/Benedetto_da_Norcia.html
--Dracontius http://ars-scribendi.ens-lsh.fr/article.php3?id_article=41
Venance (Venante) Fortunat
(fournit les modèles de la poésie courtoise, et de l'épopée hagiographique) http://www.diocese-poitiers.com.fr/spirituel/fortunat/fortunat.htm
Grégoire le Grand, pape (pour ses écrits doctrinaires et
moraux) http://www.jesusmarie.com/gregoire_le_grand.html
Isidore de Séville http://fr.wikipedia.org/wiki/Isidore_de_S%C3%A9ville (pour ses Étymologies ; évêque wisigoth,
compilateur du savoir antique). http://www.editions-beauchesne.com/product_info.php?products_id=513
· VIIe - VIIIe
siècles
Bède le Vénérable (672-735)
Boniface (mort en 754)
· Période de
la dynastie des Carolingiens (de Pépin le Bref à Louis V : 751-987)
VIIIe - IXe siècles
Xe siècle
Gerbert (on peut lire ici un échange
épistolaire entre Gerbert et l'empereur Othon III)
Il y a le désir des
écrivains médiévaux que soient réanimée deux idéaux. Ils sont l’antiquité
cristallisée et la statique (absence de mouvement) sans évolution. Pour quelle raison le Moyen
Âge idéalisa le IV siècle et sa lutte contre le développement des patois
barbarisées.
Le premier paragraphe enveloppera
la problématique a) Les œuvres
poétiques du IXème XIème siècles selon leurs deux formes sans rimes comme la «Cantilène de Sainte Eulalie» et la «Chanson de Rolland» et avec la rime comme «La
Vie de Saint Léger» et
les chanson des troubadours.
Le paragraphe b) L’existence des réflexions
poétiques de «La Vie de Saint Léger» des troubadours en italien du XIIème siècle http://www.classicitaliani.it/intro/intro038.htm . La
mutation de «La Vie de Saint Léger» et
des troubadours dans «Le Rythme de
saint Alexie» http://www.classicitaliani.it/varia/ritmi.htm#rit6 :
la confrontation brèves de touts les deux selon la méthodologie mentionnée dans
le mémoire MASTER 2.
Le chapitre II) de l’introduction détermine le
concept «Poètes troubadours»
a) La numération des troubadours plus fameux dans
l’histoire de leur littérature fait
apparaître la même numération des trouvères, alors que le monde soutient la
tendance des trouvères et en même temps refuse aux troubadours.
Le cinquième paragraphe e) sept groupes des alternances rimées et les
règles des monorimes des troubadours de
l’introduction au mémoire examine la diversité des alternances rimées dans la
poésie des troubadours sur la base du livre d’Istvan Frank.- Répertoire métrique de la poésie des troubadours, 2
vol.- Paris: Champion, 1953-1957. Il présente la diversité des
alternances rimées des troubadours: 1) L’alternance rimée appartient au premier
groupe des monorimes, alors que tous les vers du poème n’ont que la même rime
et nul autre AAA ……AAA, 2) L’alternance des rimes AAABAB appartint au deuxième groupe des
monorimes, 3) L’alternance des rimes AAAB CCCB appartienne appartient à
la troisième école du monorime 4) a La
quatrième école A des rimes des troubadours a l’alternance AAAAAABBBBBB b) Au quatrième groupe B
des rimes des troubadours appartiennent les alternances, alors que cinq
premières strophes n'ont que la même rime AAAAA+ un quatrain ou tous les quatre
vers n'ont que l'unique autre monorime BBBB AAAAABBBB c) Au quatrième groupe C des rimes des
troubadours appartiennent les alternances, alors que chaque nouveaux quatre
vers n'ont que la même rime AAAA 5) a) L'alternance rimée ABBABBA appartient au
cinquième groupe A des monorimes b) L'alternance rimée AABAAB appartient au
cinquième groupe B des monorimes 6) L'alternance rimée AAAABAB appartient
au sixième groupe des monorimes qui se rencontre mois souvent que tous les
autres. 7) L’alternance ABCDCD du septième groupe A des monorimes et
l’alternance ABABBC du septième groupe des monorimes.
