Recours au Tribunal
administratif f�d�ral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall d�Alexander Vadimovitch KIRIYATSKIY________
(Nombreuses pages renouvel�es le 31.03.2015 et le 04.06.2016)
Analyse
de la D�cision d�Asile N572 093 Kop N
de pers. 173 245 47 du
Secr�tariat d�Etat aux migrations SEM
(La
liste br�ve des pers�cutions non examin�e par cette m�me d�cision)
http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/RESUME.pdf
http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/RESUME.htm
1)
La
D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 du
Secr�tariat d�Etat aux migrations SEM n�a pas analys� 70% des causes pour
lesquelles j�avais pri� l�asile politique en Suisse.
2)
Mon
pays d'origine est l'URSS et non Isra�l. Je n'avais jamais le passeport russe,
en outre j'ai l'origine russe et non juive.
3)
Ma
demande de votre deuxi�me recours est li�e avec l�analyse incorrecte et injuste
des mes 75 et non 11 documents, car tous ces 75 documents �taient pr�sent�s au
SEM par moi le 19 janvier 2012 et le 3 novembre 2014.
4)
De 1999 � 2010, je fermais les yeux
sur les assassinats lents et rapides de ma nationalit� russe. Nos hommes russes
n�avaient aucun droit sur la cons�cration de nos pers�cutions ni en Isra�l, ni
en Europe, ni en Am�rique du Nord mis-�-part nos demandes d�asile pour les
tentations de d�stabiliser l��conomie et l�ind�pendance politique de la Russie
actuelle. Le 12.03.2015, M. Bob Scales (Robert Skeels), l�ex-G�n�ral des Etats-Unis n�a pas eu peur de
dire d�j� pour tous que l�on doit tuer les russes qui veulent aider aux
esclaves de ma nationalit� en Ukraine, alors que la Russie ne participait
jamais dans la guerre civile en Ukraine http://fr.sputniknews.com/international/20150311/1015124284.html.�
5)
Mes 75
documents sur 200 pages, regroup�s dans mes 3 dossiers, confirment mes
pers�cutions en France, en Allemagne et en Espagne. Ces 75 documents sont
substitu�s par 11 documents sans importance sur le plan juridique � travers la
D�cision d�Asile N572 092 Kop N de pers. 173 245 47 de SEM. L�, mes documents confirment pour quelle raison la
condamnation de mort me menace pour mes propos r�volt�s contre les mafias
juives. Ces documents illustrent pourquoi Isra�l me pers�cutait sur son� territoire, au Canada et en Europe de 1999 �
2011.���
L�auteur de La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 du
Secr�tariat d�Etat aux
migrations n�a rien lu de mes dossiers, car en 2009 je n��tais jamais arr�t�
en France et j�ai fini ma 2e ann�e acad�mique sans aucune
pression de la Pr�fecture d�Alsace en 2009.�
J�attire l�attention de votre tribunal de recours sur le fait que depuis
le 8 mais 2008 jusqu�au 31 janvier 2009 je me trouv� en Isra�l. Mon document
bleu d�Isra�l d�montre que je suis revenu en France le 31 janviers 2009 et,
physiquement, je ne pouvais pas �tre arr�t� en France par mon arr�t du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif f�d�ral TAF,
E-3767/2006, 4. 1), car le 5 janvier 2009 je me trouvais en Isra�l, alors
que j�avais le droit sur mon travail officiel en Isra�l pendant toute l�ann�e
2009. J�affirme le fait qu�avant le 2 f�vrier 2009, je n��tais pas encore admis
en 2e ann�e acad�mique de mon Ecole Doctoral � l�Universit� de Strasbourg.
Le fin de la page 3 cette D�cision n�est que le mensonge qui ment et humilie
l�honneur du SEM � travers l�affirmation suivante: L��valuation de la vraisemblance consiste� et une �valuation globale de tous les
�l�ments (concordance des faits principaux, fondement et plausibilit� des
indications cr�dible de la personne, etc.) plaidant ou non en faveur du
requ�rant. Les faits all�gu�s ne sont vraisemblable que si les �l�ments
positifs l�emportent. Ils ne le sont donc pas si la teneur des all�gations est
certes possibles, mais que des d�tails essentiels et pr�pond�rant dans
l�appr�ciation des aspects s�apposent auxdits faits (cf. arr�t du 5 janvier
2009 du Tribunal administratif
f�d�ral TAF, E-3767/2006, 4. 1). J�ai soulign� la date de mon retour en
Isra�l le 08.05.2008 et la date de mon d�part d�Isra�l le 31.01.2009 qui
confirme le mensonge li� avec mon arr�t
du 5 janvier 2009 d�aucun Tribunal
administratif f�d�ral TAF, E-3767/2006, 4. 1. Si ce m�me tribunal
administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 d�nonce comme auteur d�un crime ou d�un
d�lit ma personne que ce m�me cf. arr�t du 5 janvier 2009 du Tribunal
administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 sait innocente, ce m�me cf. arr�t du 5
janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 rend coupable de d�nonciation
calomnieuse au sens de l�art. 303 CP, punissable d�une peine privative de la
libert� de ce m�meTribunal administratif TAF,
E-3767/2006, 4. 1 jusqu�� 20 ans ou d�une peine p�cuniaire depuis 2009 jusqu��
2015. Si ce m�me cf. arr�t du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif TAF,
E-3767/2006, 4. 1 d�nonce une infraction qu�il sait que le 5 janvier 2009, moi,
Alexander Kiriyatskiy, je me trouvais en Isra�l et
n�avais pas �t� commis, ce m�me cf. arr�t du 5 janvier 2009 du Tribunal
administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 se rend coupable d'induction de la justice
en erreur au sens de l�article 304 CP, punie par une peine privative de sa
libert� privil�gi�e jusqu�� 3 ans ou une p�cuniaire. Si ce m�me cf. arr�t du 5
janvier 2009 du Tribunal administratif TAF, E-3767/2006, 4. 1 me soustrayait �
ma poursuite p�nale ou � l�ex�cution de ma peine pour "mon arr�t" du
5 janvier 2009 au sens de l'art. 305 PC, alors que je me trouvais en Isra�l, ce Tribunal administratif
TAF, E-3767/2006, 4. 1 punie par une peine privative de sa libert� privil�gi�e
jusqu�� 3 ans ou une p�cuniaire. Je suis Monsieur
1) d�monstration de mon arrive � l�a�roport allemand le 1.02.2009 (le grand sceau avec la lettre D)
2) celle-ci de mon d�part de l�a�roport
allemand le 30.04.2009 (l�autre petit sceau, o� il n�y a que
l�avion avec celle D)
S�il vous est possible de me les envoyer � l�adresse suivante,
svp :
Je reste � votre disposition pour tout compl�ment d�information et
je vous prie d�agr�er, Madame, Monsieur, mes salutations les meilleures.
Physiquement,
je ne pouvais pas �tre arr�t� en France le 5 janvier 2009, car le 5 janvier
2009 je me trouvais en Isra�l et cette m�me falsification est directement li�
avec mon action criminelle en Allemagne au mois de juin 2009, alors que du
30.04.2009 au 5.09.2009 je me trouvais en Isra�l aussi, o� j�avais mon droit
sur le travail officiel pendant ce m�me p�riode jusqu�au 1 mai 2010. Mon
inscription en doctorat pour ma 2e ann�e acad�mique le 2 f�vrier
2009 confirme encore une fois ce m�me mensonge mentionn� qui humilie l�honneur
de la Suisse
�
6)
La
D�cision d�Asile N572 093 Kop N
de pers. 173 245 47 a
ignor� le fait que moi, Alexander Kiriyatskiy,
j�avais le droit de rester en France en 2010 jusqu�� la d�cision du recours. Ce
dernier �tait oppos� � la d�cision du tribunal du 20 janvier 2010. La D�cision
d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�a rien dit contre le
fait que le 31 mars 2010 il y avait l�audition li�e avec ma demande � rester en
France jusqu�� l�automne 2010. La r�ponse n�gative de ce recours est venue �
l�adresse d�Alexander Kiriyatskiy � Strasbourg le 28
mai 2010
7) La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�a pas examin� le fait que moi, Alexander Kiriyatskiy, j�ai quitt� la France le 25 avril 2010 afin de finir de r�diger ma th�se en Italie. En automne 2010, je voulais revenir en France pour un seul jour, alors que je pouvais soutenir ma th�se au mois de septembre ou en octobre 2010. La d�cision d�Asile en Suisse a ferm� les yeux sur le fait que si je n�avais pas �t� transf�r� vers Tel-Aviv sans mon d�sir par la police, il n�y aurait eu aucune deuxi�me pression politique de l�Ambassadeur fran�ais � Tel-Aviv sur mon directeur de th�se Fr�d�ric de Buzon, j�aurais soutenu ma th�se en automne 2010 et j�aurais quitt� l�Europe TOTALITAIRE POUR TOUJOURS AFIN DE NE JAMAIS DEMANDER L�ASILE POLITIQUE EN SUISSE 2 ANS ET DEMI PLUS TARD.
8)
La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 ne dit rien dans
sa r�ponse n�gative que pour �viter la soutenance de ma th�se en 2010, le Shabak isra�lien et l�Association de la S�curit� Nationale
des Etats-Unis (� cause de la demande d�Isra�l) �taient entr�s dans le syst�me
informatique de la police allemande et m�ont attribu� une action criminelle
falsifi�e. Cette derni�re m�interdit de traverser le territoire de l�Allemagne
depuis le mois de juin 2009 jusqu�au mois de juin 2019. La D�cision
d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�a pas appr�ci� les faits
que cette m�me falsification avait oblig� la police allemande � m�arr�ter et �
et me transf�rer en France pour la police fran�aise. Cette derni�re a organis�
mon extradition violente vers Tel-Aviv, malgr� le fait que le 25 avril 2010
j�avais quitt� la France. Mon action criminelle falsifi�e a oblig� mon
directeur de th�se Fr�d�ric De Buzon � quitter la
place du directeur d��quipe en philosophie en 2010. Sous la pression de l�ASN,
Fr�d�ric De Buzon est parti aux vacances sabbatiques
sans son d�sir pendant l�ann�e acad�mique 2010-2011. Cette m�me falsification
de mon action criminelle permet de pers�cuter tous les professeurs qui
voulaient m�inscrire en leurs Doctorats en France, en Espagne et en Suisse. Je
prie d�analyser attentivement mes deux dossiers pr�sent�s de nouveau pour votre
recours sous leurs titres 1) Absence du
droit sur l�alibi en Europe ou Silence obligatoire des moutons europ�ens de
masses sans voix et 2) Esclavage
allemand en Espagne 18 mois plus tard (30.04.2010-27.10.2011). Tous deux
ont plusieurs documents r�els non vraisemblables. La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 a ferm� les yeux sur la
pers�cution par d�j� deux falsifications 1) en �t� 2009 et 2)
cf. arr�t du 5 janvier 2009 du Tribunal
administratif f�d�ral TAF, E-3767/2006, 4. 1)
contre moi et contre 6 professeurs qui
pouvaient devenir mes directeurs de th�se en France, en Espagne et en Suisse,
car l'Europe doit perdre son ind�pendance et rendre la plupart des pris
am�ricains qui comprennent 18, 1 tillions dollars.
