Alexander KIRIYATSKIY requêtant de l’asile. Résumé de son dossier sur
200 pages.
Pour quelles raison la
Russie n’exécute pas les droits et pourquoi on la juge? Car,
peut-être,
nous sommes contre l’anéantissement de soi-même. Nous avons protesté contre
l’affirmation
que «notre place se trouve dans le cimetière», a dit M. Vladimir
Poutïn. En outre, les autres
pays n’étaient pas d’accord avec
notre autodéfense. Quelles sont les relations avec les Etats
qui ne reconnaissent leur Droit
de Vivre?
Je soussigné, M. Alexander
KIRIYATSKIY http://www.kiriyatskiy.pochta.ru
, suis israélien non juif autorisé pour la http://www.kiriyatskiy.pochta.ru/Bloch/Doctorant.htm 3ème année (D.001 p. 2) de l’Ecole Doctorale
de Strasbourg. Israël m’a permis de travailler comme le gardien ou comme
l’ouvrier sans qualification de 1999 à 2008 et depuis 2010 jusqu’à nos jours.
En outre, j’ai deux diplômes de MASTER
DEUX. Le premier était soutenu en Philologie Romagne et Germanique à
l’Université Etatique de Tachkent en 1995. Le deuxième en Philosophie et
langage de la modernité était soutenu à l’Université des Etudes de Trente en
Italie. Son supplément a 23 pages en italien et en anglais http://er.uqam.ca/nobel/m310014/MAdaTrento.htm.
Ce document original a été soutenu par la Commission Européenne,
par le Conseil d’Europe et par l’UNESCO/CEPES qui démontrent que, moi,
Alexander KIRIYATSKIY j’ai défendu dans cette même Université le diplôme de
MASTER reconnu dans tout le territoire de toute l’Europe comme le deuxième
niveau complété pour avoir le droit de devenir le doctorant de toutes les universités
européennes (D.0001A p. 12) . Au Canada, j’ai confirmé ce diplôme comme la Maîtrise du
programme universitaire du 2e cycle complété http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/Master.equiA.htm
(D.1 p. 3) Israël n’a pas reconnu ce diplôme et l’a déterminé comme la licence
israélienne http://www.kiriyatskiy.pochta.ru/DOCUM/Strasbg/Dicrim.JPG
(D.14 p. 1) De la même façon, Israël a
rejeté le fait que depuis 2007 à 2010, j’étudiais à l’Ecole Doctorale en philosophie à l’Université de Strasbourg.
Mais en 2008 et en 2009, Israël m’a présenté la
chaque jour le travail physique occupait 12 heures. A Strasbourg, où
j’ai eu de la nourriture gratuite et un logement gratuit au domicile de M.
Vladimir ALTOUKHOV. Maintenant, ce M. Vladimir ALTOUKHOV habite à Perpignan. Il
y a un mois, on l’a opéré et lui a enlevé son estomac, car il a la maladie
oncologique de cancer. On lui fait la chimiothérapie et M. Vladimir ALTOUKHOV
ne peut plus me présenter l’hébergement dans son appartement, où j’ai habité
depuis 2007. Je demande l’asile politique en Suisse, car j’ai peur de revenir
dans mon pays d’Israël, où la mort lente me menace. 134 pages de mon dossier à la Cour des Droits de l’Homme
(publiées sur internet à l’adresse http://alexanderkiriyatskiy.wordpress.com/2010/01/28/hello-world
expliquent ma situation horrible en Israël depuis 1999. Ce dossier dévoile la
cause pour laquelle j’ai essayé de ne pas demander l’asile politique en France
depuis 2006 jusqu’au mois d’octobre 2011. J’ai fait tout mon possible afin de
soutenir ma thèse à Strasbourg ou obtenir la bourse pour ne pas revenir en
Israël. De 1999 à 2008 et depuis le mois d’avril 2010, en Israël on m’a
interdit d’étudier et de travailler partout parmi les nettoyeurs des planchers
et des ouvriers sans qualification. Je m’étonne du fait qu’en 2008 et en 2009
Israël ne m’a pas interdit de travailler sous mon nom. Maintenant en Israël, on
m’a obligé d’habiter dans la rue sans permission de me servir de l’assurance
médicale Bétouakh Léoumi, des avocats gratuits et de toutes les aides sociales
uniquement de la nourriture gratuite pour les drogués. En 2010 à l’Université
de Strasbourg sous la direction de son président Alain Beretz post-doctorant
israélien http://www.educpros.fr/recherche-de-personnalites/fiche-personnalite/h/9c6e3b117a/personalite/alain-beretz.html
, les services secrets d’Israël ont obligé deux directeurs d’équipe en
philosophie et en histoire à ne plus m’inscrire à leur Ecole Doctorale en 2010,
où j’étais admis en 2007. J’ai perdu toutes les sources de l’existence.
J’affirme que le pays d’Israël ne doit pas exister et tous ses habitants
doivent avoir le statut de réfugié dans tous les autres pays du monde. Au mois
de novembre 2010 et plus tard, j’ai imprimé sur internet que le sionisme est la
transformation des juifs en esclaves de la classe privilégiée, d’un sens. J’ai
tenté de démontrer que la religion judaïsme est fondée sur le fascisme
d’Hitler. J’ai tenté de dévoiler que son l’antigoïsme est le sens négatif de
l’antisémitisme. J’affirme que ce dernier est la provocation spéciale des juifs
afin d’inviter les pauvres juifs et leurs familles en Israël, où sans aucun
droit la plupart de ses juifs et des membres de leur famille deviennent les
esclaves absolus. J’ai peur de revenir en Israël, car j’affirme que, pour
provoquer l’antisémitisme alimentation de la classe privilégiée en Israël, les
sionistes conçoivent la guerre froide des juifs contre les goïs, c’est-à-dire,
contre tous les autres peuples qui n’appartiennent pas à la religion juive.