Trois traits du mémoire selon le travail qui analyse les connaissances
I) Un peu de l’histoire des langues romanes et de ses littératures. /p. 3 /
a) Les œuvres poétiques du IX ième XI ième siècles. L’appartenance des œuvres du XIième siècle à trois cycles. /p.3/
b) L’existence d’un fragment poétique en italien du IXième siècle /p. 5 /
II) Concept «Troubadours»
a) L’absence de la rime dans le premier monument poétique en français au IX siècle. /p. 5 /
b) Les premières rimes primitives dans l’œuvre du X siècle. /p. 6 /
c) L’empreinte des rimes orientales des troubadours /p. 7 /
d) La numération des troubadours plus fameux dans l’histoire de leur littérature /p. 7 /
e) Sept groupes des alternances rimées selon les règles des monorimes des troubadours /p. 9 /
III) But finale
L’évaluation de l’héritage universelle du XIième siècle. /p. 12 /
IV) Méthodologie
a) Trois types de comparaisons et trois types de confrontation opposée. /p. 12 /
b) Trois groupes des facteurs qui aident, parfois, à analyser les poésies lyriques ou avec le sujet. /p. 13 /
GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) LES
INFLUENCES SUR SES POEMES ET SES INFLUENCES
I) La maîtrise du jongleur des mots et des rimes.
a) Destin /p. 14 /
b) Invention des clés poétiques selon l’empreinte /p. 15 /
II) L’analyse partielle du septième poème «Pus vezem de novelh florir» de Guillaume IX duc d’Aquitaine selon la méthodologie mentionnée (les idées maîtresses, les problématiques, le credo, etc. et l’analyse sur la frontière entre la critique littéraire et la linguistique) L'influence des hymnes anonymes du VIII au IX siècles
a) La critique littéraire sans participation de la linguistique /p. 16/
b) L’utilisation de la critique littéraire sur la frontière avec la linguistique parce que l’évolution des langues oblige à correspondre au temps. /p. 21/
c) La domination de l’octosyllabe avec la rime A et des vers glyconiens qui s’utilise dans les sixains de Guillaume IX /p.22/
III) «Chanson», le meilleur poème de Guillaume IX selon le goût d’Alexandre Leupin de l’Université de Louisiane
a) Les citâtes de l'investigateur /p.22/
b) "IV Farai un vers de dreyt nien" et l'influence d'Ambrosius Mediolanesis (IV s.) et de Dracontius (V s.)/p.24/
c) Chanson sans notes.
IV) Dame Agnès ou Dame Arsèn dans les images opposées de deux chevaux dans le premier poème de Guillaume IX. L'influence d'Horace (I S. av. J. C.)
a) Le premier poème
b) Les traits du Moyen Âge qui formulent les goûts de ses poètes de néant. /p.31/
c) Première publication des troubadours
d) L’école poétique de néant
au cœur de la dame
Les influences supposées de
Guillaume IX sur Johan Ruyz d’Espagne, sur Jacopone da Todi avec deux poètes
inconnus d’Italie et sur Colin Muset de la langue
d’Oïl
I) a) Le sujet du poème «Monument» qui reflète l’humeur du poème «Pos de chantar m’es pres talentz» de Guillaume IX. L'influence de Gottschalk (? -868) et de Prudence (V s.)
b) De petit fragment du même poème «Pos de chantar m’es pres talentz» et son analyse partielle selon la méthodologie utilisée.
c) La supposition que Guillaume IX a influé sur la poésie de l’abbaye de Saint-Victor
II) Sept groupes des alternances rimées des troubadours arrivent en Europe
a) La réflexion de la chanson «Pos de chantar m’es pres talentz» dans la troisième école de rimes de Jacopone da Todi.
b) La réflexion du quatrième groupe A dans le quatrième groupe B en Italie
c) La réflexion de la chanson «Compaigno, non piuosc mudar qu'eo no m'effrei» de Guillaume IX dans la première école des monorimes
d) La représentation de la première école des rimes dans le «Rythme Laurentien» comme dans le premier poème en italien
e) Le poème «VIII. - Farai chansoneta nueva». L'influence de "Cambridge song" (X-XI ss.)