9) Cette D�cision n�a pas examin� le fait que la mafia isra�lienne a voulu utiliser toute l�Europe contre ma concurrence de ma th�se. Cette mafia a soumis la nationalit� allemande comme les �Frizts stupides et responsables pour tous les juifs et pour leurs actions ill�gales�. Du 30.04.2009 au 4.09.2009, je me trouvais en Isra�l. Le 25 avril 2010, j�allais en train vers l�Italie. L�Italie pouvait me fournir la carte de s�jour en Europe de la m�me mani�re quelle l�avait fait de 2002 � 2004, alors qu�en 2010 j��tais doctorant et mon directeur de th�se travaillait � l�Universit� de Strasbourg. J�ai pr�f�r� aller chez mon ami italien pour finir la composition de ma th�se � sa maison. Avant le 25 avril 2010, j�ai voulu tenter de la soutenir ma th�se au mois d�octobre � Strasbourg sur la base de mes compositions � Trente. Si j��tais venu en Isra�l avec mon dipl�me de docteur en automne 2010 et si j�avais quitt� la France, j�aurais pu repr�senter le danger pour la mafia mondiale au Canada, en Isra�l et en Europe. Afin de m�emp�cher de pr�senter ma soutenance, alors que j�allais de Strasbourg � Trente � travers l�Allemagne, le 25 avril 2010 la police allemande m�a arr�t� et emprisonn� � Stuttgart et plus tard � Karlsruhe pendant 24 heures. La cause de mon arrestation �tait mon �action criminelle� � Kehl du 28.07. 2009. Stadt ver waltung Kehl. Ausl�nderamt. Aktenzeichen: 103.19/31/KP. Telefon 0049 7851 88 0
(Documents
r�el de
l�Absence du droit sur l�alibi en Europe ou Silence obligatoire
des moutons europ�ens de masses sans voix: pages 4, 6,
11, 20, 21)
10)
La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245
47� n�a pas examin� le fait que si contre
moi le 5 septembre 2009 ces m�mes deux falsifications de mon action
�criminelle� avaient exist� dans les ordinateurs de la police allemande, sur
mon passeport je n�aurais jamais eu deux seaux de l�a�roport allemand dat�s du
5. 09. 2009 et le 1 f�vrier 2009�
11)
Ce m�me passeport se trouve dans la police
suissesse. Celui-ci a l�autre seau de l�a�roport allemand dat� du 1 f�vrier
2009 qui confirme aussi le mensonge li� � mon
� arr�t � du 5 janvier 2009 du Tribunal
administratif f�d�ral TAF, E-3767/2006, 4. 1 falsifi�. En 2012, je
n�avais aucune information li�e avec la 2e falsification dat� du 5
janvier 2009, c�est pourquoi je n�ai pas copi� ce m�me seau qui �tait mis sur
mon passeport le 1.02.2009. Je prie le Tribunal administratif f�d�ral TAF de t�moigner ce m�me seau dat� du
1.02.2009 sur mon passeport. Ce dernier se trouve dans la police suissesse
depuis le 4.01.2012. Mon document sous le titre l�Absence du droit
sur l�alibi en Europe ou Silence obligatoire de la masse des moutons europ�ens
sans voix: (page 13) n��tait pas examin� par le
mensonge li� � mon � arr�t � du 5
janvier 2009 du Tribunal administratif f�d�ral TAF,
E-3767/2006, 4. 1, car cette derni�re falsification n�existaient pas de
2009 � 2012. ��
12) Cette D�cision de l�Asile ferme les yeux sur le fait: si pendant long temps l�Europe ne voulait pas tuer tous les hommes russes selon l�opinion de M. Bob Scales (Robert Skeels), ou: je serais condamn� pour quelque action criminelle en Allemagne, ou cette m�me r�ponse du SEM aurait reconnu le fait qu�en Europe totalitaire les hommes, pers�cut�s par l�ASN et par le Shabak, n�ont aucun droit sur leur vie sans pers�cution. Ce fait est confirm� par l�absence de l�analyse de cette m�me information concr�te dans cette D�cision de mon asile en Suisse. Isra�l ne m�a pr�sent� aucun avocat pour r�gler mes probl�mes en Allemagne. La lettre de l�avocat fran�ais Mme S�verine ROUDLOFF �tait rejet�e
(Document
de l�Absence du droit
sur l�alibi en Europe ou Silence obligatoire des moutons europ�ens de masses
sans voix: page 7) Selon mon
payement pour les v�hicules qui n��taient jamais achet�s par moi, j�affirme la
r�alit� que seul l�esclave du r�gime totalitaire ou l�homme, achet� par la
mafia, pouvait ne pas appr�cier mon document concret
(Selon l�Absence du droit
sur l�alibi en Europe ou Silence obligatoire des moutons europ�ens de masses
sans voix: page 26), o� le
25 mai 2009 il est marqu� que ce m�me v�hicule �tait achet� par Kiriyatskiy en Isra�l en 1993. Seul certain homme aveugle
n�acceptait pas le fait que je suis venu en Isra�l, la premi�re fois, le 29 mai
1999 et, physiquement, je n�avais aucune possibilit� d�acheter ce m�me v�hicule
en Isra�l en 1993. Tous les experts ind�pendants pouvaient �valuer l�ignorance
de ce m�me document par les standards doubles sous la pression de la dictature
am�ricaine. Seul son esclave aveugle pouvait ne pas d�terminer ici le rapport
direct entre le v�hicule �achet� par moi en Isra�l en 1993 et mon action
�criminelle� en Allemagne falsifi�e contre moi et contre mes directeurs de
th�se pour le mois de juin 2009. Seul l�esclave aveugle des Etats-Unis peut ne
pas confirmer deux faits: 1) M. Alexander Kiriyatskiy
ne pouvait pas acheter le v�hicule en 1993 en Isra�l, car M. Kiriyatskiy se trouvait en 1993 en Ouzb�kistan et n�avait
aucune source d�aller en Isra�l pour acheter l� ce m�me v�hicule sans permis de
conduire. 2) M. Alexander Kiriyatskiy ne pouvait
faire aucune action criminelle en Allemagne au mois de juin 2009, car du 30
avril 2009 au 5 septembre 2009 M. Alexander Kiriyatskiy
se trouvait en Isra�l afin de payer pour le v�hicule qui n��tait jamais achet�
par Kiriyatskiy en 1993. Ces deux faits confirment
par leur pratique que l�homme pauvre n�a aucun droit sur l�alibi en Europe et
la mafia peut faire tout que celle-ci veut avec ses esclaves � travers
plusieurs attributions plus tard des arr�ts falsifi�s comme celui
du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif f�d�ral TAF, E-3767/2006,
4. 1). Ces esclaves comme moi
n�ont aucun droit de l�homme en Europe totalitaire ni sur l�Asile, ni sur la
cons�cration des pers�cutions et de leurs alibis. En Europe, en Australie et en
Am�rique, l�Asile ne pr�suppose que la d�stabilisation �conomique et politique
des concourants am�ricains � travers les requ�rants d�Asile qui peuvent ne
jamais �tre pers�cut�s dans leur pays, o� ces derniers d�stabilisent l��conomie
et l�ind�pendance politique des Etats-Unis.
13)
�Pour votre recours, je
d�montre qu'il est inutil d'affirmer que votre
pr�judice d�coulant de la situation politique, �conomique ou sociale qui
r�gne dans un Etat ne constituent pas une pers�cution au sens de l�article 3 LAsi . �Le
mensonge cette affirmation pr�suppose seuls hommes qui n��taient
jamais pers�cut�s et ne devaient jamais mourir dans la rue sous la pluie en
hiver dans le pays Isra�l qui est bien plus riche et bien plus illumin� pendant
chaque nuit que la Suisse et que la Belgique. Cet article n�a aucun rapport
avec mon cas. Depuis 2006 jusqu�� 2012 � Amiens, � Strasbourg et � Perpignan,
je mentais que j��tais le juif sans opinion qui aime Isra�l avec l�espoir que
ces m�mes affirmations diminuaient la pers�cution du Shabak
et de l�ASN contre moi. Je soutenais toutes les tendences
politiques, �conomiques et sociales d�Isra�l et de la France pour soutenir ma
th�se tranquillement sans pers�cutions, car en Europe totalitaire je n�ai aucun
droit ni sur l�alibi, ni sur la cons�cration des pers�cutions contre moi et
contre mes 6 professeurs comme � l��poque de Staline en URSS de 1933 � 1953.
14)
La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�a pas �valu� la
r�alit� que de cette m�me fa�on la mafia avait la possibilit� de m�attribuer
l�assassinat d�homme, la distribution des drogues, la violence et n�importe
quelles actions criminelles sans mon droit sur l�alibi. Cette m�me d�cision a
ferm� les yeux sur mes probl�mes auxquels m�a conduit cette m�me falsification.
M. le Professeur Eckart WIRBELAUER n�a pas modifi� son appr�ciation de mon
projet de l�automne 2007 au 25 novembre 2010 selon sa direction de ma th�se en
histoire sous sa direction. En outre, sous la pression de la mafia ou du pays
totalitaire comme l�URSS de 1928 � 1954, M. le Professeur Eckart WIRBELAUER
modifie son opinion pendant quatre jours du 25 au 28 novembre 2010. Comme �
l��poque du stalinisme en URSS, en France il perd le d�sir de suivre ma th�se
sous la peur de perdre son travail come M. le Professeur Fr�d�ric DE BUZON
l�avait perdu pour l�ann�e 2010-2011. M. le Professeur
Dominique BEYER �tait le directeur d��quipe des doctorants en histoire antique
de 2007 au 25 novembre 2010 et le 24 mars 2011 il n�occupait pas d�j� ce post,
car il avait voulu m�admettre dans son Ecole Doctorale en histoire du 23
novembre au 25 novembre 2010. Sur la base cette m�me falsification de mon
action �criminelle� en Allemagne, le 20 novembre 2010 sous la pression
isra�lienne M. Alain Bertz pr�sident de l�Universit�
di Strasbourg a �crit son message qui m�interdit d�arriver � l�Universit� de
Strasbourg pour chercher mes nouveaux directeurs de th�se � Strasbourg. M. le
pr�sident Alain Bertz se datait le 20 novembre 2010,
5 jours avant ma visite � M. le Pr�sident avec ma lettre qui demande le droit
de r�diger ma th�se en histoire et non en philosophie � l�Universit� de
Strasbourg. Sous la pression d�Alain Beretz
isra�lien, je n�ai aucun droit d��tudier en Doctorat apr�s la falsification
criminelle contre moi en Allemagne. Ce document explique parfaitement pour
quelle raison M. le Professeur Eckart WIRBELAUER a modifi� son opinion pendant
30 minutes et n�a pas voulu suivre ma th�se comme � l��poque du stalinisme en
URSS. Seul la peur
POLITIQUE a oblig� l�auteur de votre D�cision n�gative � ne pas expliquer le
mensonge de M. le Pr�sident Alain Bertz sur la base
de la falsification allemande contre moi.
15)
La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�a pas constat� mon droit de recevoir
l�explication plus pr�cise pour quelle mon action criminelle on m�a interdit d��tre
le doctorant en France, en Espagne et en Suisse? Avant le 25 novembre 2010 M. le Pr�sident Alain Bertz ne voyait jamais mon visage.� Le 2 novembre 2009, ce m�me M. le Pr�sident
Alain Bertz a pay� pour mon inscription dans ma
derni�re ann�e acad�mique, car je n�avais aucun argent pour payer pour mon
inscription. Si la falsification li� � mon
� arr�t � du 5 janvier 2009 du Tribunal
administratif f�d�ral TAF, E-3767/2006, 4. 1 avait exist� en 2009,
j�aurais eu plusieurs probl�mes avec la Pr�fecture d�Alsace comme en 2008 et en
2010, c�est pourquoi, le 2.11.2009 M. le Pr�sident de l�Universit� de
Strasbourg Alain Berezt n�aurait jamais pay� pour mon
inscription en son doctorat. Si Votre Tribunal ne correspondait pas au tribunal
du KGB avant le d�c�s de Staline en URSS de 1937 � 1953, vous m�auriez pr�sent�
l�Asile en Suisse, car dans les autres pays la mafia pourrait m�attribuer
plusieurs autres arr�ts qui n�existent pas encore dans les ordinateurs des
polices de l�Europe, de l�Am�rique et d�Isra�l maintenant, le 21.03.2015. Cette
m�me possibilit� de m�attribuer n�importe quelle action criminelle peut me
conduire vers nombreuses condamnations de mort ou vers plusieurs ann�es dans
les prisons d�Europe, d�Am�rique ou d�Isra�l sans cause et sans droit sur mes
recours justes partout.�
16)
Ce document non vraisemblable illustre le fait que M. le Pr�sident
Alain Bertz a pay� 354 euros pour mes �tudes � son
Ecole Doctorale pendant l�ann�e acad�mique 2009-2010. Avant la falsification
mentionn�e de mon action �criminelle� en Allemagne, l�Universit� de Strasbourg
n��tait pas contre moi. � cause des mes relations magnifiques avec le secr�tariat de
l�Universit� de Strasbourg, le 22 mars 2011, j�ai re�u un document sign� par M.
le Pr�sident de l�Universit� de Strasbourg le 20 novembre 2010, il y a 5 jours
avant ma premi�re visite chez M. le Pr�sident Alain Beretz
le 25 novembre 2010.
(Document r�el du Droit sur
l�alibi en Europe ou Silence obligatoire des moutons europ�ens de masses
sans voix: page 19).
17)
La
D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 a ignor� le fait que le service secret d�Isra�l a pers�cut� 6
professeurs, car ces derniers voulaient suivre ma th�se. Isra�l les a emp�ch� de travailler et ils avaient peur de m�aider.�
18) La r�ponse n�gative � ma demande d�Asile a ignor� le fait que 6 professeurs ont perdu leur travail � cause du d�sir de m�inscrire � leur Ecoles Doctorales sur la base des motivations politiques en non �conomiques en France, en Espagne et en Suisse. Il est impossible de comparer (a) quelques probl�mes au travail et (b) la perdition du post de directeur d��quipe avec l�absence du droit d�enseigner pendant toute l�ann�e. Ces pers�cutions politiques humilient Messieurs les professeurs Fran�ois Latraverse et Georges Leroux � l�Universit� du Qu�bec � Montr�al
Ces m�mes peurs POLITIQUES abaissent Messieurs les
professeurs Fr�d�ric de Buzon (depuis 2010 non
directeur d��quipe en philosophie) et Dominique Beyer
(depuis 2010 non directeur d��quipe en histoire) � l�Universit� de Strasbourg,
Pablo Garcia Castilllo, Cerilo
Forez Miguel, Angel Poncela Gonzalez � l�Universit�
de Salamanque (8 documents concrets de l�Esclavage allemand en Espagne 18 mois
plus tard (30.04.2010-27.10.2011) pages: 5-18) et Christophe Erismann � l�Universit� de Lausanne en Suisse. Ce dernier
�tait oblig� � ne pas enseigner � l�Universit� de Lausanne pendant l�ann�e
acad�mique 2013-2014 sans son d�sir. Il �tait remplac� par M. le Professeur
Gianfranco Soldati de l�Universit� de Freiburg, comme
Fr�d�ric de Buzon pour l�ann�e 2010-2011 � Strasbourg
en France et Pablo Garcia Castillo en 2011-2012 � Salamanque en Espagne. Cette
m�me D�cision n�gative n�a rien indiqu� selon le fait que, pour ne pas suivre
ma th�se, M. le Professeur Christophe Erismann devra
quitter l�Universit� de Lausanne pour toujours au mois d�octobre 2016. Sous la
pression isra�lienne, l�Universit� de Lausanne ne signera plus le document li�
avec leur collaboration. L�on a traduit cette m�me information en allemand le 3
novembre 2014. Si j�avais menti, ce m�me �mensonge� aurait �t� manifest� dans
la D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 de SEM. L�esclavage du SEN en Suisse n�avait aucun permit
politique de l�ASN et du Shabak d�analyser les faits
r�els, car ces derniers illustrent le totalitarisme europ�en � travers ses
violences politiques et �conomiques contre 6 professeurs qui voulaient m�aider
en France, en Espagne et en Suisse.