Cette dernière affirme par la mafia hiérarchique d’Israël que tous les autres
peuples ne sont que les animaux inférieurs et n’ont aucun droit sur la vie et
que pour la hiérarchie de la mafia juive on peut abaisser les goïs et les
classes inférieures des israéliens jusqu’à la vie des drogués qui ont perdu
leurs traits humains. Ma 12e année sans espoir m’a obligé à proclamer dans mon
stresse que je soutiens le groupe des jeunes israéliens qui, en 2007, ont
soutenu l’antisémitisme d’Hitler. Comme moi, ces jeunes israéliens ont perdu
tous les espoirs et ont idéalisé le fascisme d’Hitler seulement pour expliquer
leur désir de vivre pas comme les esclaves. Aussi même, lorsque j’avais perdu tous
les espoirs, comme ces jeunes israéliens en 2007, j’ai dit, en 2010, à
plusieurs représentants de la communauté juive à Strasbourg que je soutiens
toutes les guerres contre leur judaïsme et contre le pays d’Israël et que ce
même antigoïsme a provoque la formation de l’Ausweis détruit en 1945. Le stress
m’a fait oublier que mon beau-père, le frère de mère et tous deux mes grands
pères ont lutté contre l’hitlérisme. Mais Israël et ses services secrets Chabak
n’oublieront jamais mes exclamations antisémitiques. C’est la raison pour
laquelle, je ne risquerai jamais de demander l’asile politique dans les pays,
où on pourra rejeter ma demande et m’expulser en Israël, où je devrai dormir
dans la rue et mourir lentement sans permis sur la vie. J’affirme l’assassinat
rapide est plus humain que cette mort lente sans permis de louer une chambre
avec trois MASTER DEUX en lettre et en philosophie et trois années à l’Ecole
Doctorale à l’Université de Strasbourg (2007-2010). Je ne veux pas vivre dans
le pays, où la religion est remplacée par les cercles fermés de la mafia. On
provoque l’antisémitisme réel et on oblige tous les pauvres juifs à habiter en
Israël comme les esclaves de la classe privilégiée. C’est la raison pour
laquelle, la mafia israélienne dévoile aux autres peuples que son but est
l’assassinat des tous les meilleurs non juifs. Je ne demanderai pas l’asile
politique en France. Ce mon dossier expliquera détail par détail les causes
pour quelle raison je n’ai aucune chance d’obtenir l’asile politique sur le territoire
français. Je demande la France
de me dédommager à hauteur 30 000 euros pour mes souffrances à Amiens et 30 000
euros pour celles-ci à Strasbourg. Les causes sont présentées au début et à la
fin de cette lettre. En outre, la soutenance du diplôme est bien plus
importante que l’argent. Sans autorisation de prolonger et de soutenir http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/Bloch/3doctorat.pdf ma thèse, je voudrais obtenir une indemnité
financière: 1)
de la discrimination criminelle, en ne reconnaissant pas la Maîtrise complétée
à Amiens sous la pression non officielle d’Israël. 2) Du fait que la police ne
fait rien contre la violence des bandits Jean Philipe Breneux, David, Michel
Plûquet, etc.. contre les hommes, comme moi, qui se trouvent la liste noire
d’Israël. 3)
Du fait que les habitants des foyers «Passerelle» et «Friant» m’ont infecté de
la «Gale de chien» et infectent tous les hommes sur les rues, dans les autobus
et à l’intérieur des bâtiments et la police ne fait rien pour l’éviter et
améliorer leurs conditions 4) De l’hospitalisation violente dans
l’hôpital psychiatrique à Amiens, où on m’a obligé a cheminer de la voiture au
bâtiment 100 mètres sur la neige sans souliers dans les chaussettes de marle
afin de déterminer la stabilité de mon état psychique. 5) De 4 provocations du
stress impossible avec la couverture infectée après chaque désinfestation de
mon corps par l’Ascorbiole. 6)
Des cicatrices laissées sur mon corps après 4 provocations. Au tribunal de
Bern, je dévoilerai mon dos avec ces mêmes cicatrices. 7) Des menaces alors qu’on
essayait de me persuader de prenne des drogues neuroleptiques. 8)
De l’absence de mon droit de téléphoner à l’Université et à l’Ambassade d’Israël
sans permis du médecin. 9) Des menaces qu’on pouvait brûler mon
cerveau. 10)
De l’obligation d’utiliser le médecin Me Cornier pour obtenir la liberté 11)
De la provocation du stress lié au billet d’avion de Paris à Tel-Aviv le 3 mars
2007. 12)
De l’absence d’informations avant le 18 avril 2007 que je devais changer la
thématique du mémoire Master 2, car je ne pouvais refaire un autre mémoire en
si peu de temps. 13) De la prohibition de soutenir, à l’Université de
Picardie, mon mémoire Master Deux consacré au troubadour Guillaume IX duc
d’Aquitaine. 14) De l’obligation de quitter la résidence et de rester
dans la rue pour quitter Amiens sans soutenance de mon mémoire. 15)
Du fait que la classe sociale inférieure ne soit jamais dans la liste des
doctorants à Amiens et à Strasbourg. 16) Du fait qu’on a volé mon passeport
israélien avec le permis de séjour en France le 10 juillet 2007, car j’ai
trouvé mon directeur de thèse à Strasbourg. C’est la démonstration de la
discrimination criminelle à Amiens qui a obligé l’Université de Picardie à ne
pas reconnaître ma Maîtrise complétée au Canada. 17) Du droit illégal de
bandits et d’immigrants illégaux de voler les magasins pour moins de 100 euros
