FACULTÉ DE LETTRES
Philosophie de l’antiquité tardive et son explication à travers la réalité, la connaissance, la logique et la langue et leur chemin vers le grand silence médiéval de l'Empire Romain depuis 284 jusqu’à 565
Projet de THESE de Doctorat
présenté à la
Faculté de Lettres
de l’Université ...
pour l’obtention du grade de
Docteur ès Lettres
par Alexander KIRIYATSKIY
Directeur de thèse
………………………………………
Co-directeur de thèse
……………………………………….
Rome entre 284 et 565.
Description du premier
chapitre
Le projet de travail que je
présente pour mon admission à l’université s’intègre dans la structure d’un examen
des détails des religions de l’Antiquité Avancée en Europe depuis 284 jusqu’à
567. Ce qui introduira ce même travail portera sur la nouvelle époque, alors
que le pouvoir de l’empereur dLe projet de travail que je présente pour mon admission à l’université s’intègre dans la structure d’un examen des détails des religions de l’Antiquité Avancée en Europe depuis 284 jusqu’à 567. Ce qui introduira ce même travail portera sur la nouvelle époque, alors que le pouvoir de l’empereur devient illimité. Le fils de l’esclave affranchi Valeri Dioclétien (né en 225, règne de 284 à 305) devient le monarque absolu. Il rompt toutes les liaisons avec le système de principat. Ce dernier se constituait par le pouvoir du premier sénateur et du premier citoyen. Le principat avait l’autorité suprême. Depuis 284, la monarchie se transforme en certain Dominat. Elle légitime la tendance autocratique de la dynastie des Sévères (222-284) officiellement. Notre thèse posera la question: pour quelle raison et comment l’empereur devient le dominus divinisé de tous les subordonnés malgré leur origine? En présence de l’empereur depuis 284, tous les sénateurs devaient tomber à genoux, baiser les extrémités de sa robe pourpre et, plus tard, être à pied toujours en présence de l’empereur dominus, d’où vient l’origine de l’idéologie de la monarchie byzantine. Il y a la nécessité de former la hiérarchie des césars plus inférieurs que les augustes.
Réformes
Dioclétien a divisé l’Empire en 12 diocèses. Chaque diocèse avait ses provinces. Il organisa l’armée en deux catégories. Cette première devait rester toujours stationnaire à défendre les frontières. La deuxième catégorie devait être mobile afin de se transférer aux points nécessaires à l’intérieur de l’Empire. Notre thèse traversera les parallèles entre la Russie communiste et la transformation du Principat romain en Dominat. Dans ces deux cas, les représentants des esclaves saisirent le pouvoir illimité dans leurs mains. De même, Dioclétien remplaçait Jupiter et Lénine avec Staline remplaçaient Jésus Christ sur la base de la nouvelle réalité et sa nouvelle logique. La thèse comparera leurs relations négatives des connaissances au christianisme. Nous dévoilerons comment les communistes se sont inspirés de l’édit des prix maximaux de Dioclétien depuis 301. La deuxième partie de cet édit fixe les salaires maximaux pour tous, depuis les ouvriers jusqu’aux honoraires des architectes et des avocats (edictum de pretiis rerum venalium). Ce sont les reformes de Dioclétien. L’usurpateur britannique Carause (286-293) a régné jusqu’à sa mort. Il fut substitué par Constance Chlore. Maximien a commencé la guerre de contre les tribus maures, contre les alamanes germaniques et contre les francs. Le triomphe de Dioclétien prit naissance en Égypte par sa bataille contre Achillès (non Achille). La campagne militaire de Dioclétien et de Galère était contre les persans. Le 1 mai 305 Dioclétien à Nicomédie et Maximien à Milan ont renoncé au pouvoir. Dioclétien est mort entre 313 et 316. En 305, Galère et Constance étaient proclamés les augustes.