f) L’analyse partielle du poème «VIII. - Farai chansoneta nueva» selon la méthodologie mentionnée
g) La confrontation du «VIII. - Farai chansoneta nueva», d’un fragment de la «Comédie d’ânes» de Titus Machtius Plautus et d’un fragment du « Livre de Bon Amour» de Johan Ruiz au XIV siècle en Espagne.
h) La cinquième école des monorimes (1) L’alternance ABBABBA appartient au cinquième groupe A des monorimes dans le poème «Mout jauzens me prenc en amar » de Guillaume IX. L'influence de de Pierre Damien (1006 -1072) (2) L’alternance rimée AAB-CCB appartient le cinquième groupe B des monorimes
i) L’alternance rimée AABCBC
du Xième poème «Ab la dolchor
del temps novel» de
Guillaume IX formule le septième groupe A des rimes alors que le XIII siècle
construit le septième groupe B des rimes ABABBC dans la poésie de Jacopone da Todi. (1) Le Xième poème «Ab la dolchor del temps novel» de Guillaume IX.
L'influence de de Venatio Fortunatus (VI s.)
III) Les confrontations des poèmes de Guillaume IX. L’expression médiévale: "Farai un vers, pos mi sonelh" et son opposition narrative à Venance (ou Venante) Fortunat fondateur de la lyrique en Europe médiévale au VI s.
Le
chapitre III) «But du travail» présente les tâches du
mémoire et leurs motivations. La théorie
de Freud selon la conception de l’amour de l’antiquité à travers le Moyen Âge
Le
chapitre IV) «Méthodologie» détermine les modes qui sont utilisés dans les
analyse littéraires des textes.
Le paragraphe a) Trois types de comparaisons et trois
types de confrontation opposée présentent
les sphères des connexions entre les œuvres comparées et confrontées.
Le paragraphe b) Modes de l’analyse comparative du
quatrième chapitre présente les modes de l’analyse selon les facteurs objectifs
et subjectifs.
GUILLAUME
IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) et BERTRAND DE BORN (1140- v.1215)
La première moitié du mémoire s’intitule La maîtrise du jongleur des mots et des rimes
Son chapitre I) Destin et talent de Bertran de Born
n’a que deux paragraphes:
Son premier
paragraphe a) Destin décrit la
biographie de Guillaume IX sur la base de l’article «Tous droits réservés» (Mise sur la page le
11/2001© Poésie sur la Toile, 1999 – 2003).
Le deuxième
paragraphe b) Invention des clés poétiques
selon l’empreinte de Guillaume IX.
Le chapitre II) L’analyse littéraire basée sur les idées maîtresses, les problématiques, les
crédos, etc. et l’analyse sur la frontière entre la critique littéraire et la
linguistique théorique selon le
métriques et les alternances des syllabes brèves et longues
Son
premier paragraphe a) La critique
littéraire sans participation de la linguistique
Le
paragraphe (b) s’appelle L’utilisation de la critique
littéraire sur la frontière avec la linguistique, parce que l’évolution des
langues oblige à correspondre au temps. Il examine l’analyse sur la
frontière entre la critique littéraire et l’évolution de la langue présente
l’alternance des syllabes brèves et longues selon l’empreinte des derniers
poèmes à Rome Antique. Il essaye de déterminer l’origine de Bertrand de Born
sur la base de la poésie de Guillaume IX.
Le
paragraphe a) LE
MONUMENT opposé
au monument d’Horace démontre que la volonté populaire était toujours
opposée aux structures officieuses comme la même langue de Guillaume IX sans
grammaire, sans gouvernement et sans rationalité au cœur. (1) Deux confrontations. (2) Le final du poème «Pos dè chantàr m’es près talèntz» la confrontation plainte de tous les deux poèmes.
c)
Confrontation de Guillaume IX selon le poème selon «Pos dè
chantàr m’es près talèntz»
et Cadenet selon «S'anc fui belha ni prezada» http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Cadenet.html
.
