Copie à l'UQAM - Je suis
Alexander Kiriyatskiy, le numéro de ma demande de révision présente est 8427512019 (N 572 093). Je
prie le Tribunal Administratif Fédéral de lire 24 pages de la traduction
allemande de mon audience au SEM le 7 août 2018 qui a été imprimée et envoyée
chez vous le 22 août 2019 qui se trouve en Internet par l’adresse en PDF. Ce même texte en allemand n’a aucun mot lié avec Israël, avec quelque
antisémitisme et avec le Shabak. En allemand, 24 pages démontrent que je n’ai
rien dit contre Israël. Seule l’anarchie médiévale peut m’attribuer les
affirmation antisémitique que je n’ai pas dit le 7 août 2018. Le SEM n’avait
aucun droit de m’attribuer ses propres affirmations antisémitiques qui n’était
pas les miennes. Par le téléphone et par mes messages textuel, je vous prie de
justifier mon droit de ne pas signer ces mêmes mensonges qui n’étaient pas
prononcés par moi le 7 août 2018 pendant mon audience à Berne depuis 9 heures
jusqu’à 16 heures 45 minutes. Pendant 20 ans, les pays «démocratiques» me
persécutent pour mon grand père M. Benjamin Khaèt, le grand compositeur
symphonique sans protection sans protection, son Capriccio juif Capriccio juif et
la symphonie de M. Benjamin Khaèt, qui est consacrée au philosophe juif Uriel
Acosta ,
sont acceptés par mon «antisémitisme» en Suisse et en Israël, car sans
protection je ne dois pas exister avec les notes de mon héritage familial.
C’est la raison pour laquelle depuis 2006, l’Université du Québec à Montréal
m’a présenté l’espace infinie dans son site Internet
pour toujours. J’ai rempli le formulaire du concours parmi les candidats
qui voudraient diriger les travaux pratiques à l’Université italienne de Trente
(Trento). Selon ma confirmation de mon master de cette même Université au
Québec en 2006 et selon son développement depuis 2007 jusqu’à 2010 à l’École
Doctorale de Strasbourg, j’ai la possibilité de vaincre dans ce même concours
pour enseigner à Trente. Si j’avais passé cette même sélection pour enseigner
en Italie en automne 2019, sans laissé passé d’Israël je n’aurais pas pu
enseigner en Italie. Je prie le TAF d’accepter mon asile politique que je
puisse enseigner à Trente et payer tous mes impôts obligatoires à la Suisse
selon mon salaire en Italie. Israël est la mafia de mes ennemis russophobes.
Celui-ci n’était jamais mon pays comme la France n’était jamais le pays d’origine de Piotr
Pavlensky et Celle-ci ne sera jamais la patrie du «peintre» qui ne sait pas
dessiner. Il faut annuler les statuts de réfugié de Piotr /non Victor/ Pavlesky
et de Josef Brodsky, car les morts ne menaçaient jamais à leurs vies médiocres
en Russie et en URSS. 7 années de leurs écoles secondaires n’avaient aucun
droit d’enseigner aux universités. Je n’ai qu’un seul diplôme d’Ouzbékistan.
Alors que M. William Waeber affirment que «les diplômes d’Alexander Kiriyatskiy
obtenus en Ouzbékistan n’auraient pas été reconnus», M. le juge intitule
mon master italien et sa confirmation canadienne par «les diplômes d’Alexander
Kiriyatskiy obtenus en Ouzbékistan». Seule cette même affirmation démontre que
M. William Waeber n’avait jamais lu mon dossier ni en 2015, ni en 2018, ni en
2019. Pour quelle motivation M. William Waeber avait annulé la décision du SEM
en 2018? Parce que avant le mois juin 2019, dix ans n’ont pas encore passé
après ma détention falsifiée en Allemagne???? Je n’ai signé aucune page des traductions de mes réponses aux questions pendant mon audience à SEM le 7 août 2018, car je n’étais pas d’accord avec la résolution de la première page du protocole qui a décrit mon audience incorrectement. De cette même façon, je n’ai pas voulu écouter l’information qui était liée avec mon « retours » en Israël. Là me menace la mort ou la prison pendant 15 ans, car Israël est l’un des Etats-Unis et je ne veux pas répéter le destin de Maria Boutina qui est le prisonnier politique sur le territoire américain depuis le 15 juillet 2018, malgré le fait que Mme Boutina étudiait tranquillement à l’une des universités des Etats-Unis. Contre Maria Boutina l’on a utilisé le truc comme contre moi en Allemagne afin de m’interdire de soutenir ma thèse à l’Université de Strasbourg. Israël n’était jamais le pays de mon origine et c’était pourquoi je n’ai pas voulu écouter l’information qui était liée ave mon retour au pays, dans lequel m’attend le destin de Maria Boutina sur la base de ma détention falsifiée en Allemagne le 5 janvier 2009.
De cette même manière, 90 pour-cent de l’interprétation allemande de mon audience à Berne le 7 août 2018 n’avaient aucun rapport avec ma réalité et avec mes réponses concrètes aux questions à la dame qui était responsable pour mon audience mentionnée à SEM. Cette dame ne m’avait pas permis de corriger cette même première page du protocole, c’était la raison pour la quelle je ne l’ai pas signé et le traducteur ne m’a pas traduit toutes les autres pages suivantes de la traduction allemande de toutes mes réponses en français. La dame responsable pour mon audience m’avait dit que si je n’avais pas signé chaque page, j’aurais eu l’autre audience qui passera de cette même façon. C’était pourquoi, je n’ai signé que ma demande d’organiser ma nouvelle audience suivante. Je prie le Tribunal de Saint-Gall de me permettre officiellement de registrer et de télécharger toute la prochaine audience en ordinateur afin d’installer mes réponse et leurs traductions en Youtube. Le 7 août 2018, la dame responsable pour mon audience ne m’a pas permis de faire la vidéo de toutes mes réponses. Je prie le Tribunal de Saint-Gall de ne pas rejeter ma possibilité de faire la vidéo de toute mon audience suivante à Berne pour installer cette dernière en Youtube que tout le monde puisse évaluer mes réponses aux questions du SEM et comparer celles avec leurs traductions en allemand. Ma vidéo ne dévoilera que mon visage. En Youtube, mes spectateurs entendront seules les questions avec leurs traductions en français et mes réponses réelles. Ma vidéo n’illustrera pas les noms de famille des hommes qui participeront dans ma prochaine audience à Berne. C’est la raison pour la quelle, je ne perds pas l’espoir d’obtenir la justice. Alexander KIRIYATSKIY le 13 aoûte 2018.