Philosophie pratique du IIIe et Ve siècle
La première partie du travail examinera la philosophie à l’époque de Dioclétien. Nous analyserons le néoplatonisme, selon l’enseignement de Plotin (203-269), où s’harmonisaient les systèmes différents de Platon, d’Aristote et des héritages stoïciens et pythagoriciens. Notre analyse se fondera sur l’œuvre de Boèce consacré à Parfirius. Nous étudierons le philosophe grec Jamblique de Colchide (283 – 330) qui a voulu unir toutes les religions des polythéistes. Il a tenté d’expliquer la magie rituelle philosophiquement. Notre travail démontrera que ces tendances correspondaient à l’exigence du temps. La philosophie chrétienne couvre deux tendances. La première se fondait sur la base de Clément Alexandrin (tué en 215 par l’ordre de Salomé). Il a synthétisé la culture grecque et la croyance chrétienne. Origène (185-253) a soutenu et développé cette tendance. En 217, il a organisé son cercle alexandrin. En outre, les représentants de la deuxième tendance orthodoxe ont condamné la première tendance d’Origène dans l’hérésie. En 231, Origène a transféré son école en Palestine. Selon ses trois règles du texte biblique (littérale, morale et philosophique-mystique) Origène est mort rejeté par l’Église officielle. Le fondateur de la deuxième tendance orthodoxe Tertullien (160 – 220) a refusé totalement l’héritage du néoplatonisme et a fondé les idéaux médiévaux. À Rome, le disciple de Méthode Liquide devient Lactance (250-325) futur éducateur du fils de l’empereur Constantin. Notre thèse analysera la vie de Lactance à l’époque de Dioclétien et plus tard.
Description du deuxième chapitre. Philosophie politique et sa réalité.
Le deuxième chapitre de nos études sera consacré aux problèmes historiques du IV siècle. En 306, l’empereur britannique Constance Chlore décède et l’armée proclame empereur son fils Constantin. Galère l’a reconnu césar, mais immédiatement à Rome, où il introduit l’impôt total, la plèbe et les soldats proclament auguste Maxence fils de Maximien. La guerre civile commence. Maximien a voulu défendre le futur de son fils. En outre, il meurt en 310 en Gaule après sa tentative manquée de recouvrer le pouvoir. L’union de Constantin avec Valéry Licinius célèbre le triomphe de leur gouvernement. La bataille décisive s’est passée près du Pont Mollien à Rome. La relation négative de Maxence au christianisme était opposée à la tolérance religieuse de Constantin. Notre thèse tentera de démontrer que cette dernière a tué l’héritage de la culture antique. Constantin et Licinius ont signé cet édit à Milan en 313. Ils dirigeaient l’Empire jusqu’en 324, alors que les discours politiques provoqueront la guerre civile. Constantin a triomphé pour régner avec ses fils jusqu’en 337, où le tribunal a exilé Licinius à Thessalonique, où il a été tué. Pour quelle raison Constantin pouvait décider les discours dogmatiques du christianisme, alors qu’il n’était pas encore chrétien? La deuxième partie illustrera 3 hérésies. Ces dernières sont apparues à l’époque de Constantin. Leurs disciples s’appelaient les donatistes, les préscilianistes et les ariens. En 325, la Cathédrale Universelle de tous les évêques de l’Empire se réunissait à Nicée. L’empereur Constantin (encore polythéiste) la dirigeait. Elle a proclamé le symbole de la foi et a formulé les dogmes essentiels du christianisme à travers sa langue, par sa logique, s réalité et sa connaissance, alors que Constantin n’appartenait pas à cette religion. La majorité de ses représentants ont condamné l’arianisme et sa philosophie. Ari s’est vu exilé en Illyrie. La thèse devra analyser le rôle de la Cathédrale de Nicée.