et d’agresser la police et que celle-ci n’assure pas la défense des droits
élémentaires de l’homme afin de ne pas être le soutien des bandits anarchistes
qui agressent la police en France. 18) De l’absence de ma bourse d’études de
l’an 2007-2008 et de la possibilité de l’obtenir à l’Ambassade de France à
Tel-Aviv et du fait que cette bourse pouvait m’aider à faire mes études
pacifiques à Strasbourg. 19) De la pression illégale de l’Ambassade
de France à Tel-Aviv sur la Préfecture de Strasbourg. À Amiens j’avais la
carte de séjours, car la France
a exécuté d’Israël et ne m’a pas permis d’être inscrit à l’Ecole Doctorale de
Picardie. En outre, de 2007 à 2010, j’étais le doctorant contre le désir
d’Israël qui a interdit de m’admettre au 3e niveau. C’est la raison
pour laquelle, comme à Amiens, la
France ne m’a pas présenté cette même carte de séjours sous
la pression de Tel-Aviv. 20) Du
fait de l’envoi de deux messages des plus importants aux «anciennes adresses »
en même temps qu’au début du mois de mars 2008 malgré les nouvelles adresses
afin de vérifier ma future détention criminelle et mon renvoi violent sous la
pression de la mafia israélienne. 21) De l’absence spéciale d’information que
M. Alexander KIRIYATSKIY devait quitter la France entre le 5 mars et le 5 mai 2008: (a) au
domicile de M. Vladimir ALTOUKHOV, (b) à l’Université Marc Bloch, (c) aux
Services Sociaux de l’Université et de Strasbourg, (d) à la Cour des Droits de l’Homme,
(e) au Consulat d’Israël, (f) dans la police, (g) au Service Juridique
d’avocats gratuits, (h) au bureau de la distribution gratuite de provision. 22)
De la détention falsifiée et du mensonge de la police qu’elle m’a conduit non à
la Préfecture
mais à la prison sans cause légale. 23) Du fait que la mafia oblige le Préfet
de Strasbourg à ne pas se soumettre à la décision du Tribunal de Grande Instance
et qu’on ne respecte pas toutes les décisions des tribunaux et de que la Cour des Droits de l’Homme
n’a aucun droit de se trouver à Strasbourg sur la base des droits réels de
l’homme. Le Préfet sans pression de la mafia m’a permis au mois de septembre
2007 de (a) soutenir Usama Bin Laden, (b) d’être inscrit à l’Université de
Strasbourg sans passeport, (c) de demander par la voix de l’un des travailleurs
responsables que le Consulat d’Israël donne le passeport au doctorant de l’UMB,
(d) le 17 novembre 2007 ne pas renvoyer le même doctorant après son retour
d’Israël sans visa d’étudiant. 24) Du fait que le Préfet de Strasbourg
soutient les standards doubles sous la pression de la mafia d’Israël (a)
l’absence de la profession du doctorant de l’Université de Strasbourg avec le
diplôme de la Maîtrise
complétée au Canada et (b) l’absence du domicile fixe le 5 mars de 2008 après
l’événement alors que le 27 février la Préfecture soutient le permis oral d’habiter sur la Route Schirmeck
241 à Strasbourg. 25) Du fait qu’on a trompé le représentant
de « SIMADA » à 16 heures le 7 mai 2008 que M. Alexander KIRIYATSKIY est remis
en liberté et que M. Pierre Wagner juge de Grand Instance a rejeté la requête
tendant à la prolongation de sa rétention. 26) De l’absence de l’appel du procureur et
de l’absence de liberté de M. Alexander KIRIYATSKIY avec la prolongation de sa
rétention. 27)
Du fait qu’on ne l’a pas informé jusqu’au dernier moment de son renvoi de
France, sans document officiel et sans légaliser la même déportation sur le
papier. 28)
de l’absence du droit d’entrer en possession des archives de la famille afin de
les prendre au soir le 7 mai et après 03 heures du matin le 8 mai 2008. 29)
De l’absence du droit de documenter l’Ambassade de France à Tel-Aviv des mêmes
crimes contre les droits élémentaires de l’Homme. 30) De l’absence de droit
réel opposé aux DROITS DE L’HOMME privilégié à Strasbourg. 31) De l’absence de droit
réel pour finir mes études au temps et quitter la France pour toujours. 32)
Du désir de la
Préfecture de Strasbourg que je sois son étudiant étranger
sans diplôme de docteur et que je ne puisse pas à quitter l’Université de
Strasbourg et la France
le maximum de temps. 33) De mon arrestation en Allemagne par les
documents falsifiés et pour mon expulsion en Israël afin de ne pas me permettre
de soutenir ma thèse en automne 2010. 34) De l’absence de reconnaissance
française de ma rétention falsifiée en Allemagne. 35) De ma rétention en France
un jour plus tôt (le 26 avril 2010) que j’ai reçu la réponse négative du
Tribunal qui devait m’obliger à quitter la France le 27 avril 2010. 36) Du fait que la France n’a pas reconnu que
le 25 avril 2010, j’ai quitté son territoire 1 mois plus tôt que, seulement le
30 mai 2010, l’appartement 6 à la maison 241 Route de Schirmeck Strasbourg 67
200 a reçu la réponse du Tribunal, que moi, Alexander KIRIYATSKIY, devais
quitter la France. 37) Du fait que l’Ambassade d’Allemagne à
Tel-Aviv a ignoré le document du Ministère des Affaires Etrangères de l’Israël,
qui témoigne que M. Alexander Kiriyatskiy se trouvait sur le territoire de
l’Israël depuis le 30 avril 2009 jusqu’au 5 septembre 2009 et que pendant ce
temps M. Alexander Kiriyatskiy ne pouvait accomplir aucune action criminelle en
Allemagne. 38)
Du fait que l’Ambassade d’Allemagne à Tel-Aviv n’a pas voulu annuler, pour M.