Le
paragraphe d) La supposition que Guillaume IX a influé sur la poésie
de l’abbaye de Saint-Victor montre un
fragment du poème très proche à la chanson «Pos de chantar m’es pres talentz». Il
permettait de supposer que la métrique et les alternances rimées de Guillaume
IX ont influé sur les poètes de l’abbaye de Saint-Vicor et par contre. La thèse analysera leur
comparaison des formes et des problématiques selon la méthodologie mentionnée.
Le chapitre II) Sept groupes
des alternances rimées
des troubadours arrivent en Europe analyse la réalisation des même alternances mentionnées
dans l’introduction.
Le paragraphe a) La réflexion de
la chanson «Pos de chantar m’es pres
talentz» dans la troisième école de rimes de Jacopone da Todi présente la réflexion de l’alternance rimée «zadjal
andalou» dans la poésie ecclésiastique à
travers les intermédiaire troubadours. La thèse examinera quelques poème de Jacopone da Todi http://www.classicitaliani.it/duecento/Iacopo02.pdf
qui pouvaient être composés sous l’influence de Guillaume IX à travers de
Saint-Victor.
Le paragraphe b)
Réflexion du quatrième groupe A dans le quatrième groupe B en Italie présente
l’affirmation que Le
quatrième groupes A des monorimes des troubadours a dix
ou onze vers alors que les premiers six vers n’ont que le même monorime et le
deuxième groupe de quatre à cinq vers n’a qu’une seule autre rime de tous les
vers du deuxième groupe. Il est cité un fragment de la poésie de Bertrand de
Born qui correspond aux exigences du quatrième groupe A des monorimes. Dans la
deuxième partie du paragraphe il s’agit qu’À
la quatrième école B des monorimes AAAAAAABB
de clergés appartient le «Rythme Cassine», où on fait le discours entre
l’orthodoxe d'orient et le catholique d'occident.
Comparaison
entre le poème «Rassa tan creis e monta e poia» de Bertran de Born http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/BertrandDeBorn-1.html
et de tout le «Rythme cassine» http://www.classicitaliani.it/varia/ritmi.htm#rit8 .
Le paragraphe c) La réflexion de la chanson «Compaigno, non piuosc mudar
qu'eo no m'effrei» de
Guillaume IX dans la première école des
monorimes présente le deuxième poème
du Guillaume IX comme le même monorime de tous les vers du poème, où ne se
rencontrent aucune autre rime. Son alternance des syllabes longues et brèves du
poème mentionné de Guillaume IX
· Maecenas//
atauis// edite //regibus,
· o et prae//sidium
//et dulce //decus meum,
· sunt
quos cur//riculo //puluer(em) O//lympicum
·
collegis//se iuuat// metaque //feruidis
(Traductions http://www.mythorama.com/caches_txt_fr/500_599/560/560.html http://www.espace-horace.org/trad/patin/odes1.htm#i)
L a thèse examinera la première
épreuve de l’utilisation de la métrique latine dans la poésie populaire et
montrera ses tentatives de suivre les modèles classiques.
Le paragraphe d) du doctorat essayera de démontrer leur
influence sur la formation de l’école poétique du «Rythme Laurentien» comme dans le premier poème fini en italien. Il
essayera de montrer la connexion entre les images des chevaux de Guillaume IX leur réflexion dans la
naissance de la littérature italienne.
Le paragraphe h) analysera Le poème ”VIII. -
Farai chansoneta nueva” et essayera de montrer la réflexion de son deuxième groupe rimé sur
le poème «Dirai
vos senes doptansa» de Marcabru http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Marcabru-2.html
ou le derniers vers B ne correspond pas à la métrique glyconienne. Encore ce
paragraphe montrera l’influence sur la formation du deuxième groupe B AAABAAB des monorimes dans le poème
de Marcabru «PASTOURELLE» ou «L'autrier jost'una sebissa»
http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Marcabru-5.html
Le paragraphe i) fera l’analyse complète de la chanson «VIII. - Farai chansoneta nueva» de Guillaume IX et de deux poèmes «Dirai vos senes
doptansa» et «L'autrier jost'una sebissa» de Marcabru d’après la méthodologie mentionnée selon les facteurs de la critique littéraire.