A) Les réformes de Constantin
Quatre préfectures: l’Orient, l’Illyrie, l’Italie et la Gaulle au-dessus de leurs diocèses. Les préfets des prétoires administraient dans chaque préfecture, et les vicaires des diocèses devenaient leurs subalternes. Les présidents des provinces étaient leurs subordonnés, et les proconsuls n’administraient que les trois provinces l’Achaïe, l’Afrique et l’Asie. Constantin a divisé le pouvoir civil et le pouvoir militaire définitivement. Les préfets n’appartenaient qu’au pouvoir civil. Seuls les magisters militaires dirigeaient les armées. Constantin a achevé la division de l’armée en deux parties. La garde prétorienne (diminué à l’époque de Dioclétien) était transformée dans les parties domestiques et dans les parties du protectorat. Deux édits de 316 et de 325 ont interdit aux strates supérieures de toutes les villes de quitter les lieux, où elles sont nées. Ni les décisions des congrès urbains ni les ordres de l’empereur ne pouvaient les affranchir des charges municipales. Les devoirs des curiaux devenaient héréditaires. Les propriétaires, qui avaient des colons appartenant à quelqu’un d’autre, devaient payer leurs amendes. Chaque colon réfugié devait être mis aux fers comme esclave. Codex Theodosianus, V, 91. En 317 le même destin attendait les Maîtres de l’Hôtel des Monnaies. La constitution impériale de 332 a interdit le départ légal des colons en dehors de la région de leur asservissement, Codex Theodosianus, X, 20, 1, Cod. Just., XI, 8, 1. En 324, Constantin décide à fonder la nouvelle capitale au centre de l’Empire. Elle devait apparaître sur la place de la vieille colonie grecque Byzance entre l’Asie et l’Europe. Avant le 11 mai 330 à Byzance, les architectes construisent le nouveau palais de l’empereur sur 150 unités carrées de mesures, où on a apporté les meilleurs monuments de l’art de toute la Grèce. Dans cette ville, on a construit les grands thermes, la bibliothèque et l’hippodrome. On a constitué le nouveau sénat, où se trouvait un des consuls. Les représentants de la vieille religion ont participé ainsi à l’édification de la nouvelle ville. On a construit des temples chrétiens et un charmant temple de la Fortune. La grande statue d’Hélios soutenait l’empereur Constantin. Le culte philosophique du monothéisme du soleil invaincu côtoyait le christianisme. On suppose, selon des renseignements historiques, que la constitution de la nouvelle capitale a amené l’affaiblissement en 383, la décadence en 410 et la suppression de l’Empire d’Occident en 476. Constantin a continué les réformes de la réalité de Dioclétien. En 332, l’armée romaine a vaincu les goths. Elle a obligé les Sarmates à rester dans les provinces italiennes. Constantin a été considéré égal aux apôtres malgré les répressions de Constantin contre son fils Crypte et contre sa femme Faust (fille de Maximien) et malgré sa conversion au christianisme hérétique d’Ari avant mourir. Les persans ont occupé l’Arménie et la Mésopotamie.
B) Des autres empereurs du IV siècle.
Après la mort de Constantin
régnèrent ses fils: Constantin II (337-340) (Flavius Iulius Claudius Constantius né en
317, Constante (337-350), Flavius Iulius
Constans né en 323) et Constance II (337-361). En 351, le moyen fils de
Constantin Constance II a attiré le pouvoir au-dessus de tout l’Empire. Il
était l’aryen et il a obligé Athanase, l’adversaire orthodoxe d’Ari, à quitter
la capitale. Constance II aimait les monuments de l’antiquité polythéiste et à
l’époque de son gouvernement le paganisme n’était pas persécuté. Constance a
envoyé à l’Occident son cousin Flavie Claude Julian pour combattre contre les
alamans. La guerre contre le roi persan Chapour exigeait que les légions de
Julian soient transférées à l’orient. Cette exigence provoqua des troubles
militaires. Julian jeta son armée contre Constance. Il décède à Cilicie. Julian
régnait pendant 3 ans depuis 361 jusqu’à 363. L’historiographie l’a dénigré.