19)
Sous la
pression de son propre Staline en Am�rique, cette m�me r�ponse n�gative du SEM
en Suisse avait peur d�analyser le fait que pendant mes �tudes � l�Ecole
Doctorale � Strasbourg, je n�avais aucune source pour la vie (3 euros de
Caritas pendant un mois et rien plus). C�est la raison pour laquelle, le
r�fugi� russe M. Vladimir Altoukhov m�a pr�sent� son
h�bergement gratuit (de 2007 � 2012). En outre, comme ces m�mes 6 professeurs
mentionn�s, au mois de janvier 2011 M. Vladimir ALTOUKHOV �tait pers�cut�, car
il m�a aid� en France. M. Vladimir ALTOUKHOV �tait oblig� � laisser son
appartement � Strasbourg, o� l��tat de son corps �tait magnifique et n�avait
aucune maladie. Je ne peux pas croire que, par son �propre d�sir�, le SEM a
peur d�analyser le fait que M. Altoukov a d�m�nag� de
Strasbourg � Perpignan, la ville plus pauvre en France. A Perpignan, nous avons
commenc� � habiter dans l�appartement tr�s mal, o� au mois de novembre 2011 M.
Vladimir ALTOUKHOV v�g�tarien, qui ne mangeait jamais de la viande, a eu le
cancer oncologique de son estomac. Ce dernier �tait enlev� dans l�h�pital �
Perpignan, o� M. Vladimir Altoukhov a pass� la
chimioth�rapie. Car j�avais habit� dans ce m�me appartement, j�ai re�u 4
boutons avec la tumeur. Les premiers 3 boutons oncologiques sur mon pied gauche
�taient enlev�s � l�h�pital de Perpignan, car ceux-ci pr�sentaient le danger
pour mon organisme. Le 4e bouton, re�u par moi � Perpignan, se
trouve sur mon �uf gauche. Ce dernier sent la douleur parfois. Mais ce bouton
ne pr�sente pas le danger oncologique selon ses derniers examens � l�h�pital de
Lausanne.
20)
Apr�s mon logement � Perpignan, j�ai commenc� � perdre la
m�moire et mon sang a cess� de passer normalement sans difficult� � travers
toutes mes art�res. Mais mon corps est jeune. Ma jeunesse essaye de vaincre le
r�sultat de ma vie dans l�appartement dangereux � Perpignan. Le 3
novembre 2014 � Berne, M. le responsable a soulign� particuli�rement en
allemand que mon obligation de d�m�nager � l�appartement dangereux �tait la
pers�cution politique et non �conomique. C�est pourquoi, je ne demandais pas
l�asile politique en France. Cette derni�re se trouvait sous la pression du
Shabak et de l�Association de la S�curit� Nationale des Etats-Unis comme le SEN
en Suisse.
21)
La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 de SEM a ferm� les yeux sur mes
cicatrices sur mon cancre. Ces cicatrices ne peuvent pas avoir leurs causes
�conomiques (vid�o avec ma t�te ras�e sur la cl� USB). C�est comme le
remplacement de M. Christophe Ersmann pendant l�ann�e acad�mique 2013-2014 par
Gianfranco Soldati de Freiburg. Ce remplacement temporaire �tait bien plus cher
pour l�Universit� de Lausanne que le travail stable de M. le Professeur
Christophe Erismann sur sa propre place l�gale, � l'automne 2013. Il avait sa propre collaboration avec
l�Universit� de Lausanne pendant 3 ans non pour une ann�e sabbatique 2013-2014
sans travail. Ce m�me fait confirme encore une fois que ma demande d�Asile en
Suisse (?????) NEUTRE (?????) est POLITIQUE ET NON �conomique.
22)
Cette m�me D�cision d�Asile a inverti ma peur de revenir en Isra�l. Cette derni�re n�est pas li�e
avec ma vie dans la rue. 16 ans plus tard, apr�s mon �migration en Isra�l, je
voudrais que le pays ILRA�L n�existe jamais sur le Globe Terrestre. C�est pourquoi,
j�aurais peur de revenir en Isra�l avec son passeport dans mes mains et sans
aucun droit sur ma vie, si mon arr�t, en Europe, du 5 janvier 2009 d�aucun
Tribunal administratif f�d�ral TAF, E-3767/2006, 4. 1 �tait possible, alors que
je me trouvais en Isra�l du 8.05.2008 au 31.01.2009. La source de ma guerre
froide contre Isra�l �tait mon grand stress li� avec mon absence du droit
de r�diger ma th�se en France, en Belgique et en Espagne en 2010 sous la
pression isra�lienne. Comme les sacrifices de Donbass ne voudront jamais
revenir � l�Ukraine et devenir les ukrainiens, de cette m�me fa�on je n�irai
jamais en Isra�l et je ne voudrai pas avoir sa citoyennet�. Je ne suis pas
circoncit et je n��tais jamais juif dans mon c�ur. Depuis 2006 jusqu�� 2010, je
jouais le r�le du juif pacifique sans sa propre opinion pour me d�barrasser des
pers�cutions du Shabak. Le 3 novembre 2014, j�ai dit nombreuses fois au
responsable pour mon audition � Berne que je ne suis pas contre les juifs li�s
avec la mafia mondiale, alors que ces m�mes grands juifs ne pers�cutent pas mes
amis pour leur d�sir de m�aider. Je ne perds pas l�espoir que cette m�me
d�cision d�asile N 572 093 Kop n de pers. 173 245 47 soit analys�e de
nouveau sans pression des Etats-Unis et d�Isra�l, o� je ne reviendrai JAMAIS.
23)
�La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245
47 de SEM a masqu� mon stress. Ce dernier m�avait oblig� � devenir l�animal
sans espoir et m�a fait dire �Hi Hitler� au grand rabbin de Strasbourg M.
Gutman. Mais j�ai dit cette affirmation pour les juifs et non pour les
antis�mites. Je lui ai dit que je suis contre l�existence du pays Isra�l, car
ce dernier dirige tout le monde et que je veux �tre responsable pour tous les
ennemis de cette m�me soci�t� juive aupr�s de laquelle s�incline tout le monde
des go�ms. J�ai dit � Gutman que je consacrerai toute ma vie pour la guerre
froide contre l�antigo�sme et que je veux �tre responsable pour tous les
ennemis des juifs, contre la mafia juive qui m�interdit de vivre. Pour le Grand
Rabin de Strasbourg, sous la pression de mon stress je lui ai dit que je suis
fatigu� d�avoir peur. C�est pourquoi, contre mes bourreaux isra�liens, je crie:
�Hi Hitler� sans droit sur ma vie pour seuls les juifs, dans la soci�t� de
seuls les juifs ET NON POUR LES ANTISEMITES, NON POUR L�ANTISEMITISME. M.
Vladimir Ivanovitch Altoukhov m�avait pr�sent� l�h�bergement de 2007 � 2012. Il
avait pens� que l�obligation � habiter dans cet appartement dangereux �
Perpignan �tait li�e avec le fait qu�il m�avait pr�sent� son logement et avait
prolong� ma vie depuis 2007 jusqu�� 2012. Sa peur des services secrets
d�Isra�l m�a oblig� � quitter M. Altoukhov et rester dans la rue. Seul ce
stress m�a provoqu� revenir � Strasbourg et dire encore une fois que je
soutiens tous les ennemis d�Isra�l. Pour ces m�mes mots, les hommes, comme moi,
attendent la condamnation de mort. Selon tout que Isra�l avait fait
contre moi, en Isra�l j�aurais pu �tre responsable pour toutes les actions des
fascistes contre les juifs pendant la 2e guerre mondiale, si j��tais
revenu en Isra�l, dans le pays de tout le mal humain. Si la Suisse m�obligeais
� quitter son territoire, j�irais � Donbass afin d�enseigner les esclaves
russes en Ukraine. Je leur raconterai toute mon histoire en Europe depuis 2006
jusqu�� 2015, car l�Europe ne d�sire que le d�c�s pour la plupart des
repr�sentants de notre nationalit� russe. Je ne peux pas croire que la
Suisse ne veut pas reconna�tre la v�rit�.
24)
Si mon retour en
Isra�l ne m�avait pas menac� par ma mort pour mes affirmations contre les juifs
et contre Isra�l � Strasbourg en 2010 et en 2011 aupr�s M. Gutman le grand
rabbin d�Alsace, je n�aurais jamais demand� l�asile politique en Europe
totalitaire.
25)
Sur la base de ces 75
documents de mes 3 dossiers, cette m�me D�cision n�a pas analys� le fait que
depuis 2002 jusqu�� 2008 et de 2010 � 2015 je ne pouvais pas habiter en Isra�l,
car je ne avais aucun droit sur mon travail l�gal en Isra�l, ni afin de payer
mon assurance m�dicale isra�lienne sous la peur de perdre mon dernier travail
ill�gal en Isra�l � cause de mon payement pour mon assurance obligatoire. Si
j��tais rest� en Isra�l en 2004 apr�s la mort de ma m�re non juive, d�j� en
hiver 2004 j�aurais d� mourir du froid dans la rue sans droit sur mon travail
l�gal, sans argent et sans possibilit� de me r�chauffer et me s�cher dans les
foyers pour les drogu�s, car je ne fume jamais et je ne bois jamais d�alcool.
26)
Cette D�cision a
ferm� les yeux sur la r�alit� que les �v�nements li�s avec les pers�cutions
isra�liennes contre moi passaient non sur le territoire d�Isra�l depuis 2004,
car si j��tais rest� en Isra�l, j�aurais �t� un cadavre au mois de d�cembre
2004.
27)
La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�a pas accept� le fait que,
depuis l�automne 2000 jusqu�l�automne 2010, je ne disais rien contre les juifs
et contre leur Isra�l. Je jouais le r�le du juif go� russe qui n�avait aucun
point de vue et voulait diminuer les pers�cutions contre moi, car j�essayais de
soutenir ma th�se sans r�pressions isra�liennes en Europe.
28)
Tous mes �v�nements
depuis 2006 jusqu�� 2012 sont concrets et n�ont aucune vraisemblance. En outre,
aucun de ceux n��tait pas analys� par la D�cision d�Asile N572 093 Kop
N de pers. 173 245 47
29)
Mon audition � Berne
n�a pas voulu reconna�tre le fait qu�� l�Universit� du Qu�bec de Montr�al les
professeurs avaient peur de m�inscrire en th�se sous la pression isra�lienne. Si j�avais soutenu ma th�se �
Montr�al, en� Isra�l mon dipl�me de
docteur canadien aurait pr�sent� le grand danger pour la mafia isra�lienne qui
r�dige les th�ses pendant 40 ans et pendant ces m�mes 40 ans occupe toutes les
places des enseignant � toutes les Universit�s isra�liennes. Leur crainte de
suivre ma th�se correspond � cette m�me peur �quivalente � celle � l��poque de
Staline en URSS de 1937 � 1953.