Alexander Kiriyatskiy, la prohibition falsifié de traverser le territoire de
l’Allemagne du 29 juillet 2009 au 28 juillet 2019, sans prendre en compte le
fait que le 29 juillet 2009 Alexandre Kiriyatskiy a reçu le passeport dans la Préfecture de
Tel-Aviv. 39)
Du fait que sans explication de raison, l’Ambassade d’Allemagne à Tel-Aviv a
interdit pour toujours à M. Alexander KIRIYATSKIY d’arriver au territoire de
cette ambassade également, en tant que elle lui a confirmé la prohibition pour
Alexander KIRIYATSKIY d’arriver sur le territoire de l’Allemagne du 29 juillet
2009 au 28 juillet 2019 sans explication de cette prohibition. 40)
Du fait que l’Ambassade d’Allemagne à Tel-Aviv a détérioré spécialement le
passeport d’Alexander Kiriyatskiy le 12 mai 2010. Lorsque l’Ambassade
d’Allemagne à Tel-Aviv a détérioré le passeport d’Alexander Kiriyatskiy, la Préfecture de
Ramat-Gan a donné gratuitement à M. Alexandre Kiriyatskiy le nouveau passeport
sans amande pour la pénalité. Pour cette raison, la préfecture a présenté le
document sur le papier particulier que, réellement, le 29 juillet 2009 et le 30
août 2010, Alexandre Kiriyatskiy a reçu ses passeports dans la préfecture de
Ramat-Gana. 41)
Du fait que l’Israël a interdit pour de présenter l’avocat gratuit M. Alexander
Kiriyatskiy pour obliger à ne pas étudier et ne pas régler les problèmes
d’Alexandre Kiriyatskiy lié aux documents falsifiés qui affirme que M.
Alexandre Kiriyatskiy a accompli en Allemagne quelques actions criminelles,
alors que M. Alexandre Kiriyatskiy se trouvait sur le territoire de l’Israël du
30 avril 2009 au 5 septembre 2009. 42) Du fait qu’en Europe la droite sur
l’alibi appartient seulement à la classe des Personnes Privilégiés et de Celle
Reconnues. 43)
Du fait qu’à Mme Severin ROUDLOFF, avocat gratuit d’Alexander Kiriyatskiy à
Strasbourg, la police allemande n’a envoyé aucune explication pour quelle
raison elle a interdit à M. Alexandre Kiriyatskiy de traverser les frontières
de l’Allemagne. 44) Du dégagement de M. Jean Guillaume Caillaut, le
directeur de Caritas à Strasbourg «par son propre désir» en été de 2010, car M.
Jean Guillaume Caillaut a aidé parfois par l’argent à M. Alexandre Kiriyatskiy.
45)
Du dégagement identifié «par son propre désir» de M. le Professeur Frédéric DE
BUZON, le directeur de thèse de M. Alexander KIRIYATSKIY à l’Université de
Strasbourg de 2007 à 2010. Pour le fait que M. Frédéric DE BUZON (personne
âgée) a cessé d’enseigner à la
Licence et au Master à l’Université de Strasbourg comme il a
cessé de suivre la thèse de M. Alexander KIRIYATSKIY pour l’année 2010-2011 et
comme on peut supposer que pour cette même raison M. Jean Guillaume Caillaut a
cessé de diriger la Caritas
de Strasbourg en été 2010. 46) Du fait qu’en 2011 ou en 2012 M. le
Professeur Frédéric DE BUZON le professeur en philosophie aura nombreuses
difficultés afin de recevoir de nouveau ses heures de l’enseignement perdues en
2010 et distribuées parmi les jeunes professeurs en philosophie à l’Université
de Strasbourg, car M. le Professeur Frédéric DE BUZON a dirigé la thèse de M.
Alexander KIRIYATSKIY, représentant de la classe inférieure. 47)
de la pression morale sur M. le Professeur Frédéric DE BUZON, privé du travail
afin de l’obliger à cesser de diriger la thèse en philosophie de M. Alexander
KIRIYATSKIY à l’Université de Strasbourg et à lui donner la caractéristique
très négatives aux autres universités françaises, belges, suissesses,
italiennes et espagnoles afin de ne présenter aucune concurrence à la classe
privilégiée en Israël. 48) De l’obligation israélienne à donner la
caractéristique très négative à la thèse de M. Alexander KIRIYATSKIY qu’aucun
professeur ne désire jamais suivre cette thèse afin d’obliger M. Alexander
KIRIYATSKIY à et à s’occuper du travail physique sans qualification et illégal,
car en Israël on a interdit, pour M. Alexander KIRIYATSKIY, de travailler
légalement. 49)
De la prohibition de m’admettre aux autres Ecole Doctorale comme on m’a
interdit d’être inscrit au doctorat sous la direction de M. le Professeur
Eckart WIRBELAUER et peut-être on m’a interdit d’étudier à toutes les Ecoles
Doctorales Françaises. 50) Du fait que M. le Professeur Eckart
WIRBELAUER n’a pas modifié son appréciation de mon projet de l’automne 2007 au
25 décembre 2010. En outre, sous la pression de la mafia ou du pays totalitaire
comme l’URSS de 1928 à 1954, M. le Professeur Eckart WIRBELAUER modifie son
opinion pendant quatre jours du 25 au 28 novembre 2010. Comme à l’époque du
stalinisme en URSS, en France il perd le désir de suivre ma thèse sous la peur
de perdre le travail come M. le Professeur Frédéric DE BUZON l’a perdu pour
l’année 2010-2011. 51) Du fait que M. le Professeur Dominique
BEYER était le directeur d’équipe des doctorants en histoire antique de 2007 au
25 novembre 2010 et maintenant le 24 mars 2011 il a perdu ce post, car il a
voulu m’admettre dans son Ecole Doctorale en histoire du 23 novembre au 25
novembre 2010. 52) de la lettre composée le 20 novembre 2010 par M. Alain
Bertz président de l’Université de Strasbourg, où il présente les lois qui
m’interdisent d’arriver à l’Université de Strasbourg pour chercher les nouveaux
directeurs de thèse. 53) Du fait que la lettre de M. le
président Alain Bertz se datait le 20 novembre 2010, 5 jours avant ma visite à
M. le Président avec ma lettre priée le permis de rester le doctorant et de
rédiger ma thèse en histoire et non en philosophie à l’Université di
Strasbourg, où je n’ai aucun droit d’étudier à l’Ecole Doctorale. Je voudrais
recevoir l’explication plus précise pour quelle mon action criminelle on m’a
interdit d’être le doctorant de l’Université de Strasbourg?