L’histoire l’a appelé Apostat, car le but de toute sa vie consistait dans la
restauration de la vieille religion. Il a privé le clergé chrétien obtenu après
325 à l’époque de Constantin et de ses fils. Julian était populaire parmi les
sénateurs et les intellectuels grecs. En outre, les soldats et le peuple ne le
soutenaient pas. Julian fut blessé après le siège avorté de la capitale persane
Ctésiphon et, avec la retraite, il décéda. L’empereur suivant fut Jovien. Il
devait signer la paix avec les persans et reconnaître l’indépendance de
l’Arménie. Jovien était chrétien. Il a annulé les ordres de Julian contre le
christianisme. Au début de 364, il est mort. L’armée a proclamé l’empereur
Flavie Valentinien I. Il administrait l’Occident. Sa capitale est devenue
Milan. Il a proclamé césar Flavie Valent
pour gouverner la partie orientale de l’empire avec la capitale à
Constantinople. Après la mort de Valentinien I en 375, son fils Gracian pris le
pouvoir. Il s’habillait dans la robe fourrée des barbares. Il était chrétien et
ennemi fanatique de la tolérance religieuse. Il a refusé d’être le premier
pontife du paganisme. Il se trouvait sous l’influence particulière de saint
Ambroise. La thèse analysera l’influence de ce dernier sur l’idéologie de
l’Empire. Gracian a confisqué la propriété de tous les serviteurs polythéiste.
En 382, Gracian a obligé d’emporter, de la curie sénatoriale, la statue de la
Victoire. La majorité des écoles philosophiques et scolastiques était fermées.
Notre recherche étudiera l’Empire des romains barbarisés et sa transformation
en ruines, avant les conquêtes. En 375 et en 376, les visigots reçoivent la
permission de Valent d’habiter dans le diocèse de la Thrace. L’insuffisance de la
nourriture, la vente violente des enfants des visigots comme les esclaves et la
confiscation partielle de leurs armes ont conduit aux pillages des domaines
riches en orient. En 378, la bataille auprès d’Andrinople (entre les visigots
et toutes les armées de Valent). L’armée a essuyé une défaite. Cela s’est
reflété dans l’absence de la possibilité de défendre les frontières étatiques
longtemps. L’historien Amiens Marcellin compare cette défaite avec la bataille
de la République Romaine près de Cannes. Comme la République était réanimée, de
la même façon que Byzance. L’Empire Oriental avait réanimé sa vitalité et, en
400, a pu se débarrasser du Visigoth Gaine gouverné à Constantinople.
L’empereur Arcadie dépendait de lui et avait peur du danger visigotique. En
outre, Byzance a réussi à devenir indépendante. Au contraire, l’Occident a
continué à devenir barbarisé et à perdre son état plastique. Après la mort de
Valent en 379, à Constantinople Gracian a proclamé la victoire de son disciple
orthodoxe Théodose. Notre recherche étudiera le rôle de Théodose dans la
division déterminante de l’Empire: la l’Empire Occidental et Byzance. En 381,
la deuxième cathédrale universelle s’est constituée déjà à Constantinople en
opposition à l’église romaine. En 383,
Gracian est tué. La lutte commence pour le pouvoir entre Valentinien II Mineur
(375-392), Magne Maxime (383-388) et Flavie Victor (384-388). Le sénat romain a proclamé l’empereur Eugénie
(392-394). Comme Julian, Eugénie a tenté d’obliger l’Occident à revenir vers la
vieille religion. Nous posons alors la question: le retour à l’antiquité
pouvait-il sauver l’Empire Occidental?
Le chrétien fanatique Théodose a refusé de reconnaître le néoplatonisme
et les dieux antiques. C’était la raison, pour la quelle, Théodose a jeté
toutes ses légions dans la guerre contre Eugénie a fin d’obtenir le Paradis
après sa mort. En 394, après la bataille sanglante, la plupart des légions
d’Eugénie ont soutenu la politique religieuse de Théodose. Après le triomphe de
394, Théodose a concentré le pouvoir de deux empires dans ses mains jusqu’à sa
mort en 395.