Le paragraphe j)
La confrontation du «VIII. - Farai
chansoneta nueva», d’un
fragment de la «Comédie d’ânes» de Titus Machtius Plautus et d’un fragment
du «Livre de Bon Amour» de Johan Ruiz au XIVe siècle en Espagne fait les parallèles entre Guillaume IX, Titus Machtius Plautus et Johan Ruyz et montre les réflexions de la poésie provençale et les poésie byzantine en Espagne sur le «chemin français».
Le paragraphe k)
enveloppera la cinquième école des monorimes et ses 3 parties. (1) L’alternance ABBABBA appartient au cinquième groupe A des monorimes
dans le poème «Mout jauzens me prenc
en amar » de Guillaume IX.
En ti es mi esperança,
1684
Virgen Santa María;
el Señor de tal valía
es razón de haber fiança.
Ventura astrosa,
1685
cruel, enojosa,
captiva, mesquina,
¿por qué eres sañosa,
contra mí tan dañosa,
et falsa vesina?
(3) L’influence
du cinquième groupe des monorimes sur le
trouvère Jehan Bodel selon
son poème «Congés»
http://www.unibuc.ro/eBooks/lls/MihaelaVoicu-LaLiterature/Trouveres.htm
l) L’alternance rimée AABCBC du Xème poème «Ab la dolchor del temps novel» de Guillaume
IX formule le septième groupe A des rimes alors que le XIII siècle construit le septième groupe B des rimes ABABBC dans
la poésie de Jacopone
da Todi.
m) Le septième groupe B des rimes
ABABBC selon l’éloge
I [XXII] de Jacopone da Todi
http://www.classicitaliani.it/duecento/Iacopo01.pdf et selon sa réflexion dans le petit
changement dans le poème «Gosos de santa Maria» de Johan Ruys
http://www.cervantesvirtual.com/servlet/SirveObras/24661685545133385754491/p0000001.htm#89
III) L’influence de la racine du septième groupe
des alternances rimées sur les trouvères
Epilogue: La création des troubadours
Motivation du doctorat Deux
influences de GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) de Bertran de Born (1140- v.1215) sur la littérature européenne d'Alexander Kiriyatskiy
La motivation du doctorat est la cause de l'analyse
systématique de la formation de la première poésie non en latin. Les racines de
la même cause sont les traditions de néant dans la poésie des troubadours. Le
XXIème siècle a besoin de la nouvelle reconnaissance de poètes qui ont
renouvelé toute la littérature européenne. Elle a formulé les premiers ordres
des rimes et des métriques. La cause de la composition du doctorat est le désir
de ne pas séparer la poésie des patois romans et d'analyser l'influence
supposée de deux troubadours la naissance de la poésie française italienne et
espagnole. La tâche du doctorat enveloppera la base des nouvelles empreintes de
la poétique orientale. Elles aideront à analyser de nouveau les changements de
l'époque des croisades, parce qu'elles montreront les connexions entre 1) Le
désir de réanimer l'empire antique et formuler le nouveau, celui qui n'existait
pas. 2) L'analyse des connexions entre le passé et le futur nous permettront de
comprendre la problématique de l’époque comme la mesure de celle-ci. La tâche
de thèse posera la question: «Pourquoi les alternances rimées des troubadours
ont réussi à influer sur la poétique ecclésiastique alors que l'église était
toujours contre le développement des patois populaires. 3) Le but du doctorat
est l'analyse de sept groupes des alternances rimées qui ont produit leurs
propres types A, B, C, D, etc dans la poésie des autres poètes occitaines et
des poètes des autres peuples. 4) La liberté et la nécessité dans les choix
formule la deuxième Renaissance après l'époque de Charles Magne. La cause de la
composition de thèse est la nouvelle comparaison et la nouvelle confrontation
entre ces deux renaissances conditionnelles.