Dernière tentative de ne
pas demander l’asile en Suisse
Avant de demander l’asile politique, j’ai
produit la dernière tentative pour être inscrit en 1ère année de
l’Ecole Doctorale en Espagne malgré mes 3 années reconnues à l’Ecole
Doctorale en philosophie de l’Université de Strasbourg. J’ai voulu faire ma
thèse dans une autre langue (espagnole) dans le pays, où je n ai’ jamais habité
avant le 7 octobre 2011. Ce pays passait la crise économique et là non beaucoup
d’étudiants étrangers voulaient suivre la thèse après 2008. Je supposais que
mon la Cour des
Droits de l’Homme acceptera mes démonstrations que la mafia israélienne a pu
inscrire mon nom dans la liste noire de la Communauté
Européenne. Les lois des globalistes interdisent sans
explication, aux hommes de cette liste, d’étudier et de rédiger la thèse dans
les universités de tous les pays de la zone de Schengen comme à l’époque de
Staline à l’URSS depuis 1929 jusqu’à 1953. Plus tard à l’URSS de 1954 à 1985,
on n’interdisait d’étudier qu’aux hommes qui manifestaient officiellement la
destruction du régime des communistes. Après la mort de Staline le gouvernement
soviétique a excusé tous les révolutionnaires qui cessaient de critiquer le
pouvoir soviétique. Les communistes permettaient à leurs ennemis de travailler
selon leurs diplômes ou de rédiger la thèse, alors que les démocrates avaient
reconnu leur coulpe et leur erreur et avaient cessé de critiquer le régime des
communistes. Pour effacer les concourants dans les voix des pays socialistes,
les Etats Unis et les l’Europe Occidentale affirmaient le fait que
l’interdiction de critiquer le pouvoir soviétique opprime les droits de
l’homme. Lorsque le pouvoir soviétique n’existe plus et aucune puissance
politique ne peut pas contredire à l’absence des droits minimaux de l’homme en
Europe, les services secrets de la Communauté
Européenne et la mafia israélienne ont appliqué, sur moi, la
tactique des listes noires de Staline et non de l’URSS après la mort de Staline
depuis 1953 jusqu’à 1985. De 2008 à 2011, à la Cour des droits de l’homme je n’ai jamais porté plainte
ni contre les gouvernements français, allemand, canadien et israélien ni contre
leurs régimes et ni contre leurs présidents. Mon dossier était consultable sur
Internet par l’adresse http://alexanderkiriyatskiy.wordpress.com/2010/01/28/hello-world/
et ne décrivait que mes problèmes sociaux sans aucun droit sur la vie en Israël
et en France. Ma plainte a illustré l’histoire de ma discrimination en France depuis
2006 jusqu’à 2010 pendant mes études et l’absence de mon propre droit sur tous
les types des travaux en Israël comme à l’époque de Staline à l’URSS. En 2006,
seule mon nom dans la liste noire a obligé l’Université de Picardie de ne pas
reconnaitre mon diplôme Master Deux de l’Université de Trente qui est développé
par la
Commission Européenne, par le Conseil d’Europe et par
l’UNESCO/CEPES http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/MAdaTrento.htm (pages 2
et 13). En été 2006, ce mon diplôme italien en philosophie a reçu l’équivalence
canadienne http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/Master.equiA.htm pour étudier
aux Ecoles Doctorales en Amérique. Seulement mon nom dans cette liste noire
explique la cause pour quelle raison l’Université a ignoré ces deux
reconnaissance européenne et canadienne de mon MASTER DEUX soutenu à
l’Université de Trente. Seule cette persécution politique m’a obligé à faire le
MASEUR DEUX à l’Université de Picardie http://www.kiriyatskiy.pochta.ru/DOCUM/Strasbg/CarteEtud.JPG.
Cette persécution secrète n’a pas permis à cette dernière de reconnaître ma
soutenance du mémoire consacré à Guillaume IX duc d’Aquitaine en 2007 et a
permis au bandits d’Amiens de me battre partout, alors qu’ en 2006 la police
française ne devait pas me défendre en France. Seule cette liste noire avec mon
nom a obligé la
Préfecture de Strasbourg à m’expulser en 2008 et en 2010 et à
ne pas me présenter la carte de séjour temporaire d’étudiant étranger jusqu’à
la soutenance de ma thèse. Toutes ces mêmes discriminations mentionnées étaient
impossibles à l’URSS depuis 1953 jusqu’à 1985. Seul le stalinisme européen au
XXIe siècle pouvait inscrire mon nom dans la liste noire et secrète
de la
Communauté Européenne sans motif. Si la France ne m’avait pas
présenté la carte de séjour temporaire de 2007 à 2010, en France, je n’aurais
jamais obtenu le statut de réfugié. C’est la raison pour laquelle, je ne
demanderai jamais le statut de réfugié en France, où je n’aurai aucune chance
de confirmer ce dernier comme je n’ai pas pu confirmer la nécessité de ma carte
de séjour d’étudiant pendant mes études à l’Ecole Doctorale à Strasbourg.
Seulement, l’appartenance de mon nom à la liste a déclaré que je n’ai aucun
droit d’être inscrit dans aucune Ecole Doctorale des Universités Européennes et
de recevoir l’absence de mon droit sur la bourse en France. Seule mon nom dans
cette liste noire explique l’absence de réponse à la lettre de l’avocat
Séverine Rudloff à Strasbourg: pour quelque soit la raison et la motivation,
l’Allemagne m’a interdit de traverser ses frontières depuis le 29 juillet 2009
jusqu’au 28 juillet 2019 http://alexanderkiriyatskiy.wordpress.com/2010/12/16/absence-du-droit-sur-l%E2%80%99alibi-en-europe-ou-silence-obligatoire-des-moutons-europeens-de-masses-sans-voix/.
Seule la cause de l’inscription de mon nom dans cette liste noire de la Communauté
Européenne peut être l’unique raison secrète, pour laquelle
l’Allemagne n’interdit de traverser son territoire de 2009 à 2019 sans motif.