30)
Je prie votre recours d�accepter que pendant 3 ans et 3 mois,
alors que j�habitais en Suisse, je n�ai rien dit contre les juifs, car il n�y
avait aucune cause de toucher les rois juifs qui dirigent tout le monde. Je
n�ai rien dit contre mes bourreaux isra�liens et am�ricains, alors que ces
derniers avaient oblig� Christophe Erismann � partir de l�Universit� de
Lausanne aux vacances sabbatiques pendant l�ann�e acad�mique 2013-2014, contre
son d�sir. Au printemps 2014 � l�Universit� de Lausanne, ce m�me fameux
professeur de la philosophie m�di�vale m�avait dit le propos qu�en 2016 il
devra finir d�enseigner � cette Universit�, car cette derni�re ne signera plus
cartain document li� avec leur collaboration. Si la Suisse m�avait permis de
r�diger ma th�se en Doctorat � l�Universit� de Lausanne en 2014, Christophe
Erismann m�aurait pr�sent� la possibilit� de soutenir ma th�se pendant une
ann�e. Si j�avais soutenu ma th�se � Lausanne en 2015 ou en 2016, quelle
menaces les pr�sentait-il mon dipl�me de docteur en philosophie pour la Suisse,
alors que je n�aurais pas demand� l�asile et aurais-je pu �migrer au Canada par
l�enqu�te d��migration officiellement????? Au printemps 2014, je comprenais parfaitement
que si les services secrets de la Suisse et non d�Isra�l avaient fait tous ces
m�mes probl�mes pour M. le Professeur Christophe Erismann, pour la Suisse, il
aurait �t� bien plus beau march� de m�envoyer cette m�me D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 pleine de ces m�mes mensonges en
2013 qu�inviter le Professeur Gianfranco Soldati de l�Universit� de Fribourg et
lui payer le salaire bien plus haute que pour M. le jeune Professeur Christophe
Ersmann, si ce dernier n�avait pas re�u ses propres vacances sabbatiques non
pr�vues par sa collaboration Pablo Garcia Castillo n�avait pas pr�vu celles
pendant l�ann�e acad�mique 2011-2012 en Espagne et comme Fr�d�ric de Buzon ne
les avait pas en 2010-2011 en France. Ni en 2013, ni en 2014, ni en 2015, je
n�ai rien dit contre les juifs malgr� ces m�mes pers�cutions des professeurs
qui vouaient suivre ma th�se. En 2011, j�ai dit �Hi Hitler� au grand rabbin
Gutman, car l�imp�rialisme de votre Europe totalitaire m�obligeait � mourir
dans la rue en France. Si je n�avais pas demand� l�Asile politique en Suisse,
je serais d�c�d� en 2012, car en 2012 la Russie n��tait oppos�e au
totalitarisme du r�gime draconien en Europe. Ce totalitarisme masqu� soutient
l�antis�mitisme r�el en France dans les quartiers arabes. Ces derniers peuvent
l�galement tuer les juifs pour leur chapeau religieux. Maintenant, l�Europe
manifeste le fait que les n�ofascistes estoniens dansent sur les ruines du camp
de concentration. La Communaut� Europ�enne d�voile le concours du meilleur
n�ofasciste plus fort en Estonie, car, parmi tous les pays du monde, l�Estonie
est bien plus oppos�e aux russes, pire que la Lettonie fasciste de cette m�me
fa�on. Au contraire seulement contre moi, car je suis un russe stress� par les
sacrifices de l�imp�rialisme isra�lien,� du
reste, rien n�indique qu�une �ventuelle condamnation pour les propos que vous
avez tenu en public vous exposerait, en Isra�l, � de s�rieux pr�judices au sens
de l�article 3 LAsi. Je n��tais jamais contre les juifs pauvres. J�affirme
que M. le responsable et l�auteur de cette m�me D�cision d�Asile N572 093
Kop N de pers. 173 245 47 n�avaient aucune connexion par correspondance,
car, le 3 novembre 2014, M. le responsable pour mon audition avait constat� en
allemand, � travers son ordinateur, le fait que je n��tais jamais contre les
rabbins et contre les autre juifs civils qui ne me faisaient jamais le mal pour
moi. Je suis le r�sultat du programme du Shabak et de l�Association de la
S�curit� des Etats-Unis contre les russes dans tous les pays du monde.
31)
�La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245
47 affirme que �le 15 f�vrier 2010,
vous auriez d�pos� plainte contre la France et le Canada aupr�s de la
Cour europ�enne des droits de l�homme. Cette plainte serait encore
pendante�. J�ai dit beaucoup de fois � M. le responsable pour mon audition
le 3 novembre 2014 qu�il y avait mon dossier 7170/10 � la Cour des �Droit� de
l�homme depuis 2008. Cette cour a registr� que ce m�me dossier de Kiriyatskiy
�tait renouvel� pendant 4 fois: en 2008,
en 2009, en 2010
�et en 2011. En outre
sans explication, tous ces m�mes quatre dossiers �taient perdus par la Cour des
�droits� de l�homme � Strasbourg. La d�cision d�asile N
572 093 Kop n de pers. 173 245 47 ne veut pas comprendre le
fait QUE MES DOSSIERS PERDUS NE POURONT JAMAIS �TRE ANALYS�S PAR LA COUR DES
�DROITS� DE L�HOMME NI EN 2015, NI EN 2025, NI EN 2035, CAR MON DOSSIER
7170/10 N�EXISTE PAS � STRASBOURG DEPUIS 2011.
32)
La Suisse (???) soutient-t-elle (???) l�absence de mon droit
sur l�alibi malgr� les confirmations directes, alors que la D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�accepte aucun des ces m�mes
�v�nements concrets qui illustrent les pers�cutions isra�liennes contre moi
justifi�es par le Canada, par la France, par l�Allemagne, par l�Espagne et par
la SUISSE AUSSI??? Je ne crois pas ainsi, c�est la raison pour laquelle je
vous r�dige cette m�me lettre au recours. Il y a cette m�me absence du droit
minimal de l�homme sur l�alibi en Europe. Ce fait explique l�affirmation
suivante de la D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47
dans le 3e paragraphe sur sa page 6: Cette appr�ciation n�est en
rien modifi�e par les difficult�s rencontr�es lors de la r�daction du
proc�s-verbal de votre audition, durant laquelle vous n�avez pas toujours
laiss� suffisamment de temps � l�interpr�te (du fran�ais en allemand)
pour traduire vos d�clarations. Mon audition avait le traducteur du
fran�ais en allemand. Ce dernier avait traduit incorrectement mon affirmation
confirm�e par ma pratique vitale. J�ai dit que de 2004 � 2014 mon
Isra�l, l�Europe et l�Am�rique du Nord pr�sentent ensemble la zone des
pays totalitaires comme l�URSS � l��poque de Staline et je voudrais que leur
politique actuelle SOIT comme en URSS APR�S LA MORT DE STALINE ET NON PENDANT
SA VIE. Le traducteur avait interpr�t� cette mon affirmation incorrectement.
J�avais dit que je voudrais qu�en Europe totalitaire la politique soit non
comme pendant la vie de Staline mais comme apr�s son d�c�s en URSS depuis le 5
mars 1953 et plus tard. Le traducteur a traduit cette m�me phrase par �mon
d�sir que l�Europe soit comme l�URSS pendant la vie de Staline�. Cette
traduction �tait incorrecte. Si la D�cision
d�Asile N572 092 Kop N de pers. 173 245 47 de SEM, qui �tait compos�e le 20
f�vrier 2015 et non le 20 f�vrier 2013, ne se trouvait pas sous la pression
politique de l�ASN des Etats-Unis et du Shabak d�Isra�l, cette m�me r�ponse
aurait l�analyse de tout mon discours traduit en allemand le 3 novembre 2014.
En outre, sous cette m�me pression politique am�ricaine et isra�lienne, cette
D�cision d�Asile de SEM n�a rien dit pour quelle raison je pr�f�rais la vie
mis�re dans la rue et je n�avais pas demand� l�Asile en France, en Belgique, en
Allemagne et en Espagne depuis 2006 jusqu�� 2012? En outre, cette d�cision
affirme l�information qui n�a aucun rapport avec la r�alit�: C�est sur la
base des d�clarations que vous avez formul�es par �crit (pi�ce A 18, moyen de
preuve 8) que les faits pertinents en mani�re d�asile ont pu �tre �tablis et
que toutes les all�gations importantes ont �t� PRISES EN COMPTES (???????) Les
difficult�s recentr�es lors de l�audition ne chargent rien au fait que vos
all�gations ne sont pas pertinentes au regard du droit de l�asile. Cette
m�me affirmation d�montre qu�en Europe totalitaire, sans aucune difficult�,
l�on avait la possibilit� de m�attribuer l�assassinat humaine, la distribution
des drogues, les violences et toutes les actions criminelles falsifi�es pour
n�importe quelle ann�e et sur tout le territoire du Globe Terrestre malgr� mon
activit� dans l�autre pays par tous mes documents pendant mon action
�criminelle� falsifi�e du pays, o� je ne me trouvais pas. Au contraire,
l�Europe justifie les pers�cutions plusieurs hommes, car ils voulaient m�aider
dans leurs Ecoles Doctorales et me pr�sentaient le logement gratuit comme M.
Vladimir Altoukhov. La D�cision d�Asile N572 093
Kop N de pers. 173 245 47 n�a fait aucune appr�ciation du fait que M. le
russe Vladimir Altoukhov avait sauv� ma vie � Strasbourg et � Amiens
depuis 2007 jusqu�� 2012. Si je n�avais pas pu habiter dans son bon appartement
� Strasbourg et dans ceux dangereux � Perpignan, j'aurais d� �tre d�c�d� du
froid en hiver de 2007 � 2008, car j�aurais pass� toutes les nuits dans la rue
sous la pluie ou dans ma tente avec les trous. Ni en Isra�l, ni � Strasbourg,
ni � Perpignan, pour moi pendant plusieurs mois, l'on ne pouvait pas trouver
quelque foyer de pauvres pour me s�ch� et me r�chauffer.� L�auteur de la D�cision d�Asile N572 093
Kop N de pers. 173 245 47 ne veut ni voir ni analyser le fait qu�il y a un
sp�cialiste du Masters confirm� au Canada dans ma voix, le premier traducteur
po�tique en fran�ais du po�te occitan Guillaume IX, duc d�Aquitaine dans mes travaux
scientifiques, car je ne suis que l�esclave sans droit sur ma propre vie. C�est
pourquoi, il est impossible de poser ma question pour quelle raison, pendant 15
ans dans ma voix, ce m�me sp�cialiste n�avait aucun droit ni sur le travail par
ses propres sp�cialit�s, ni sur le travail sans qualification???????????
J�avais ce m�me droit sur le travail sans qualification en 2008 et en 2009 en
Isra�l. Ce m�me droit �tait annul� en 2010 par le Shabak comme de 1999 � 2008.
Pour quelle motivation, l�auteur de cette d�cision ferme-t-il ses yeux sur ces
m�mes faits?
33)
La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 du Secr�tariat d�Etat aux
migrations n�a pas registr� le fait que la France m�a transf�r� � Tel-Aviv le 8
mais 2008 en dehors de l�ordre, car la d�cision du juge Pierre Wagner
avait annul� mon arrestation et m�a permis de rester en France jusqu�� la
soutenance de ma th�se en 2010.
34)
Cette
D�cision n�a pas voulu accepter ces m�mes documents et n�a pas analys� le
fait� qu�� 16 heures, le repr�sentant du
service social "Cimande" m�informa que je devais �tre lib�r� en
raison de l�absence de l�appel du procureur. Mais la police ne m�a pas permis
de quitter la prison. La d�tention �tait motiv�e par l�absence du document de
la Pr�fecture. Ce dernier devait indiquer la date limite de mon obligation de
quitter la France. Encore, � 23 heures la police me promit qu�apr�s avoir re�u
le document n�cessaire de la Pr�fecture je serai remis en
libert�. Le 8 mai � 03 h 00 de la nuit, la police est entr�e dans ma
chambre comme des SS affirmant que l�on m�aurait envoy� en Isra�l sans mon
accord. J�ai exig� que l�on me pr�sente le document officiel, dans lequel �tait
d�clar�e la l�galit� de mon obligation violente de quitter la France. J�ai dit
que s�il n�y avait aucun document l�gal, sinon que mon expulsion n�avait eu que
le caract�re totalitaire du stalinisme. Staline est d�c�d� le 5 mars de 1953.
Aucun autre dictateur sovi�tique n�avait le pouvoir de ne pas se soumettre aux
d�cisions du Tribunal de Grande Instance. Seulement pendant les r�pressions de
la Grand Terreur de Staline, les repr�sentants des services secrets pr�fix�rent
de la nuit afin de jeter en prison les esclaves sovi�tiques, alors que tout le
monde dormait et ne pouvait pas constater leur violence. J�avais dit � la
police que son action ill�gale n��tait que l�empreinte du stalinisme et que
sans archive de ma famille je ne saurais quitter la France. Les soldats sont
partis. Mais seulement 15 minutes plus tard, leur deuxi�me visite dans ma
chambre �tait toute autre. Les soldats me jet�rent du lit sur le plancher
comme un chien. Ils m�ont pass� les menottes sur les mains. Ils m�ont conduit
comme un voleur vers la voiture sans motivation, sans documents l�gaux, en
manifestant la violence. Ils ne m�ont pas permis de prendre mes valises du
domicile de M. Vladimir ALTOUKHOV.
35)
La police fran�aise
ne m�a donn� aucun document qui d�montre le fait que la police fran�aise n�a
pas voulu ex�cuter la d�cision de M. le juge Pierre Wagner, selon laquelle je
devais �tre remis en libert�.
L�affirmation que le
doctorant Kiriyatskiy n�a nulle sp�cialit� n��tait qu�en dehors de l�ordre.
36)
Si la police fran�aise (du pays d�mocratique) avait eu le
droit de ne pas me pr�senter le document v�rifi� cette m�me violence oppos�e �
la d�cision de M. le juge Pierre Wagner, aucun pays: ni Isra�l, ni tous les
pays africains et asiatiques n�auraient jamais pr�sent� aucun document v�rifi�
leur pers�cutions pour aucune sacrifice r�elle. En outre, seuls les rois
obligent leurs esclaves en police � pr�senter, pour ces m�mes rois, certains documents
falsifi�s qui t�moignent les pers�cutions falsifi�es pour les menteurs riches
et non pour les sacrifices aux pays du troisi�me monde. Je n�ai que la vid�o qui illustre
le fait qu�en 2009, alors que j�avais le droit sur le travail en Isra�l, la
police a oblig� � dormir dans la rue en �t� 2009 sans motivation, car la police
isra�lienne m�avait oblig� ill�galement � quitter ma petite chambre qui �tait
indiqu�e dans mon passeport jusqu�� 2010. https://www.youtube.com/watch?v=wEU9J4ucvto
37)
La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 du SEM des esclaves n�ostaliniens
n'a pas expliqu�, dans sa r�ponse, le fait qu'Isra�l obligeait les habitants
des foyers "Passerelle" et "Friant" � m�infecter de la
"Gale de chien" que je revenais en Isra�l sans espoir. S�il
n�avait eu aucune pression politique, cette m�me d�cision aurait analys� 4 provocations
de mon stress li� avec la couverture infect�e. Par ces couvertures, l�on
infectait mon corps de nouveau 4 fois afin d�obliger � br�ler ma peau de
nouveau � travers cette m�me violence sous la direction isra�lienne.