Philosophie de la nouvelle expression du paganisme
Très souvent les hommes étaient des polythéistes dans l’âme et se convertissaient au christianisme, selon l’avantage qu’il y trouvait sur la base de la nouvelle connaissance et la nouvelle réalité historique. Ammien Marcellin est l’historiographe du IV siècle. Il est arrivé en Italie en 357 avec le général Ursinis. Il a témoigné du triomphe de Julian en Gaule. En 363, l’historiographe a participé à la compagne militaire de Julian en orient. Grâce à son héritage historique, nous avons l’information claire et concise de Julian Apostat. Il a commencé son travail historique «Rerum gestarum libri XXXI» depuis l’année 96, après la mort de Nerve. Il a fini sa chronologie à la mort de Valent en 378. Jusqu’ à nos jours on n’a conservé que 18 livres (XIV-XXXI) d’Ammien Marcellin. Décime Magne Ausone (310-393) était connaisseur de la littérature, de la rhétorique, du grec et du latin classique. On considère la «Moselle» comme son chef-d’œuvre. Il décrit la rivière «Moselle» située à proximité spirituelle des barbares et ses rives pittoresques avec les raisins. Le premier poète chrétien de cette époque fut Juventus (Gay Aquilin). On le considère comme le compositeur du poème épique de 3 200 vers consacrés au christianisme. Hilaire de Poitiers (mort en 367) a reçu l’instruction supérieure chez les rhéteurs aquitains. Il manifestait contre Constance I à Constantinople. Le poète le plus productif de cette époque fut Prudence (348-405). Il a laissé 10 000 vers. Il a écrit 2 livres contre Symmaque et 20 poèmes opposés au message de Symmaque à l’empereur. Prudence a critiqué sa défense des valeurs polythéistes. Son chef-d’œuvre est le «Peristephanon». Nous soulignerons les approbations littéraires et philosophiques en orient des écrivains opposés comme Basile de Césarée, appelé également Basile le Grand, né en 329 et mort le 1er janvier 379 à Césarée, est l'un des principaux Pères de l'Église. Nous attirons l’attention sur Horapollon, nom signifiant Horus Apollon (ou Horapollon le Jeune, Horapollon de Phénébythis), est un philosophe alexandrin qui a vécu dans la deuxième moitié du Ve siècle. Eusèbe de Pamphile de Césarée, en latin Eusebius Pamphili (vers 265 – vers 340), évêque de Césarée en Palestine, est un écrivain, théologien et apologète chrétien. Grégoire de Nazianze, ou « de Naziance », dit « le Jeune », ou encore Grégoire le Théologien, né en 329 en Cappadoce et mort en 390, est un théologien et un docteur de l'Église. Grégoire de Nysse, né entre 331 et 341 à Néocésarée (actuelle Niksar en Turquie), dans la province du Pont-Euxin, mort après 394, théologien chrétien et Père ecclésiastique. Évagre le Pontique (346-399) est un moine du IVe siècle dans le désert d'Égypte, premier systématicien de la pensée ascétique chrétienne.
Description du troisième chapitre
Ce chapitre tentera de formuler la nouvelle opinion selon la division déterminée de l’Empire. Il analysera le développement de deux pays indépendants. L’époque a systématisé les gouvernements de tous les empereurs suivants de l’ouest et de l’est depuis 375 jusqu’à 565. En occident: Flavie Honorius (395-423), l’usurpateur britannique et gaulois Constantin III (407-411), Priscus Attalus (qui s’est proclamé empereur au nord de l’Italie selon l’ordre d’Alaric, où il régnait de 409 à 410 et en Gaule de 414 à 415), l’usurpateur de 421 Constance III, Johannes (423-425), Flavius Placidus Valentinianus III (425-455), Pétrone Maxime (455), Avit (455-456), Maiorianus (457-461), Libius Severus III (461-465), Procopius Anthemius (467-472), Olybrius (472), Glycerius (473-474), Nepos (474-475) et Romulus Augustulus (475-476). En Byzance: de nouveau, s’analyseront les termes des règnes des empereurs Arcadie (395-408), Théodose II (408-450), Marcien (450-457), Léon I (457-474), Léon Mineur (474), Zénon d’Isaure (474-491), Anastasie (491-518), Justin I (518-527) et Justinien (527-565)
Les problématiques générales du V et du VI siècles et leur réalité.