L’objet de la thèse est fondée sur la nouvelle
compréhension du XXIème siècle qui devra présenter la nouvelle idée maîtresse
où il s'agira comment l'hérésie de la symbolisation de l'amour a vaincu la
tradition poétique de l'Europe.
Le doctorat essayera de systématiser de nouveau le
développement de la littérature du XII au XIV siècle en Europe.
a) Trois types de comparaisons et trois
types de confrontation opposée.
Deux matières s’opposent mais
l’une dépend de l’autre. Elles sont la comparaison et la confrontation opposée.
Beaucoup de faits et phénomènes se recherchent selon leurs rapports. Chaque
fois des facteurs se rencontrent dans les sphères jamais étudiées ou peu
investiguée.
Se comparent et se
confrontent les œuvres d’une seule nationalité avec les œuvres des peuples
proches, distincts ou éloignés l’un de l’autre. Aussi s’analysent les œuvres
qui ont été composées en langues appartenant à un seul groupe linguistique et à
des groupes différents. S’étudient des œuvres écrites aussi aux périodes
différentes de l’histoire.
(A) Comparaison se
considère l’étude des facteurs communs. Le but de la comparaison se trouve dans
la construction des parallèles historiques, dans la recherche et dans la
systématisation des nombreux facteurs généraux et subjectifs. Les
deux types de facteurs déterminent le fond et la vigueur des influences
littéraires.
Telles définitions permettent de comprendre mieux l’évolution de toute la
littérature mondiale.
En Russie et en Italie la matière “Comparaison traditionnelle“ a trois types
qui ne dépendent pas des périodes historiques. (A 1) Le premier se fond sur
l’influence de l’œuvre essentielle lorsque se déterminent une seule source et
une seule réminiscence (thème emprunté) développée dans des œuvres différentes
mais appartenant à un seul genre. (A 2) Le deuxième type d’analyse
comparative conduit aux limites entre comparaison et confrontation opposée. Ses
œuvres appartiennent à une seule source mais de sujets différents. Ils sont
unis seulement comme réflexion de la première œuvre lorsque la première devient
manifestation indirecte de la deuxième. (A 3) Le troisième type de comparaison
recherche lyrique où le sujet n’existe pas et chaque forme ou chaque influence
idéologique ou quelque phénomène historique devient la source.
(B) La confrontation oppose les littératures qui ont des sujets différents sans
origines communes. Les confrontations se divisent dans trois types. (B1) Le
premier étudie les œuvres absolument opposées pour démontrer la variété d’un
seul genre et pour confronter la diversité de foi esthétique. (B 2) Le deuxième
type recherche littératures avec absence d’une seule source et de réminiscence
commune, il analyse les destins similaires de leurs écrivains. C’est
pourquoi le deuxième type analyse les indices égaux. Ils se recherchent dans
les matières analysées. Si les deux œuvres ne développaient pas le même thème
et si elles ne provenaient pas de la même source, existerait une autre source indirecte
de tous les deux qui devient la somme des indices communs. Les indices communs,
qui se rencontrent dans les littératures de peuples différents, se fondent sur
l’influence d’une partie de la première œuvre essentielle. Cette première œuvre
détermine indirectement le sujet de la deuxième œuvre. Le deuxième type de
confrontation désigne parallèles historiques entre les littératures de nombreux
peuples lorsqu’en ces dernières se rencontrent les indices communs recherchés.
S’enveloppe le but général du deuxième type de confrontation et passe la
recherche des indices communs â l’intérieur des littératures. Elles se
confrontent, sont été constituées les escaliers d’époques et en même temps se
comparent. Ce même deuxième type de confrontation sera utilisé dans le
processus de la composition du doctorat.
(B 3) Le troisième type de confrontation est voisin du premier type de
comparaison et se sert lorsque se recherche l’influence d’un chef-d’œuvre sur
les œuvres mineures (que soit impossible de comparer à telle chef-d’œuvre les
œuvres subordonnées). Selon le troisième type de confrontation les œuvres
subordonnées n’en sont que la réflexion.
b) Modes de
l’analyse comparative:
Deux types des méthodes existent selon les comparaisons et les confrontations.