Cette m�me violence, qui m�a laiss� les cicatrices pour toujours, ne peut pas
�tre li�e avec aucune �conomie d�aucun pays. https://www.youtube.com/watch?v=F9fW-X1wr9M
38)
Ces m�mes cicatrices, laiss�es sur mon corps apr�s 4 provocations,
conduisent vers les menaces � tous les russes. L�on essayait de me persuader de
prenne des drogues neuroleptiques, masqu�es par cette d�cision. Celle-ci ne
d�crit rien li� � l�absence de mon droit de t�l�phoner � l�Universit� de
Picardie et � l�Ambassade d�Isra�l sans permis du m�decin, car cette m�me
Ambassade � Paris dirigeait ces m�mes psychiatres � Amiens. Ces derniers ne
pouvait pas financier, sans soutenance isra�lienne, leurs menaces
que l�on pouvait br�ler mon cerveau. O� est-elle quelque appr�ciation de mon
obligation d�utiliser le m�decin Me Cornier pour obtenir ma libert� ? O�
cette m�me D�cision n�gative a expliqu� la provocation de mon stress li� au
billet d�avion de Paris � Tel-Aviv le 3 mars 2007??? La r�ponse du SEM
n�a pas illustr� que de 2006 � 2007 j�avais la carte de s�jour en France, sign�
et dirig� par Isra�l. Car cette m�me violence physique et politique �tait
dirig�e par l�ASN des Etats-Unis et par le Shabak d�Isra�l, l�on a fait
certaine provocation li�e � mon billet d�avion de Paris � Tel-Aviv le 3 mars
2007. En outre, M. le responsable, qui parlait allemand avec moi le 3 novembre
2014, avait pos� la question et cette m�me question �tait traduite correctement
en allemand: �Qui peut-il d�monter qu�il y avait le billet d�avion de Paris �
Tel-Aviv le 3 mars 2007? J�ai r�pondu que le pr�tre Dominique-Marie DUPRE 2,
rue de l'H�tel Dieu 80100 ABBEVILLE dupre3@vanadoo.fr pouvait confirmer le fait que
l�on m�avait expliqu� que le m�me billet serait dat� du dimanche 3 mars 2007,
qu�une voiture sp�ciale serait venu me prendre de l�h�pital et que j�aurais d�
apporter l� toutes mes valises de la Cath�drale. Vendredi soir, tous mes
bagages se trouvaient avec moi � l�h�pital. J�ai sign� le document, dans lequel
il s�agissait que du dimanche matin le 3 mars 2007, donc j�aurais quitt�
l�h�pital sans droit de revenir. Samedi soir, on m�a dit qu�il n�y avait aucun
billet ni de voiture pour me conduire � l�a�roport comme l�on l�aura fait
contre mon gr�s le 8 mai 2008. Le 2 mars 2007, l'on m�avait expliqu� que si
j��tais parti de l�h�pital afin de transporter de nouveau mes valises � la
Cath�drale, on m�aurait oblig� � le quitter l�h�pital le m�me 2 mars et de
dormir dans la rue pendant 2 nuits. Il s�agissait l� d�une derni�re tentation
de provoquer mon stress. La distance � parcourir � pied de mon b�timent de
l�h�pital � l�autobus �tait 800 m�tres samedi, alors que l�autobus sp�cial
arrivait l�. Celle-ci �tait de 3 kilom�tres dimanche, car il n�y avait pas le
m�me autobus. Il �tait impossible de marcher avec 80 kg de bagages. J�ai
compris que je devais passer 2 nuits dans la rue. M. le pr�tre DUPRE est arriv�
imm�diatement � l�h�pital dans sa voiture et, de nouveau, il a repris toutes
mes valises dans son bureau. J�ai rencontr� en m�me temps une
femme russe. Son fils �tait patient de cet h�pital. Elle m�a permis de dormir
pendant deux nuits dans son appartement. Le 5 mars 2007 l�Universit� de
Picardie m�a pr�sent� un logement gratuit. Le vice pr�sident de l�Universit�
m�a laiss� croire qu�on me permettrait d�habiter l� jusqu�au mois d�ao�t 2007.
Si la r�ponse de SEM en Suisse ne se trouvait pas sous la pression politique,
celle-ci aurait analys� toute cette information li�e avec mes 2 grandes
cicatrices sur ma t�te organis�es par Isra�l et par les Etats-Unis en France,
car cette m�me information �tait bien traduite en allemand et soutenue par le
responsable.
39)
Pour ma nationalit� russe en Europe et en Am�rique, l�asile
politique n��tait pr�sent� que pour les tentations de d�stabiliser l��conomie
et l�ind�pendance politique de la Russie actuelle. C�est la raison pour
laquelle, je n�avais pas demand� l�Asile en France de 2006 � 2012.
40)
Isra�l n'�tait jamais mon pays d'origine. En Russie et en
Ouzb�kistan, il �tait impossible de figurer que j�avais les difficult�s
�conomiques. J�aurais gagn� beaucoup d�argent dans ces m�mes deux pays de
mon origine, si j�avais eu le MASTER DEUX en philosophie soutenu � l�Universit�
des Etudes de Trente en Italie. Cette derni�re occupe la deusi�me place dans la liste des 61 meilleures universit�s italiennes http://www.ilsole24ore.com/speciali/classifiche_universita_2015/home.shtml.
C'est la raison pour laquelle, mon MASTER DEUX �tait confirm� par la
Commission Europ�enne, par l�UNESCO et par le Conseil de votre Europe
totalitaire et criminelle en esclavage de l�Association de la S�curit�
Nationale des Etats-Unis et du Shabak en m�me temps. J�aurais achet� la maison
de 3 �tages en Russie et en Ouzb�kistan, si j�avais �tudi� en doctorat �
l�Universit� de Strasbourg malgr� le fait que je n�avais aucune possibilit� de
soutenir ma th�se. Seulement en Isra�l, dans le pays bien plus riche que la
Suisse, il �tait possible de constater mes difficult�s �conomiques sans �tonnement.
Si vous aviez toutes ces m�mes instructions, saviez 5 langues avec le stage du
traducteur et si vous n�aviez aucune maladie du corps beau et jeune � votre �ge
de 45 ans comme � l��ge de 25 ans, en Isra�l
41)
vous n�auriez pas eu le logement et n'auriez pas pu exercer
un travail � long terme ni terminer votre th�se de doctorat. Vous �galement eu
des probl�mes avec l�assurance maladie et vous seriez retrouv� dans
l�obligation de payer apr�s coups des imp�ts sur les v�hicules. Cette D�cision d�Asile pr�sente
la tr�sor historique, car celle-ci illustre la bureaucratie de l�Europe
totalitaire et fatale sans aucune allusion ni sur la d�mocratie, ni sur son
ind�pendance. Dans les pays du 3e mondes, les hommes comme moi
deviennent tr�s riches. En Isra�l, dans ce m�me pays plus riche que la Suisse
NE POUVAIENT JAMAIS APPARA�TRE CES M�MES PROBL�MES �ECONOMIQUES� SANS
PERSESUTION TOTALE. Les probl�mes de notre cas �taient possibles SEULEMENT
� L�EPOQUE DE STALINE EN URSS SOUS LA PRESSION DU TERREUR.
42)
La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245
47 du Secr�tariat d�Etat aux migrations SEM ment, alors que ce dernier affirme
que je suis n� des parents JUIFs. Mon p�re Vadim Petrovitch
Kiriyatskiy, n� en 1936, avait l�origine des NOBLES RUSSES. Il n�avait aucun
familier de juifs. Ma m�re Nina Veniaminovna Kha�t �tait la fille du juif
compositeur Veniam�n (Benjamin) Kha�t. Mais sa m�re Galina Ieremey�vna
Tsvetkova �tait russe et n�avait aucun familier juif aussi comme mon p�re. En
Isra�l, l�appartenance � la nationalit� juive et le juda�sme, tous deux sont
d�termin�e par la nationalit� de m�re. En Isra�l, ma m�re Nina Veniaminovna
Kha�t �tait consid�r�e la russe, fille du juif. De cette m�me fa�on, je suis
russe, le petit fils du juif, et NON JUIF, car ma m�re n��tait pas juive et son
corps �tait enterr� au cimeti�re chr�tien des russes non juifs en Isra�l.
43)
La d�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 du Secr�tariat d�Etat aux migrations SEM n�a pas reconnu le
fait et n�a pas publi� mon affirmation politique que si les soldats isra�liens
m�avaient tu� en a�roport de Tel-Aviv, leur action aurait �t� positive pour
moi. L�assassinat de mon corps jeune aurait eu le r�le de l�euthanasie afin
d��viter mes souffrances horribles au Canada, en France, en Allemagne et en
Espagne. SELON LA DECISION NON OFFICIELLE DE L�AMERIQUE ET DE L�EUROPE,
les russes doivent mourir tr�s lentement � travers nombreuses souffrances comme
moi sans droit sur ma vie. La confirmation de ce m�me fait est l�ignorance
du g�nocide des hommes de ma propre nationalit� russe en Ukraine. C�est la
cause essentielle pour laquelle depuis 1999 jusqu�� 2010, je n�avais nul droit
ni sur ma vie, ni sur ma mort par les mains des soldats isra�liens en a�roport
de Tel-Aviv en 2004.
44)
En 2011, alors que les 3 professeurs espagnols �taient
pers�cut�s, car ils voulaient suivre ma th�se et M. Altoukhov avait re�u le
cancer de l�estomac � cause de la vie dans l�appartement dangereux � Perpignan,
j�ai confirm� mon but d��tre responsable pour l�assassinat des juifs pendant le
2e guerre mondiale que le pays Isra�l n�existait plus. En Isra�l,
tous les hommes qui affirment ces m�mes points de vu doivent �tre assassin�s
par la condamnation de mort et leurs cadavres ne doivent jamais �tre enterr�s.
45)
Sur la 4e page dans le 2e paragraphe, la
D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 affirme que
je me contredis de mani�re
consid�rable en ce que je concerne en ce qui concerne la menace que ferait
peser le Shabak sur moi de 2000 � 2010, alors que je ne disais rien li�
avec ma responsabilit� pour l�assassinat des juifs pendant la 2e guerre
mondiale. NON. Plusieurs fois, je priais M. le responsable DE NE PAS TOUCHER
LES SOLDATS ISRAELIENS et attirer son attention sur mon appartement pauvre sans
toilette et sans eau au dernier �tage, o� je ne devais pas habiter apr�s
l�invasion de la police l� pendant mon absence. Cette m�me adresse est indiqu�e
dans ma pi�ce d�identit� et dans mon passeport et je n�avais aucun droit
d�habiter l�. J�ai t�l�charg� en vid�o cet appartement, car la police avais
rompu ma serrure et m�a oblig� � habiter dans la rue en 2009, comme toujours.
2008 et 2009 �taient 2 ans, alors que j�avais le droit sur mon travail physique
en Isra�l et sur le payement de mon assurance m�dicale. J��tais d�accord avec
ma vie dans la rue, car j�avais le droit de travailler chaque jour pendant 12
heures et j�avais le droit de r�diger ma th�se � Strasbourg. M. le
responsable m�a pos� la question pourquoi ai-je perdu ce m�me droit en
2010? Je leur ai dit que je n�avais aucune id�e: POUR QUELLE RAISON
AVAIS-JE EU LE DROIT SUR LE TRAVAIL EN ISRA�L EN 2008 ET EN
2009 ????? (Document non vraisemblable en vid�o N2)
46)
�La D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�a pas constat� le fait que
pendant plusieurs fois, j�ai dit � M. le responsable qu�il y avait 4 causes
pourquoi le Shabak m�a interdit de travailler: 1) En 1999, je n�ai pas pris le
pr�t en 200 000 shekels afin d�acheter l�appartement en cr�dit, 2) en
2000, apr�s la publication de mon livre, Isra�l voulait que je recevais
toujours l�assistance sociale comme le malade mental sans droit de quitter
Isra�l. Si j�avais eu quelque maladie mentale, � l�h�pital psychiatrique
d�Amiens en 2007 l�on aurait d�termin� celle et l�on m�aurait oblig� � boire
les traitements neuroleptiques. 3) J�essayais de d�montrer dans mon livre en
russe que le juda�sme n�est que la mythologie et� cette religion n�avait aucun rapport avec
Dieu r�el. Si je m��tais converti au juda�sme � travers la circoncision � l��ge
de 30 ans, en 2000 j�aurais re�u mon droit sur le travail comme en 2008 et en
2009, 4) En 1999, j�ai discut� le fait que la propre mafia juive dirigeait la
Russie, ma patrie depuis 1991 jusqu�au 1999 par les milliardaires JUIFS:
Berezovsky, Nevzlin, Gusinsky, Khodorkovsky, Arbomovitch et beaucoup d�autres.