De la même façon seulement à l’époque de Staline, les hommes des listes noires,
qui n’était pas prisonniers comme les «ennemis de peuple», sans explication
n’avaient aucun droit de traverser les territoires de nombreuses villes et de
plusieurs zones de l’URSS depuis 1929 jusqu’à 1953. De 2010 à 2011 j’ai fait
beaucoup de tentatives inutiles pour être admit dans les Ecoles Doctorales en
histoire et en philosophie aux Universités de Strasbourg, de Louvain-la-Neuve,
de Sorbonne, de Lille, de Padoue, de Montpelliers, etc... Ces derniers ne
rompaient pas mon espoir de trouver mon propre directeur de thèse dans les
autres universités de l’Europe et ne me faisaient pas supposer que mon nom se
trouve dans la liste noire de la Communauté
Européenne, c’est la raison pour laquelle mon directeur de
thèse à Strasbourg avait peur de m’inscrire en 2e année académique
2008/2009 depuis 2 octobre 2008 jusqu’au 2 février 2009, et c’est la raison
pour laquelle, Messieurs les Professeurs en histoire Dominique Beyer et Eckart
Wirbelauer n’ont pas pu m’admettre dans leur Ecole Doctorale en histoire à
l’Université de Strasbourg, malgré le fait qu’ils n’ont pas perdu le désir de
me faire le doctorant de leur département depuis le mois de septembre 2007
jusqu’à 15 00 le 25 novembre 2010 par leur signature en 2007 et en 2010, alors
qu’on leur a dévoilé que mon nom se trouve dans la liste noire de Staline au
XXIe siècle en Europe globalisée. Mon ex-directeur en philosophie à Strasbourg M. le
Pr. Frédéric De Buzon et M. Dominique Beyer ont obtenu l’année sabbathienne
payée par l’Université comme M. le Pr. Pablo García Castillo, le décan de
philosophie à l’Université de Salamanque, alors que tous ces trois ont rejeté
ma demande de suivre ma thèse. M. le Pr. Pablo García Castillo (D. 0001) était la première personne
qui a voulu suivre ma thèse en Espagne. Depuis le 8 juillet 2011 jusqu’au 23
septembre 2010. Le 23 septembre M. le Pr. Pablo García Castillo m’a informé
qu’il n’a pas pu devenir mon directeur de thèse, car il a reçu l’année
sabbathienne. Il m’a dit qu’il n’y avait aucun autre professeur qui avait la
compétence de diriger ma thèse parmi les professeurs de son département.
Ce n’était pas vrai. À l'Université de
Salamanque j’ai trouvé 2 autres professeurs en philosophie qui ont voulu suivre
ma thèse avec l’enthousiasme comme Messieurs les professeurs en histoire Beyer
et Eckart Wirbelauer à l’Université de Strasbourg. À l’Université de
Salamanque, ces très bons hommes qui ont voulu beaucoup m’aider, s’appelaient
M. le Grand Professeur Cirilo Flórez Miguel (mon co-tuteur),
directeur de thèse du décan M. le Pr. Pablo García Castillo et M. le Pr. Ángel
Poncela González (mon 1er directeur de thèse avant le 24 octobre 2011). Il
était le dernier doctorant M. le Grand Professeur Cirilo Flórez Miguel. Tous ces deux
professeurs pensaient qu'ils avaient le droit de suivre ma thèse en
espagnol comme de tous les autres doctorants qui n’appartiennent pas à la liste
noire de Staline en Europe du XXIe siècle. Ils n'étaient pas
informés que la mafia d'Israël m'a interdit de faire la
thèse dans toutes les universités d'Europe. Ils avaient alors signé tous les documents, plus tard j'ai
payé pour l’inscription à leur Ecole Doctorale. Mon premier directeur de thèse
a réussi de rédiger la lettre officielle (D.
0002) à l'Université des Etudes de Trente pour obtenir la collaboration entre ces
deux universités par la cotutelle, trois documents de ma cotutelle pour les
universités francophones et italiennes (D.
0003), (D. 0004) (D. 0005). J'ai gardé cette lettre, le projet de thèse
signé (D. 0006) par mon premier
directeur de thèse, le plan de la mémoire (D. 0007a
- D. 0007g) de ma thèse et la matricule (D.
0008). Mais trois jours plus tard, le directeur du département de
philosophie a reçu quelques informations. Il a discuté avec mon
premier directeur de thèse M. Ángel Poncela González et ce dernier m'a écrit le 24 octobre
2011 qu'il ne peut plus suivre ma thèse, car il
n'est pas le spécialiste afin de diriger celle-ci liée avec Nicolas de Cues. Je lui ai
dit qu'il est le professeur de l'Université fondée en 1218 et il ne pourrait jamais me
signer tous les documents pour payer ma matricule, s'il n'était pas le spécialiste
dans cette même thématique. Il n'était pas le petit enfant, alors qu'il m'a donné la
lettre avec sa signature pour faire la cotutelle entre son Université de Salamanque
et celle-ci des Etudes de Trente. S'il ne m'avait pas trouvé mon nouveau directeur
de thèse pour étudier comme tout le monde, j'aurais apporté tous les documents signé par
sa main à la Cour
des Droits de l'Homme. Mais sous la peur de la mafia israélienne, je n'aurais
jamais mon premier directeur de thèse à l'Université de Salamanque comme dans
toutes les Université de France et de Belgique. Pour répondre à cette action
contre toute ma vie, je consacrerai toute mon exitence pacifique et
informatique afin de détruire Israël comme le pays. Je présente, vers la Cours
des Droit de l'Homme, ma nouvelle poésie politique en Youtube, par laquelle, on
évaluera le totalitarisme d'Europe au début du XXI siècle. Je crois cette même
poésie permettra à la Cour
des Droits de l’Homme de déterminer précisément tous mes faits. Poète Alexander Kiriyatskiy
1999-2004
Le 20 mai 1999, ma mère Nina
Khaet (14/06/1937 – 10/07/2004) (fille du juif) mon ex-femme Anna Atavin et moi
Alexander Kiriyatskiy le petit fils du juif nous sommes venus en Israël pour
vivre comme les citoyens habituels libres. En 2004 j’étais le catholique
priscillianiste cosmopolite de religion http://www.rinascita.h1.ru/Di_me1.jpg
maintenant je ne suis pas chrétien. Je n’avais pas de problèmes et j’étais comme
tous les nouveaux immigrants d’Israël jusqu’à la publication de mon livre «Au
déclin de l’époque». Alors j’ai confirmé mon diplôme de 1995 du deuxième titre
de la Philologie
romane et germanique (MR: Philologue. Prof. de français et littérature). En 1999-2000
je me préparais au doctorat de l’Université Hébraïque de Jérusalem. J’ai publié
mon livre pendant l’été de 2000. Après cela, on ne m’a pas pris dans le