Ici il s’agit des analyses générales (1) et des analyses subjectives (2)
utilisées dans les recherches.
(1) Les premiers étudient les sphères générales. Elles sont les facteurs
historiques (1 a), les idées généralisées (1 b), les problématiques (1 c), les
thématiques (1 d), les idéals esthétiques (regard sur le monde et recherche
d’idéals dans le monde) (1 e), le credo artistique (1 f), les intentions
esthétiques (1 g), les compositions poétiques (1 h), le développement des
événements (1 i), les tendances (1 l), les genres (épique, dramatique, lyrique,
etc..) (1 m), les formes (prose ou poésie) (1 n), les procédés de la recherche
(d’exploration, de généralisation, d’individualisation, d’évaluation, de
contemplation et d’état intermédiaire entre la critique littéraire et la
linguistique théorique) (1 o).
(2) Les deuxièmes facteurs subjectifs se présentent comme plus concrets et plus
isolés parce qu’ils se réalisent dans des comparaisons plus souvent que dans
des confrontations opposées. Les méthodes subjectives sont composées selon
trois groupes.
(2.1) Les facteurs, qui entrent dans le premier groupe, soulignent les
particularités des arguments, les développements des événements et de
l’individu. Ils sont le sujet et l’argument (2.1. a), l’évolution des sujets
(commencement, culmination et nombreux départs (ils peuvent constater la
solution des conflits, le fin tragique, l’absence de solution des problèmes
mais ils laissent l’espoir en avenir, etc.) (2.1. b).
Aussi les facteurs du premier groupe aident à évaluer les personnages
essentiels et secondaires (2.1.c), les caractères des personnages (2.1.d), les
particularités psychologiques des personnages (2. 1. e), ils déterminent les
types des héros (2.1.f), l’intériorité psychologique (2.1.g), les types de
relation entre les personnages (2.1.h), les différences des relations des
écrivains avec leurs personnages (2.1.i) et les styles du discours entre les
héros (2.1.l)
(2.2) Le deuxième groupe de facteurs subjectifs de comparaison et de
confrontation comprend la poésie et la prose poétique des genres lyrique,
dramatique et épique. Il analyse les concepts successifs aux facteurs suivants:
au lexique poétique (2.2.a), aux règles synthétique de la prose (2.2.b), à la
sémantique poétique (2.2.c) et à la rythmique poétique (alternance des syllabes
(iambe, coré, hexamètre, dactyle, strophe saphique, etc.) et métrique
(décasyllabe, endécasyllabe, etc.)) (2. 2. d).
(2.3) Le troisième groupe des facteurs examine les tropes: les épithètes
(2.3.a) et les comparaisons sémantiques (2.3.b).
Les facteurs de ces méthodes seront utilisés dans le processus de la
composition de l’analyse.
But finale.
La première
poésie en langue populaire, dont le sujet et le développement des idées des
nouvelles relations entre le lecteur écouteur et le poète chanteur n’existaient
pas encore au XIe siècle, doit inventer la nouvelle base qui aura devenu
l’héritage universelle de la littérature de toute l’Europe. La critique
littéraire doit être le trait distinct des chansons des troubadours qui sont
entrés dans la poésie mondiale et sont resté dans les poésies des autres
langues (espagnole, italienne et russe). La pensé s’exprime très souvent dans
le choix de l’alternance de la rime et de la métrique, elle peut être comprise
exactement seulement selon le développement du sujet, selon les images et selon
les influences. Cette partie de l’étude doit embrasser tous les aspects de
l’analyse et la particularité du temps des troubadours. Le but du travail consiste
en démonstrations qui font comprendre la guerre entre la latinisation de
toute l’Europe et la naissance de la poésie populaire de néant. En fin de
l’analyse, se réaliserait la preuve de la traduction poétique en français de
tous les poèmes en langues étrangères comme de Guillaume IX duc d’Aquitaine qui
seront utilisés dans la composition du doctorat. Le but du doctorat est
l'utilisation de toute la méthodologie mentionnée pendant le processus de la
composition.