Leur t�che �tait l�abaissement de toute ma nationalit� russe pendant cette
p�riode. En 1999, j�affirmais le fait r�el que ces m�mes ennemis de tous les
go�ms (non juifs) ont transform� mon URSS, le pays plus riche dans tout le
monde dans le territoire compar� avec l�Afrique de 1991 � 1999, car les hommes
non juifs ne doivent pas vivre selon l�enseignement du Chulkhan Aroukh,
commentaire du Tora au VIIe si�cle apr�s J.Cr.. J�ai dit au responsable que
Igor Bialskiy, le r�dacteur de l�essentielle revue russe en Isra�l, m�a dit que
le Shabak m�avait interdit de travailler en Isra�l. J�ai contr�l� la traduction
correcte en allemand de cette m�me r�ponse et j�ai soulign� qu�il n�avait pas
besoin de perdre le temps pour l�information li�e avec 2000, qui n�avait aucune
importance en 2015. En outre, seule cette m�me information inutile �tait
pr�sent�e par les mensonges de la D�cision d�Asile N572 093 Kop N de
pers. 173 245 47 comme l�absence de ma r�ponse.
47)
Cette m�me D�cision a ferm� les yeux sur le
fait que le 22 janvier 2007 une dame du service social de l�Universit� de
Picardie a dit qu�on m�avait trouv� une chambre vide dans la r�sidence et que
cette Universit� payait mon logement. Elle m�avait fait prendre dans sa
voiture, m�a conduit non � la r�sidence mais � l�h�pital psychiatrique et l�
m�a laiss� pour d�sinfecter mon corps. Je ne devais pas contredire, j��tais
d�accord avec toutes les conditions. On m�a fait mettre un pyjama. Je suis
rest� dans les chaussettes sp�ciales de marle sans souliers. On m�avait enferm�
dans une chambre, o� j�ai attendu sur une chaise pendant 5-6 heures la
commission m�dicale. Plus tard, on m�a amen� sans souliers sur la neige du m�me
b�timent � une voiture. Je savais parfaitement que je ne devais pas d�voiler ma
douleur d� au chemin couvert de neige, qui comme le feu, m�a br�l� les pieds.
La voiture m�a conduit au b�timent avec l�isolateur dans lequel, comme je l�ai
pens�, j�aurai pu reposer et passer la st�rilisation. L�acide
"Ascorbiole" aidait � me d�barrasser de la Gale de chien. On a
br�l� mon corps 5 fois et pendant les 4 premi�res s�ances, puis on a chang�
tout le linge, les draps et le pyjama mais apr�s chaque d�sinfection on a
laiss� une couverture infect�e. On n�a pas provoqu� de l�inqui�tude et on ne
m�a pas oblig� � prendre les traitements neuroleptiques. J�ai essay� de dire
que je me suis servi de la m�me couverture avant la st�rilisation et qu�elle
m�aura r�infect�. Apr�s la premi�re s�ance, je savais qu�on avait attendu la
m�me r�action afin que je ne subisse pas de nouveau les m�mes souffrances. J�ai
pris imm�diatement conscience que ma protestation de coucher sous la
couverture infect�e devait �tre consid�r�e comme ma "psychopathie"
afin de me faire boire les drogues neuroleptiques, pour motiver mon
hospitalisation et pour arr�ter mes �tudes. J�ai choisi la souffrance pour ne
pas �tre drogu� de leurs traitements, bien que je sois tranquillement couvert
de la couverture infect�e. J�ai �tonn� les femmes qui ont br�l� mon corps.
Chaque processus de la d�sinfection avait deux �tapes. On a br�l� toute ma peau
la premi�re fois et dix minutes apr�s on a r�p�t� la tourmente. Je n�ai pas
senti la douleur de la premi�re st�rilisation. Mais mes organes g�nitaux et ma
peau sur le dos et sur la t�te ont connu une douleur horrible apr�s la deuxi�me
tourmente. Je devais ne pas laver mon corps couvert de l'"Ascorbiole"
pendant 24 heures. On a r�p�t� quatre fois ces tourmentes toutes les 48 heures,
alors qu�on est arriv� chez moi afin d� "analyser": si je me suis
d�barrass� de la gale ou non? Mais la quatri�me fois le m�decin a vu les traits
br�l�s sur ma peau de la t�te entre les cheveux et sur le dos. Alors tout de
suite on m�a conduit � l�H�pital du Sur d�Amiens pour me montrer au
dermatologue. Il a chang� officiellement le num�ro de l�
"Ascorbiole". Ainsi, on a menti qu�on a utilis� le num�ro incorrect
et on n�a pas pu imm�diatement me d�barrasser de la Gale et quatre tentations
inutiles m�ont laiss� des traces sur ma peau. Si on le d�sirait, je pourrais
d�voiler les m�mes traits sur le dos et sur la t�te sous les cheveux. Ils sont
rest�s avec moi pour toujours apr�s les m�mes tourmentes mais n�ont pas pu
provoquer le stress. Lorsque j�ai pass� la cinqui�me d�sinfection, on m�a
permis de substituer la couverture infect�e � la nouvelle et on a �tabli 48
heures apr�s que je ne suis pas malade de la gale. En outre cette m�me
information inutile �tait pr�sent�e par les mensonges de la D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 comme l�absence de ma r�ponse.
48)
�Il y a l�affirmation de l�auteur de la
D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 �Vous n�avez jamais rencontr� de probl�me
concrets en lien avec ces propos lors de vos diff�rents retours en
Isra�l�. Sans permis sur le travail, je n�avais aucune possibilit�
d�habiter en Isra�l sans argent, car me mena�ait ma mort, mon d�c�s concret du
froid sous la pluie en hivers dans les rue sans possibilit� de me r�chauffer.
Mais Isra�l me pers�cutait et dans les autre pays depuis 2004 au Canada par mon
absence du droit sur le statut de r�fugi� et sur l�inscription en Doctorat en
France depuis 2006. Mes tumeurs oncologiques � Perpignan et le cancer de mon
ami Vladimir Altoukhov m�avaient laiss� dans la rue en stress. Ce dernier a
provoqu� mes propos antis�mitiques. Alors que je criais ces m�mes propos pour
Gutmann non pour les antis�mites mais pour seuls les juifs. En outre, si la Suisse m�obligeait �
revenir au pays du mal, Isra�l, m�attendrait ma condamnation de mort comme pour
tous qui luttent contre l�existence de ce pays � travers leur responsabilit�
pour les sacrifices juifs pendant la 2e guerre mondiale. Mon
extradition violente en Isra�l, qui n�est pas le pays de mon origine, contredit
� l� article 7 LAsi selon une pers�cution, aux sens de l�article 3LAsi
pr�suppose le fait, alors que la mort menacerait au requ�rant de l�asile, si
celui-ci revenait au pays de sa citoyennet�, c'est-�-dire, au pays du
passeport de ce m�me requ�rant.
49)
La victoire de l�Association de la S�curit� Nationale des
Etats-Unis invit�e par Isra�l en 2002 contre moi est bien plus renforc�e au
mois de f�vrier 2015 qu�en 2012, en 2013 et en 2014.
50)
La D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers. 173 245
47 de SEM n�a rien analys� dans sa r�ponse selon le fait que le pays Isra�l obligeait
tout que les habitants des foyers "Passerelle" et "Friant"
� m�infecter de la "Gale de chien" et la police n�avait rien fait
rien pour l��viter et am�liorer leurs conditions que je revenais en Isra�l sans
espoir en automne 2006. S�il n�avait aucune pression politique, cette m�me
d�cision analyserait certaines 4 provocations de mon stress li� avec la
couverture infect�e. Par ces couvertures, l�on infectait mon corps de nouveau
afin d�obliger � br�ler ma peau de nouveau et seule cette m�me violence sous la
direction isra�lienne obligerait � me pr�senter votre asile politique en 2012,
en 2013, en 2014 en 2015. Cette m�me violence m�a laiss� les cicatrices
pour toujours. Celle-ci ne peut pas �tre li�e avec l��conomie d�aucun pays. Ces
m�mes cicatrices �taient laiss�es sur mon corps apr�s 4 provocations. Leurs
t�moignages conduisaient vers les menaces totalitaires, alors qu�on essayait de
me persuader de prenne des drogues neuroleptiques. Toute cette m�me information
�tait masqu�e par cette D�cision d�Asile N572 093 Kop N de pers.
173 245 47 de SEM. Celle-ci ne d�crit rien li� � l�absence de mon
droit de t�l�phoner � l�Universit� et � l�Ambassade d�Isra�l sans permis du
m�decin, car cette m�me Ambassade � Paris dirigeait ces m�mes psychiatres �
Amiens. Ces derniers ne pouvait pas financier, sans soutenance
isra�lienne, leurs menaces qu�on pouvait br�ler mon cerveau. Cette
d�cision n�a rien d�crit selon mon obligation d�utiliser le m�decin Me
Cornier afin d�obtenir la libert�, de la provocation du stress li� au
billet d�avion de Paris � Tel-Aviv le 3 mars 2007?
51)
S�il n�y avait eu aucune pression politique, cette m�me
d�cision aurait analys� ces 4 provocations de mon stress li� avec la couverture
infect�e. Par ces couvertures, l�on infectait mon corps de nouveau afin
d�obliger � br�ler ma peau de nouveau et seule cette m�me violence sous la
direction isra�lienne obligerait tout le monde ind�pendant � me pr�senter
l�asile politique en 2012, en 2013, en 2014 en 2015.
52)
Sur la page 5, le dernier grand paragraphe illustre et
confirme l�absence de la justice en Europe totalitaire et les standards
doubles. Ces derniers �taient bien illustr�s par les �missions de la TV russe
en 2014 et en 2015. Ce m�me paragraphe affirme le mensonge d�j� li� avec la
justification des r�pressions contre les hommes qui ne veulent pas mourir dans
la rue sans aucun droit sur la vie. �Il n'est donc pas dit que vos
d�clarations antis�mites et leur publications vous exposerait concr�tement �
une proc�dure p�nale. Par ailleurs, la tenue en public de propos antis�mites
donne �galement lieu � des poursuites p�nales selon le droit suisse. Il serait
donc l�gitime que vous soyez poursuivi p�nalement, sans toutefois que cette
mesure puisse influer sur votre proc�dure d�asile. Du reste, rien n�indique
qu�une �ventuelle condamnation pour les propos que vous avez tenu en public
vous exposerait, en Isra�l, � de s�rieux pr�judices au sens de l�article 3
LAsi.� Alors que j�ai cri� sur M. Gutman � Strasbourg, j��tais en stress.
Mais je suis oppos� aux fascistes. En 2015, la Lettonie dirige le Parlement
Europ�en. Comme en Estonie, le gouvernement de cette m�me Lettonie soutient les
v�t�rans de WAFFEN SS http://fr.sputniknews.com/international/20150316/1015188769.html
et organise leurs manifestations. Ces derni�res v�rifient l�hitl�risme pendant
chaque ann�e le 16 avril. Non en stress, le fascisme r�el n�a pas emp�ch� la
Lettonie de commencer � diriger l�Europe totalitaire pour attribuer leur
fascisme aux russes pers�cut�s comme moi. La c�l�bration du Jour de la l�gion
Waffen SS a �t� officialis�e en Lettonie en 1994, avant d'�tre abolie en 2000.
Cependant, des d�fil�s d'anciens combattants de la Waffen SS sont r�guli�rement
organis�s dans le pays.La c�l�bration du Jour de la l�gion Waffen SS a �t�
officialis�e en Lettonie en 1994, avant d'�tre abolie en 2000. Cependant, des
d�fil�s d'anciens combattants de la Waffen SS sont r�guli�rement organis�s dans
le pays. La c�l�bration du Jour de la l�gion Waffen SS a �t� officialis�e en
Lettonie en 1994, avant d'�tre abolie en 2000. Cependant, des d�fil�s d'anciens
combattants de la Waffen SS sont r�guli�rement organis�s dans le pays. La
c�l�bration du Jour de la l�gion Waffen SS a �t� officialis�e en Lettonie en
1994, avant d'�tre abolie en 2000. Cependant, des d�fil�s d'anciens combattants
de la Waffen SS sont r�guli�rement organis�s dans le pays. De cette m�me fa�on,
l�Europe assassine notre nationalit� et nous inventent nos actions criminelles
falsifi�es comme mon arr�t du 5 janvier 2009 du Tribunal administratif f�d�ral
TAF, E-3767/2006, 4. 1, alors que je me trouvais en Isra�l du 8.05.2008 au
31.01.2009. Ainsi par la pratique, l'on introduit les affirmations de M. Bob
Scales (Robert Skeels), l�ex-G�n�ral des Etats-Unis. Je ne veux rien faire
contre les juifs. J�ai fait ces m�mes exclamations fatales contre les juifs en
stress. Parmi mes publications, je n�ai que 3 po�mes qui pouvaient �tre
intitul�s antis�mitiques. Ceux-ci �taient consacr�s � mes pers�cuteurs
isra�liens. Mon premier po�me analyse le pouvoir des juifs en Suisse. Le
deuxi�me vers d�crit ma vie dans la rue sans droit sur ma vie en Isra�l, ma 3e
chanson se consacre � la mythologie du juda�sme et � l�absence du rapport entre
Dieu r�el et cette m�me mythologie juive. J�envoie les copies de tous ces trois
po�mes au recours li� avec ma demande d�Asile et je prie officiellement
d�analyser leur contenu d�tail par d�tail afin de me pr�senter votre analyse de
ces m�mes po�mes �antis�mitiques� pour l�Ambassade de la Russie ind�pendante �
Berne. Si je n�avais pas le passeport isra�lien, je ne d�sirerais que le
bonheur � ce m�me pays Isra�l sans moi. Mais il n�y aura personne qui
m�obligera � revenir en Isra�l. Si la Suisse m�expulsait en Isra�l sans mon
d�sir, en Isra�l m�attendrait certaine condamnation de mort et ce m�me d�c�s
rapide serait bien mieux que ma mort lente du froid sous la pluie dans les rues
en hiver, comme alors que je ne disais rien contre les juifs depuis 2000
jusqu�� 2010 et, alors que de 2006 � 2012 je jouais le r�le de l�isra�lien sans
information li�e avec mes pers�cution par le Shabak et par l�Association de la
S�curit� Nationale. Si non Shabak vous avait interdit de m�inscrire en Doctorat
de Lausanne, quelles menaces les presserait-il mon dipl�me de docteur en
philosophie pour la Suisse, alors que je pourrais ne pas demander l�asile avec
ce m�me dipl�me suisse et �migrer au Canada par l�enqu�te d��migration
officiellement ????? Si je n�avais pas pri� l�Asile politique en Suisse,
je serais d�c�d� en 2012, car en 2012 la Russie n��tait oppos�e au
totalitarisme de votre r�gime draconien qui soutient l�antis�mitisme r�el en
France dans les quartiers arabes qui peuvent l�galement tuer les juifs pour
leurs chapeaux religieux.