Honore n’avait que l’âge d’11 ans et, au-dessus de lui, gouvernait le magister militum. C’était le vandale Stilichon époux de la fille de Théodose. Il a triomphé dans la bataille philosophique et religieuse contre le préfet byzantin Rufin ennemi de Jérôme. Rufin fut tué à Constantinople, car il n’avait pas statué sur le problème de la frontière entre deux Empires et était condamné dans l’éréthisme. En 401, Alaric a attaqué l’Italie. Stilichon a obtenu la paix avec lui et Alaric est devenu l’allié dans la lutte contre Constantinople. En 408, Alaric a conquis la Pannonie et Norique. Il a exigé l’argent et les vivres de Rome. Stilichon a exécuté son exigence, car il a voulu utiliser Alaric dans la lutte contre les usurpateurs. Mais la partie opposée à Stilichon a triomphé à Rome et Stilichon fut tué en 408. Après son exécution, deux fois déjà, les goths s’approchaient de Rome. Alors, ils ont obligé à libérer 40 000 esclaves. À la troisième fois, le 24 août de 410 les esclaves leur ont ouvert la porte de la cour romaine. Le pouvoir de Rome a voulu correspondre aux idéaux de la société barbarisée. Cette dernière était occupée et pillée pendant 3 jours. Alaric arien ne dévastait que les églises. Ce fragment de notre thèse tentera de dévoiler que la chute de Rome a passé en 410 et seulement formellement en 476. Cette chute a provoqué le retour aux traditions du néoplatonisme. Les écrivains comme Rutile Namacien ont voulu réanimer la religion antique. Mais les activistes chrétiens comme le prêtre Orose et l’évêque Augustin ont interprété la chute de Rome comme la punition des pécheurs du passé. En 409, les vantaux, les selfs et les élans avaient occupé l’Espagne et se sont établis au sud ibérique. En 429, ils ont conquis la plupart de la Numidie et de l’Afrique. Au commencement des années 30 du V siècle, Attila s’est mis à la tête des tribus des huns. Il a proclamé que, depuis la mort d’Honore, l’empereur Valentinien III n’avait pas exécuté sa promesse et c’était la raison pour laquelle il a dévasté la Gaule. En 451, dans les champs Catalanes, le général Aëce a obligé Attila à s’arrêter. En 452, Attila a attaqué l’Italie une dernière foi. Puis, en sa patrie en 453, il décéda. En 455 les vantaux on mit à sac Rome, alors qu’ils ont vendu des patrices et l’impératrice Eutocie comme des esclaves. Depuis 472 jusqu’à 475, des patrices tentaient de gouverner sous les noms des jeunes empereurs. En 475, Oreste a pu couronner son fils Romule Augustule. Il administrait l’Empire par son nom. Leur chef Odoacre a assassiné Oreste et a privé le règne de Romulus Augustulus. Nous rechercherons pour quelle raison le pouvoir impérial s’est transformé en impuissance et sacrifia sa dignité afin de ne pas perdre le pouvoir spirituel de dehors.
Philosophie de la nouvelle expression littéraire
Claude Claudien (375 – après 404) fut un grand poète. Il a réuni la précoce poétique byzantine et la littérature romane avancée. Son chef-d’œuvre «Enlèvement de Proserpine» détermine le caractère de cette époque. Ce chapitre étudiera l’héritage littéraire de saint Jérôme (340-420), saint Augustin (354-430), Sulpice Sévère (363-406), Paul Orose (38—420), Ennode (473-521), Boèce (480-524/526), Don Aratoire, Bénédicte de Nurse (480-543) et Cassiodore (485-580). De même, nous dévoilerons les écrivains et les philosophes de Byzance: Nonnos de Panopolis, Proclos le Diadoque (412-485), Le Pseudo-Denys l'Aréopagite vecu vers 490, Agathias le Scolastique (Vers 530 - Vers 580), Cosmas Indicopleustès, Paul le Silentiaire et Procope de Césarée (vers 500-560).