doctorat et on m’a interdit de réciter mes propres poésies et mes traductions
poétiques dans les lieux publiques, ce que je faisais très souvent avant la
publication. Les représentants des organisations religieuses, comme mes amis,
m’ont conseillé d’aller me convertir au judaïsme pendant deux ans dans l’une
des écoles religieuses (pour passer le GHIÜR dans l’ICHIVA) et qu’on me fasse
la circoncision après tous les examens par les lois du judaïsme. Mais je n’ai
pas pris ce conseil sérieusement et je n’ai pas arrêté de fréquenter les messes
catholiques de Golgotha à Jérusalem. Alors je voulais trouver le travail par
mon diplôme. Mais c’était inutile. J’ai commencé à chercher quelques travaux
physiques pour gagner ma vie. J’ai entre autres nettoyé le plancher dans les
bureaux publiques et soigné des vieux hommes. J’ai trouvé du travail et les
premiers 4-6 jours je travaillais pendant 12-14 heures parce que j’exécutais
tout ce que je devais faire parfaitement. Les premiers jours on me donnait
beaucoup de temps de travail mais au cinquième ou au sixième jour, une personne
inconnue est arrivée et des supérieurs m’ont congédié sans explications. À
nouveau, j’ai cherché du travail pendant longtemps. Ma femme m’a quitté en
octobre 2001 parce qu’on ne me permettait pas de travailler plus que 4 à 6
jours par mois. Après nous avons voulu divorcer officiellement. Le 7 octobre
2001 nous sommes allés voir l’avocat mondain avec 3 de mes témoins et 3 témoins
de ma femme pour proclamer que nous n’avions pas d’enfants, de propriété, etc.
et nous n’avions aucune exigence de l’un à l’autre. L’avocat étatique à
Jérusalem M. Mauricio Colpache nous a dit que tout le processus ne durerait pas
plus qu’un an. Le processus de notre divorce dure depuis 3 ans déjà bien que,
en septembre 2002, ma femme a écrit la lettre officielle à l’avocat disant
qu’en février 2003 elle accoucherait l’enfant d’un autre homme. Après la
publication de mon livre « Au déclin de l’époque » je suis devenu, sans
confession du judaïsme, hors des lois d’Israël sans droit de travail, de
divorce et d’études. Jusqu’au mois d’octobre 2002 je cherchais du travail en
vain. Je voulais m’inscrire aux études des jardiniers et des serruriers parce
que je rêvais encore entrer dans la société de
l’Israël mais on ne m’a pas pris
là bas puisqu’on m’a congédié de chaque lieu du travail où
on savait que je me trouvais sur
la liste noire des goïs. Dans le ministère de l’absorbation des nouveaux
immigrants on m’a menacé qu’une seule phrase dite incorrectement dans les lieux
officiels serait suffisante pour m’enfermer dans l’hôpital psychiatrique
longtemps et seuls les représentant des organisations religieuses pourront
comprendre ma situation lorsque je me convertirais au judaïsme. En 2002, on a
commencé à me provoquer aux scandales dans les places où j’ai trouvé le travail
physique. Parfois les juifs marocains me battaient s’ils savaient que je ne
suis pas circoncis. Quand j’ai travaillé 14 heures chaque de jour pendant une
semaine dans le supermarché, le plus beau marché de tout Jérusalem, où les
autobus N8 et N28 vont de la station centrale à l’Université Hébraïque des faculté
humanitaires, alors un représentant de la culture orientale s’est mit à jeter
les œufs et d’autres objets à mon visage et à crier que je suis GOÏ. Depuis ce
dernier jour de travail, ils me provoquaient au conflit. Le lendemain on m’a
congédié. Il était très difficile de me taire et continuer à travailler. Les
acheteurs du magasin s’arrêtaient ayant vu ce que le marocain me jetait au
visage des œufs, des pommes de terres, des savons, etc. Il jetait tout ce qu’il
était possible de jeter. Quand j’ai perdu ce travail j’ai raconté toute cette
histoire à la directive de la bibliothèque russe sur la rue Ha-Or 2. Elle a
compris ma situation mais n’a rien pu faire. Alors je voulais publier cette
histoire dans un des journaux russes en Israël. Mais on n’a pas publié ma
petite notice. Alors que j’étais déjà membre de l’Union des Écrivain Russes en
Israël. J’ai gagné ce titre unique en passant beaucoup d’obstacles. Il m’a
fallu recevoir des recommandations de deux de ses membres. J’ai reçu 10
recommandations. On m’a pris dans cette Union, seulement lorsque deux écrivains
connus mondialement Aleksin et Dora Chturman ont lu mon livre et ont exigé que
je sois membre de l’Union des Écrivains. Alors, lorsque je suis devenu le
membre de cette Union, on ne m’a pas permis de réciter aucune traduction
poétique ni depuis les réunions des écrivains professionnels ni avec des jeunes
écrivains qui n’ont rien publié. Mme Dora Chturman a voulu publier son article
commentant mon livre. Aucun journal n’a voulu le publier. Seul le rédacteur du
journal « Novosti nedeli » (Notices de la semaine) a été d’accord pour publier
cet article en janvier 2002 et il l’a publié à la fin mai sans fragments de mes
poèmes et sans dessin du livre alors qu’il projetait de le faire. Et alors, je
n’avais pas d’emplois. Ma maman, après l’opération au cœur est allée travailler
physiquement lorsque les médecins l’interdisaient de marcher trop vite. Je
travaillais parfaitement dans le bâtiment de la station centrale des autobus à
Jérusalem (Takhana Merkazit). Le chef de tous les nettoyages Zaïs ne
connaissait pas mon visage. Il a reçu la commande bureaucratique que l’ouvrier
avec la pièce d’identité n 3-2097231-8 ne devait pas travailler. Son remplaçant
Micha savait que je travaillais bien et le chef ne me connaissait pas c’était
pourquoi il me congédiait chaque fois officiellement et me prenait à nouveau
chaque 4 à 15 jours au plus que je travaillais sur l’autre étage. Cela s’est
répété 5 fois. La dernière fois, le comité de la sécurité Chabak l’a menacé
trop durement et, m’ ayant expliqué toute la situation, il a dit qu’il ne
pourra plus me prendre et que je devais chercher un lieu ressemblant où les
chefs ressemblants m’auraient comprit. Par les lois du judaïsme l’amour à maman
doit occuper la première place. Alors j’ai cru que je devais travailler dans
l’usine d’alumine qui se trouvait sur le territoire de la zone palestinienne.