53)
Au contraire, pour les sacrifices de l�imp�rialisme isra�lien
du reste, rien n�indique qu�une �ventuelle condamnation pour les propos que
vous avez tenu en public vous exposerait, en Isra�l, � de s�rieux pr�judices au
sens de l�article 3 LAsi. Je n��tais jamais contre les juifs pauvres.
J�affirme que M. le responsable et l�auteur de cette m�me D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 n�avaient aucune connexion
par correspondance, car, le 3 novembre 2014, M. le responsable pour mon
audition avait registr� en allemand, � travers son ordinateur, le fait que je
n��tais jamais contre les rabbins et les autre juifs civils qui ne me faisaient
jamais le mal et n�avaient aucun rapport avec le programme du Shabak et de
l�Association de la S�curit� des Etats-Unis. De cette m�me fa�on, ce m�me M. le
responsable a d�clar� la v�rit� confirm�e par ma pratique que le Mosad ne
s�occupait jamais de mes pers�cution ni en Isra�l, ni au Canada, ni en Europe,
car les t�ches du Mosad n�illustre que les terroristes aux quels je
n�appartenais jamais. M. le responsable a d�clar� le 3 novembre 2014 la r�alit�
pr�sent�e. Cette derni�re d�montre le fait que toutes les pers�cutions des
hommes civils non terroristes illustrent les buts d�un seul service secret sous
le titre Shabak et son �quivalence aux Etats-Unis sous le titre l�Association
de la S�curit� Nationale. Ce fait explique l�affirmation de D�cision d�Asile
N572 093 Kop N de pers. 173 245 47 que mes �propos antis�mitiques ne sont donc pertinents au regard
du droit de l�asile, alors que les services secrets le Shabak et l�ASN ont
supprim�, dans tous vos ordinateurs, mon affirmation que ni en stress ni sans
ce dernier je ne d�sirais rien mal pour les juifs civils en dehors du gouvernement
mondial. J�oblige la commission de ce m�me recours � demander M. le responsable
pour mon audition le 3 novembre 2014. Ce m�me M. le responsable confirmera le
fait que le 3 novembre 2014 l�on a traduit en allemand et registr� en
ordinateur ma phrase que je ne suis pas contre les juifs habituels et je
ne luttais jamais contre les rabbins sans rapport avec la mafia juive qui
dirige tous: le pays Isra�l et tout le Globe Terrestre.
54)
Je veux qu�Isra�l existe sans moi
et sans son passeport dans mes mains que sa mafia finisse de me pers�cuter.
C�est pourquoi, j�ai peur de revenir en Isra�l, car son passeport dans mes
mains sans aucun droit sur ma vie m�oblige � faire tout possible contre
l�existence du pays sous le titre ISRA�L sauf le terrorisme. J�esp�re que la
Suisse est le pays neutre et ne r�p�tera jamais l�esclavage de l�Espagne, de la
France, de l�Allemagne, etc., o� le Pr�sident Angela Merckel n�a aucun droit
sur ses propres discours personnels par son t�l�phone, car L�ASN les �coute.
Pour analyser correctement cette lettre, je vous envoie 2 copies de mes 3
dossiers li�s avec mes pers�cutions isra�liennes en France, en Allemagne et en
Espagne sous la pression d�Isra�l et de l�Association de la S�curit� Nationale
des Etats-Unis. Angela Merckel, le Pr�sident de l�Allemagne n�a aucun document
que les Etats-Unis �coutent tous ses discours t�l�phoniques personnels. De
cette m�me fa�on, je n�ai aucun document qui pouvait confirmer que le Shabak et
l�ASN am�ricaine m�emp�chaient de vivre en Isra�l, au Canada, en France, en
Allemagne et en Espagne � travers mes deux actions criminelles falsifi�es en
Allemagne le 5 janvier 2009 et au mois de juin 2009. En outre, leur r�sultat
m�a interdit d��tudier en Europe et d��tre l�ouvrier sans qualification en
Isra�l, alors qu�en Isra�l et � Strasbourg je jouais le r�le du juif sans
opinion et je ne disais rien ni contre Isra�l ni selon ma responsabilit� des
pers�cutions contre les juifs de 1933 � 1945. Depuis 1999 jusqu�� 2008 et
depuis 2010 jusqu�� nos jours, je n�avais aucun droit sur mon travail sans
qualification en Isra�l. C��tait la raison pour laquelle, sous la crainte de
mourir du froid dans la rue sans droit de me r�chauffer et de me s�cher, en
HIVER, je n�habitais pas en Isra�l de 2002 � 2008, et du 31.01.2009 � 2015.
S�il y avait mon droit sur votre nouvelle analyse ind�pendante, je ne perdrais
pas l�espoir de recevoir l�asile politique en Suisse. Au contraire, votre 2e
r�ponse n�gative d�montera la victoire de la dictature totalitaire en Europe
sans droit sur mes deux alibis (08.2008-31.01.2009 et 30.04.2009-5.09.2009).
Cette m�me dictature europ�enne m�obligera � apporter tous ces m�mes documents
� l�Ambassade de la Russie � Berne non par la poste �lectronique, en outre,
pour prier l� l�asile politique afin de ne jamais retourner en ISRA�L. Je n�ai
pas besoin de son passeport qui me permet d�arriver en Europe et au Canada sans
visa. Avec ce m�me passeport isra�lien, je devais mourir du froid dans la rue
sans droit sur la cons�cration de toutes mes souffrances. En Isra�l, je n�avais
aucun droit sur mon travail sans qualification, alors que je ne disais rien
contre Isra�l. Le droit sur ma vie en Russie serait bien plus ch�re que la
possibilit� de voyager en Europe et au Canada sans visa, si la r�ponse de votre
Tribunal �tait n�gative et fermait les yeux sur ma r�alit�. En Russie pour tout
le monde, je d�couvrirais l�esclavage de l�Europe, car celle-ci a perdu sa
neutralit� au XXIe si�cle, � mes regrets.
55)
Maintenant, je me trouve en Suisse, o� je ne perds pas encore
mon dernier espoir sur l�analyse juste de mon recours � travers votre Tribunal
administratif f�d�ral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall.
.En conclusion, je demande
l�annulation de la d�cision du SEM� et du
20 f�vrier 2015 que la Suisse m�accorde l�asile et annule mes arr�ts falsifi�s
le 5.01.2009 et au mois de juin 2009.
Alexander Vadimovitch
KIRIYATSKIY, le 21 mars 2015_________ (Nombreuses pages
renouvel�es et corrig�es le 31 mars 2015)
"�uterp� c�hib�t // n�c Pol�-h�mni�
L�sbor�m r�fug�t // t�nder� b�rbit�n;
qu�d si m� l�ric�s// v�tib�s �nser�s,
s�blim� f�ri�m // s�der� v�rtic�."
"Si Eutrope ne fait pas // taire une fl�te toutefois
En Lesbos, Polymnie // ne d�fend plus quelles lyres,
m'accordez, car donnez // leurs places des �mes lyriques
pour ma t�te orgueilleuse, // frappe nos astres bien fort.
"
(Quinte Horace Flacce)
Pour l'asile d'un destin
neutre, contre le mal
Vive l'�toile de justice, // car Suisse a l'id�al,
Sa sagesse neutre est // �ternelle d'or �gal,
Qui, pendant deux cent ans, // garde son Pi�destal
Afin d'�tre pour tous // l'arbre des lois morales.
Comme il y a deux mille ans, // je r�dige, par Horace,
Mon vers chez M�c�nat. // Comme � Rome, Berne, gr�ce
� sa gloire du savoir, // brille dans tous ses espaces
Car permet de sauver // l'ordre de toutes nos races.
Je suis, par mes quatrains, // requ�rant d'Asile-Bagne,
Je consacre chaque groupe // des syllabes aux montagnes.
Quatre langues s'unissent, // par lesquelles, leurs gens
gagnent
La richesse infinie // oppos�e � l'Espagne.
L'allemand cr�e l'ouvrage // du langage essentiel,
Lit Albert de Hall�r, // par ses Alpes du ciel,
O� Burk�rt Erik� // po�tesse actuelle
Gagne le prix de Schill�r // mais rappelle Pierre Heb�l .
Aymon de Montfaucon // touche l'esprit m�di�val,
Des lecteurs francophones. // L'aile de la cath�drale
Donne Jean Georges Lossier . // Pour nos jours, l'art d�voile
Jules-�mile Hilberer // sous leur forme cristale.
Martin Bovollin� // du Tessin a fourni
L'�couteur italien // de sa Suisse. L'on unit
Soave Francisque pour l'air // de Dieg� Madern�,
Pierin� Pasquott� // trouve Vin-cE Fascian�.
Le romanche Grison // tient sa propre grammaire
Par cinq types de patois. // Leurs rapports sont ces vers
Des chanteurs... Leur trois fr�res // d�fendront l'atmosph�re
De leur s�ur plus cadette // qui se l�ve pour sa terre.
Et ici, je n'aurai // nul droit sur l'existence?
Mon destin d�pendra // des Grands Hommes. Leur puissances
Peuvent, sans cause, m'abaisser // ou donner toutes mes
chances
Comme Auguste d'Ovide.// Sous son tr�ne, Horace danse.
Et l'histoire vous fera // rappeler mes souffrances
Comme pourra remercier // votre reconnaissance
De cette pers�cution // pour l'ind�pendance
Des clans qui chassent mes yeux // raisonnables aux transes.
L'Univers doit m'aider! // Ma Muse est son miroir
Qui refl�te toute ma vie // oppos�e aux trous noirs.
Acceptez son futur // qui supprime toutes les gloires
Des fant�mes reconnus // � travers leur pouvoir.
Si la Suisse m�obligeait �
revenir au pays du mal sous le titre Isra�l, m�attendrait mon d�c�s par
l�ex�cution comme pour tous qui luttent contre l�existence de ce pays � travers
leur responsabilit� pour les sacrifices juifs pendant la 2e guerre mondiale.
Mon extradition violente en Isra�l, qui n�est pas le pays de mon origine,
contredit � l� article 7 LAsi selon une pers�cution aux sens de l�article 3LAsi
pr�suppose le fait, alors que la mort menacerait au requ�rant de l�asile, si
celui-ci revenait au pays de sa citoyennet�, c'est-�-dire, au pays, le
passeport duquel avait ce m�me requ�rant.
Mes po�mes antis�mitiques avec mes d�clarations antis�mites et
leurs publications qui exposeraient concr�tement � une proc�dure p�nale
Sion est isra�lienne? L'actrice?
Tous les crimes s'invitent en Suisse
Par ses magasins. Qu'ils puissent
Faire plus riches cadeaux aux fils,
Car tu craches sur la police.
Pour d�truire l'�conomie,
Le voleur devient l'ami.
L'ordre d'or s'est endormi
Et, au diable, s'est soumis.
Vole plusieurs vestons gratuits!
La mafia but d'aujourd'hui
Forme ses bandits depuis
Leur d�fense pour ta nuit
Sur tes �tres des hommes blancs
Qui sont les esclaves des clans
Durs, pour leur horrible plan,
Qui tuent les non juifs m�chants.
Le mot "Sion" a l'origine
Du sionisme. La divine
�motion nous chasse aux mines
Du carcel plein, sans cuisine.
Les r�volutions d'Afrique
Cr�ent l'erreur pour la panique.
Se r�veillent leurs fanatiques
R�fugi�s tr�s hyst�riques.
Que la race europ�enne
Se battait par ses hy�nes.
� l'Europe, l'on crie: "La Mienne,
Sous Ma Foi, n'est plus chr�tienne",
Que chaque milliardaire retire
Son argent des banques, Sir
Quitte sa Suisse, pour son plaisir,
Qu'Isra�l ne puisse pas rire.
Vive l'absence des voleurs
Qui d�truisent l'�il d'un bonheur
Ne rompez jamais les m�urs
Du soleil en sept couleurs.
Pour vos fascistes comme Schulze...