Problématique de la nouvelle philosophie chrétienne
L’idéologie de deux empires ne laisse pas la place à son origine. Leur empereur pouvait arriver du néant. Leur pouvoir se comprenait comme le cadeau d’au-dessus. Dans tous les cas, chaque empereur construisait l’image de la puissance donnée au corps du dehors. Du «néant», d’ «au-dessus», du «dehors» ce sont trois métaphores. Elles composaient l’image de la monarchie. L’«Extériorité», l’«Altérité» et l’«Étrangeté» déterminent les conditions de la dignité des empereurs depuis 284 jusqu’à 527. Au contraire, la démocratie d’Athènes correspondait à la société. La correspondance du VI au III siècle avant J. C. et la correspondance inverse depuis III siècle jusqu’au VI siècle après J. C. sont deux notions absolument opposées. La puissance et la faiblesse des pays reflètent la force et l’impuissance de sa société.
La centralisation du pouvoir despotique reflète, comme dans l’épreuve négative, le chaos hétéroclite de la société. Trois types de pouvoir caractérisent Rome avancée et Byzance. Le premier est la xénocratie ou la barbarocratie. Il détermine la domination de l’élément ethnique d’autrui. Le deuxième type est la domination de la caste des fonctionnaires. Elle définit l’élément d’autrui à la même société. Le troisième type du pouvoir est la théocratie. Cette dernière détermine l’autorité religieuse d’autrui à la croyance.. Les Visigoths d’Alaric servaient à Rome. Mais ce service n’a pas empêché à devenir les conquérants. Les dirigeants théocratiques arrivent du néant comme Bénédicte de Nurse. Il est venu au Monté Cassino de la caverne Subiaco. Les ordres de Semons de Pilier obligeaient les propriétaires à laisser partir leurs esclaves, car il obligeait du Néant, de son pilier ascétique. Chaque idée devenait populaire, alors qu’elle se transformait dans la caricature inconsciente. On considère que l’origine de cette idéologie est l’image du prêtre roi Melchisédech du Vieux Testament. Il n’avait ni père, ni mère, ni généalogie. La limite miraculeuse de la substance sans origine est la figure de l’eunuque byzantin. Très souvent dans les légendes byzantines, les hommes se méprennent et perçoivent les anges par les eunuques. Ce fait démontre que très souvent les hommes percevaient les eunuques par un simulacre d’anges. La société, qui attache du prix aux valeurs morales, ne verra jamais cette auréole étrange dans l’image de l’eunuque. Les deux meilleurs généraux de Justinien I Narcèsse (non Narcisse) et Solomon (non Salomon) étaient des eunuques. Seulement au XI siècle, la féodalisation de Byzance a obligé les eunuques à se serrer. Quand l’armée représente la puissance sociale son général doit être le sien. Si l’armée montre la puissance du pouvoir d’autrui à la société barbarisée, elle doit récompenser l’impotence sociale. Alors son général peut être l’eunuque ou le fonctionnaire et pour lui les soldats ne sont que des instruments étrangers pour parvenir à son but. (S. S. Avérintsev: "Poétique de la précoce littérature byzantine ", Mouche, Queue 1997) Il s’agira ici de l’analyse par la société et à travers l’élite de l’Antiquité avancée. Tous deux ont conduit l’Empire d’Occident à la chute et Byzance à la caricature de l’Empire Romain.
Motivation
L’idéologie de deux empires ne laisse pas la place à
son origine. Leur empereur pouvait arriver du néant. Leur pouvoir se comprenait
comme le cadeau d’au-dessus. Dans tous les cas, chaque empereur construisait
l’image de la puissance donnée au corps du dehors. Du «néant», d’ «au-dessus», du «dehors»
ce sont trois métaphores. Elles composaient l’image de la monarchie.