On aurait peut-être pu avoir la permission de travailler là-bas. La khivra dans
le bâtiment de BINIAN CLAL, l’entreprise qui présente le travail, m’a commandé
un rendez-vous avec le chauffeur. Il m’a amené à l’usine qui se trouvait à
Atarorot, à l’ouest de l’aéroport de Jérusalem après la frontière d’Israël et
de la zone de l’autonomie palestinienne. J’ai passé l’entrevue et j’ai attendu la
réponse des chefs pendant trois heures. On m’a répondu que je ne pourrai pas
travailler dans leur usine et que je devais retourner jusqu’ à la frontière
israélienne en marchant par la zone palestinienne près de Ramalah. Je leur ai
dit qu’on m’aurait tué là-bas, à travers la zone de l’autonomie, qu’il était
trop dangereux d’y passer. On m’a crié et j’ai du descendre au ravin au droit
de l’usine où il n’y avait pas de maisons et je suis allé 3-4 km vers l’est.
J’ai traversé des quartiers arabes où se trouve le marché à l’est du chemin
vers Jérusalem. Seulement après que j’aie passé la frontière, j’ai vu une
église au tour de laquelle se trouve le mûr blanc avec quelques citations
manuscrites de couleur rouge en arabe. Si je n’avais pas été là je n’aurais pas
pu les inventer. Quand je me suis retourné j’avais peur mais je ne comprenais
pas le danger. Peut-être qu’Israël voulait m’envoyer comme sacrifice pour les
terroristes ayant compris comme ma maman qu’on m’aurait enterré, que les arabes
m’auraient tué, pas les juifs. Avant la réception du passeport étranger, je
devais vivre 3 ans sans partir d’Israël. Quand j’ai reçu le passeport j’ai
essayé de demander l’asile politique dans le consulat italien, où on m’a
répondu que l’Italie ne donnait pas l’asile politique aux israéliens et qu’on
ne pouvait me donner qu’un visa d’étudiant et que je devais participer dans le
concours au doctorat de l’Université des Études de Trento. Je n’ai pas passé la
sélection au doctorat et on m’a inscrit dans le deuxième cycle de la faculté «
Philosophie et langages de la modernité ». L’Italie m’a payé des études de deux
ans et m’a donné la bourse d’étudiant 602,50 euros par mois et m’a logé pendant
deux ans où j’ai écrit ma théorie philosophique dans ma dissertation de thèse,
réalisée jusqu’au 20. 10. 2004. Le 10.08. 2004 ma mère est morte à
l’improviste. Elle ne devait pas travailler physiquement. Si on m’avait permis
de travailler sur quelque travail physique je n’aurais pas permis de travailler
à ma maman chérie que je n’aurais pas quitté ou nous aurions quitté l’Israël
ensemble. J’ai risqué de revenir en Israël pour enterrer ma mère. Je suis
arrivé à l’aéroport de Ben Gourion le 14. 08. 2004 à 3 heures du matin. À la
station d’autobus vers Jérusalem, où j’attendais 6 heures du matin, les
représentants du comité de la sécurité d’Israël du Shabak m’ont arrêté. Le
Shabak m’a interdit de travailler et de divorcer en Israël. Ils ont posé une
seule question beaucoup de fois ayant ignoré mes réponses: « Pourquoi tu es
arrivé en Israël? » Je leur ai répondu que j’étais israélien et je suis arrivé
pour enterrer ma maman. Ils ont dit qu’ ils savent qui je suis. Alors j’ai
répondu: « Vous m’avez interdit de travailler et de divorcer moi et je n’ai
rien écrit dans la presse italienne contre Israël ». On a continué poser la
même question: « Pourquoi tu es venu en Israël? » et «Quand tu es venu en
Israël?» J’ai montré le billet d’avion. Alors on m’a posé une autre question:
«Quand quitteras-tu Israël?» J’ai montré mon billet de retour, c’est seulement
à ce moment qu’ils m’ont laissé. Cette conversation s’est passée à 15 mètres de
la station d’autobus vers l’aéroport. En Israël on ne m’a pas permis prendre
l’argent du compte courant de ma mère parce que je n’ai pas apporté un document
nécessaire du Ravinât (l’organisation des ravins). Le Ravinât ne s’occupe que
des juifs. Le 20 octobre 2004 j’ai reçu le diplôme de la «Philosophie et
langages de la modernité» du 2ème cycle, mais je n’ai pas pu me préparer à la
sélection au doctorat de l’Université des Études de Trento à cause de la morte
imprévisible de ma maman. Mon permis de séjour en Italie finira le 5 janvier
lorsque je devrais quitter l’Italie. Avec la dernière bourse d’étudiant j’ai
acheté les billets d’avion Italie – Angleterre – Québec.