L’«Extériorité», l’«Altérité» et l’«Étrangeté» déterminent les conditions de la
dignité des empereurs depuis 284 jusqu’à 527. Au contraire, la démocratie
d’Athènes correspondait à la société. La correspondance du VI au III siècle
avant J. C. et la correspondance inverse depuis III siècle jusqu’au VI siècle
après J. C. sont deux notions absolument opposées. La puissance et la faiblesse
des pays reflètent la force et l’impuissance de sa société.
La centralisation du pouvoir despotique reflète, comme
dans l’épreuve négative, le chaos hétéroclite de la société. Trois types de
pouvoir caractérisent Rome avancée et Byzance. Le premier est la xénocratie ou la barbarocratie.
Il détermine la domination de l’élément ethnique d’autrui. Le deuxième type est
la domination de la caste des fonctionnaires. Elle définit l’élément d’autrui à
la même société. Le troisième type du pouvoir est la théocratie. Cette dernière
détermine l’autorité religieuse d’autrui à la croyance..
Les Visigoths d’Alaric servaient à Rome. Mais ce service n’a pas empêché à
devenir les conquérants. Les dirigeants théocratiques arrivent du néant comme
Bénédicte de Nurse. Il est venu au Monté Cassino de la caverne Subiaco. Les
ordres de Semons de Pilier obligeaient les propriétaires à laisser partir leurs
esclaves, car il obligeait du Néant, de son pilier ascétique. Chaque idée
devenait populaire, alors qu’elle se transformait dans la caricature
inconsciente. On considère que l’origine de cette idéologie est l’image du
prêtre roi Melchisédech du Vieux Testament. Il n’avait ni père, ni mère, ni
généalogie. La limite miraculeuse de la substance sans origine est la figure de
l’eunuque byzantin. Très souvent dans les légendes byzantines, les hommes se
méprennent et perçoivent les anges par les eunuques. Ce fait démontre que très
souvent les hommes percevaient les eunuques par un simulacre d’anges. La
société, qui attache du prix aux valeurs morales, ne verra jamais cette auréole
étrange dans l’image de l’eunuque. Les deux meilleurs généraux de Justinien I Narcèsse (non Narcisse) et Solomon
(non Salomon) étaient des eunuques. Seulement au XI siècle, la féodalisation de
Byzance a obligé les eunuques à se serrer.
Quand l’armée représente la puissance sociale son général doit être le
sien. Si l’armée montre la puissance du pouvoir d’autrui à la société
barbarisée, elle doit récompenser l’impotence sociale. Alors son général peut
être l’eunuque ou le fonctionnaire et pour lui les soldats ne sont que des
instruments étrangers pour parvenir à son but. (S. S. Avérintsev:
"Poétique de la précoce littérature byzantine ", Mouche, Queue 1997)
Il s’agira ici de l’analyse par la société et à travers l’élite de
l’Antiquité avancée. Tous deux ont conduit l’Empire d’Occident à la chute et
Byzance à la caricature de l’Empire Romain.
Le but final
Notre recherche tentera de dévoiler que, en Occident, le manque de bonne volonté à devenir la
caricature a détruit l’Empire Romain. Elle n’a pas permis de se réorganiser
afin d’exécuter l’exigence du temps et pour correspondre à l’altérité sociale.
En Occident, les eunuques ne pouvaient jamais devenir ni prêtres ni généraux.
Aucune des âmes saintes ne pouvaient concevoir que pour s’approcher des
écritures saintes, il aurait fallu manger le papyrus des textes comme on le
faisait en Byzance. C’était la raison pour laquelle la société occidentale ne
s’est pas soumise à l’analogue du pouvoir byzantin. Le pouvoir étranger à la
société est devenu invalide et en 410 les barbares ont mis à sac Rome. Plus
tard, en 476 le pouvoir des empereurs a perdu sa signification. Ce travail
étudiera en profondeur l’histoire des événements, l’histoire de la philosophie
et l’histoire de la littérature de l’Occident et de Byzance jusqu’à VII siècle
pour comprendre et comparer ces circonstances.