L'offre n'estime pas mes pulses,
Trouve sa cause et l'on m'expulse
De l'Europe En Isra�l,
Je passe chaque nuit sous le ciel,
O� je ne bois pas le miel,
Car je suis un juif partiel.
En �t�, je n'ai pas froid
Dans la rue, je dors sans droit:
Sur un lit qui n'est pas cher
Dans une chambre, en hiver.
L'on rappelle l� � Hitler
De vos morts, pendant ses guerres:
Et pour moi et pour ces juifs...
Vos derniers bandits me griffent
L'�me que je sois animal
Sans aucun travail tr�s sale,
Sans nul bon concept moral,
Contre l'homme h�breu sans mal.
Providence de notre Porte et l'autre ordre
Dieu cr�e toutes nos dimensions, par leurs seins des mati�res
cosmiques.
Comme aux �toiles, aux plan�tes donne Ses vies dans l'espace
physique.
Leurs raisonnables envoient, � Dieu, leurs pri�res
symboliques.
Chaque �nergie na�t divine, car passe sans cauchemar
diabolique.
Mais je suis un philosophe des p�cheurs, sans raison
d'action.
L'on trouve l'ab�me des questions sous la r�gle des
traditions.
L'�le de leurs cultes para�t. L'heure obscure r�ve des
r�pressions.
Son pain rassis perd ces phrases des mortels, par les
combustions.
L'homme trouve la tombe des Fois par leurs dogmes au Moyen
�ge,
Et ses serments ne sauvent pas. Pour leur fid�lit� en rage,
Griffent, contre Dieu, le mensonge, la foudre des maux
images,
Que, par six jours, Dieu forma l'Univers, pour nos grands
dommages.
Le paganisme h�breu n'a pas pu savoir l'Univers,
Car ses l�gendes enl�vent nos po�tes classiques, par les
vers,
� son Adam, l'on rejette toutes les sciences par leurs enfers
Des relations m�di�vales, o� descend l'obscure �me derni�re.
Les juifs limitent Absolu par les ombres grises sur la Terre.
Leur sous-hommes croient en trois livres, en trois religions
s�v�res,
De cette fa�on de leur diable, "dignent"
l'explosion des chim�res,
Car leurs symboles v�tements vivent pour nos folies
populaires.
La connaissance d'�gypte, la vole Mo�se non sur Sion.
Ce roi h�breu manifeste l'exil des mal�dictions,
Car il a dit � son peuple que l'homme pur vit pour l'union
Libre avec Dieu comme Ra �gyptien des circoncisions.
Dieu ne lui ouvre nulle r�v�lation vraie comme � Platon,
Ne soutient nulle phrase des voleurs d'id�es hors leurs
tr�nes.
Qui connait bien Absolu, n'�tait ador� par personne
Et, comme Socrate, ne se divinise pas, s'oppose aux
couronnes.
Qui entend Dieu en soi, pour les gens trouve ses sinc�rit�s.
L'on conduit le mensonge de Mo�se vers la fid�lit�
Trop fanatique aux r�cits bizarres contre nos v�rit�s.
Ce mythe stupide du menteur cultiva notre multit�.
Dieu est l'Amour, Il r�pond aux chansons et invite la Foi
Vers la paix, non � la guerre infernale oppos�e aux lois.
Dieu nous d�voile que beaucoup de "proph�tes"
mentent pour les droits
Des religions, vont "Chez toi, oh Souris" (1) en
h�breu des rois.
Les t�l�pathes chassent nos mots des parfaites communications.
Qui n'a ni bras, ni pied pour avoir notre crucifixion,
N'a aucune chance sur les paradis faux sans nos notions?
Pour la lecture des id�es, le maudissent nos trois religions,
Toutes les croyances aveugles (des juifs musulmans chr�tiens)
S'opposent aux saintes �mes des autres plan�tes, mais
rejettent leur Bien.
L'extraterrestre raison n'a nulle croix et chaque clair
chemin
Sans leurs m�moires n'est jamais raisonnable et ne co�te
rien?
Crois que le fils de Marie est n� du Saint Esprit Sauveur,
Se l�ve sa R�surrection. Par celle, Il devient le vainqueur,
Du temps obscur, il allait aux hommes par le lib�rateur
Des gros barbares. Pour eux, Christ nous explique ce tr�sor
des peurs.
La quantit� infinie des divins fils l'a l'Univers,
Montre leurs buts aux civilisations cosmiques � travers
Nos multiformes qui veulent s'approcher d'Absolu pour faire
Ses harmonies tr�s partielles, o� naissent leurs m�mes fils
divers.
L'ordre vitesse de leurs temps fait c�der aux r�els rapports,
Mais la folie divinise nos stupides traditions des corps.
Et les bougies s'obscurcissent sous les lampes. Chaque
temple, hors
De nos symboles, est l'idole. Dieu excuse, malgr� nos mots
morts.
________________________________________
(1)
"Chez toi, oh Souris
- al�kh akb�r" en h�breu
Strophes po�tiques politiques
des po�mes philosophiques:
Les m�triques se r�animent
� une sph�re du grand ab�me
La mafia d�argile estime
Cette �re hi�rarchique sans m�urs.
Je renais des hommes en peur
Pour ces vers avec ma rime.
D�avoir un compositeur,
Par grand p�re, �tait mon crime,
Car j�envoie tout cet argent
Pour lire sa musique classique
� l�ordinateur� Je pique
L��il qui voit vos requ�rants
D�asile, griffe son hyst�rique
Voix du roi de l�autre gens.
Aujourd�hui, pour obtenir
Sa fortune sauvage, il faut
Vivre pour nos r�gnes des faux
Dieux qui cachent ton avenir
Au dessus son aire des feux
En d�sert, sous ce plaisir.
Hors des jeux en loterie,
Le talent n�aura nulle chance
De gagner l�ind�pendance
De son esclavage qui rit
Sur toutes nos intelligences
Sans cons�cration ch�rie,
O� des �uvres plus g�niales
Ne verraient jamais leurs sc�nes,
Si ne les signait nulle main
Du gouvernement mondial
Qui fait, comme rompt, nos destins
Par l�imperfection spatiale.
Au chef, sont pires ceux qui laissent
Leurs travaux hors du contr�le
Par l��lite, sans sa parole�
Qui est libre des richesses
Mat�rielles, ignore le r�le
Essentiel de leur noblesse.
"St�bat m�ter d�lor�sa"
Jacop�ne da T�di (En russe)
Le statut de �r�fugi�
Pr�suppose nos �trangers
Qui coupent leurs chr�tiens �g�s
Dans les guerres civiles.
Nos esclaves europ�ens
S�abaiss�rent aux gales de chiens,
Ils gratt�rent la peau, pour rien,
Par cette vie tranquille.
L�on enchantera chaque mot
Du pers�cut� �normaux�
Qu�il soit fort par quels trumeaux
Des beaut�s habiles!
Qui n��tait jamais malade,
Lave vos culs pour tous ses grades,
Il n�est pas le camarade
Des stupides de Nil.
Seules ces b�tes re�oivent l�argent,
Comme vos sup�rieurs des gens,
Elles obtiennent l�or, en bougeant
Par leurs pipes si viles.
Camp de nos concentrations,
Tu as, pour une expression
De la civilisation,
Ton futur p�ril.
La raison s�est d�chir�e.
� genoux, l��me perd son gr�.
De l�asile, elle apparait
Comme un bon AcheteuR
De NombreuX JugeS qui t�ont dit
Que les cieux soient interdits,
Que vivent leurs drogu�s bandits
Comme leur Grand Voleur!
Car l�Europe est leur rencontre
Comme le cul qui nous d�montre
Que ces vers seront gluants contre
L�ombre du bonheur.
La Russie les intitule
Ses Dieux, mais ceux-ci la br�lent
L�ordre bat, comme les crapules,
L�infinie douleur.
Les vieux sont dans le marasme,
L�on les lave par l�enthousiasme
Des savants russes, car l�orgasme
Pisse sur leurs MeilleurS.
Reconnus sont les tch�tch�nes
Qui voient, en Russie, l�ar�ne
Des batailles, o� nous am�nent
Aux antiques vendeurs
Des esclaves� Les autres peuvent
Endormir parmi les fleuves
Dans la rue pour les �preuves
De vos Droits de l�Homme,
O� se cache la Cour �norme.
Sa r�ponse a telle forme:
Attendez-moi sous vos ormes,
Tous conduisent � Rome.
Votre illusion vient vide.
Sous celle, souffre l�invalide.
Par le front, il a quelles rides:
�L��me n�est pas en gomme!�
Qui tuait tous ses fascistes,
Est, par cette Cour, dans la liste
Des tirants, comme l�extr�miste,
En enfer, nous sommes,
Murmurez par ses bleues l�vres:
�Ce vieux perd la vue, en fi�vre
Pleure, en fou malade �nerve,
Il cherchait sa pomme.�
Qui passait cette vie tr�s pure,
N�est pas li�e � la piq�re
Des drogu�s, car sa blessure
A plusieurs dipl�mes.
Mais vous plaisent seuls les mensonges,
Car, par eux, vos pouvoirs prolongent
� manipuler nos Songes,
L��tre � genoux.
Leurs robots r�gnent sur la France,
Car s�parent, sans diff�rence,
L�eau de leur Reconnaissance
Et la Mort pour nous.
L�Univers n�a rien et gr�ve
Mais sa d�ception est br�ve,
Tous les �tres ont leur r�ve,
La lumi�re des trous.
Dans l�obscurit� sans chance,
Ce feu a la voix d�enfance,
Lorsque l�autre vie commence,
Dieu se trouve partout:
"St�bat m�ter d�lor�sa
J�xta cr�cem l�crim�sa�
V�ta br�vis �st, curi�sa,
Pr�ti frigid�
M�re, tu as la douloureuse
Larme, ta croix amoureuse,
Donne la vie br�ve et curieuse
Le vent froid est doux
Pour M. le Capitaine
Sergue� Alexandrovitch Choumilov
Aujourd'hui et en France, Galitch est la b�te,
T�l�phone au cent quinze, l'on bat mes po�tes.
R�fugi�, par ton front, un drogu� rompt l'assiette,
Mange comme ces fran�ais sans raison et sans t�te
��� ����Ta Russie se rappelle dans mon c�ur
Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,
������� Dors sans pied!
R�veilles-toi � six heures
������� Hors des f�tes!
Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir
Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le plaisir.
L'�me sauvage voudrait tuer l'autre forme pour rire,
Trouve la cause claire afin d'obliger, � souffrir,
������� Un vieillard,
requ�rant de l'asile
Au pass�, celui-ci dirigeait son navire
������� Commercial,
voyageait vers les �les
������� Pour dormir
Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,
Qui ne sont plus les hommes, car ils n'ont que leur rage,
Portent l'�re des souffrances dures � tous nos �ges.
L'un de ses diables vifs te d�voile son visage.
������� Il menace notre
vieux capitaine
� Strasbourg, l'Homme ne perd pas l'honneur et ses sages,
������� O� il ne
s'abaisse pas jusqu'aux chiens,
������� En dommage.
Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,
Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.
Au matin, l'on donne la nourriture, l'ordre rit.
� sept heures, l'homme quitte ce b�timent triste, gris...
������� Le malade tr�s
�g� est � pieds
Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c'est son prix.
������� Dans douze heures,
il revient au foyer
������� De souris.
L'on dit qu'il n'est pas le r�fugi�. Ce statut
Conduit le capitaine aux drogu�s qui nous tuent.
Dont il prie l'aide trop tard, ce vieillard a perdu
Le printemps, car, il y a vingt ans, il avait d�
������ �Embarquer son bateau � New-York
Et l'asile politique pouvait �tre vendu.
������� � l'oc�an, il
rattrape l'os de l'orque
������� D�pendu.
� Staline en Europe
Et en Europe, il n'y a aucune
d�mocratie,
Comme � l'�poque du stalinisme
en Russie.
Mon nom est dans la liste noire,
secr�te - "Merci",
Crie mon po�me aux yeux des
d�mocrates aussi.
Je suis Sacha, le personnage des
"Fils d'Arbate"
De Ribakov. L'on nous s�pare des
masses en bo�te;
Mais ne jette pas dans les
prisons, les ordres battent
Pour chaque d�sir de nous lever
parmi les rates.
Nos stalinistes d'occident
pers�cutaient
Les professeurs, partout, aux
Universit�s
Qui essayaient de nous inscrire,
l'on leur dictait
De retirer leurs lettres par
leur volont�.
Que l'on ne nous permette jamais
de travailler
Sous nos officieux noms parmi
les ouvriers!!!
Car sous l'averse, l'on oblige �
nous mouiller
Que, comme plusieurs drogu�s,
nous nous mangions derniers.
Que nos espoirs soient d�c�d�s
dans la souffrance
Que nous perdions, comme les
ivrognes, l'ind�pendance
Des d�mocrates d'Europe pour son
Staline. En France,
Nous les prions, par ses
esclaves, leurs indulgences.
Mais si nous soutenions nos
th�ses, et nous aurions
L'argent des clans pour l'air
des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables
des rayons
Illumin�s la v�rit� que nous
verrions.
Car toutes mes nuits passaient
// dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en
r�gne d'obscurit�,
Que cet enfer produise, // par
les douleurs, mes �uvres
Comme ma syllabe en vers //
tentait de refl�ter
Que je n'ai pas mes droits // de
travailler par l'ordre,
Et r�diger ma th�se, // je prie
l'aide � Gen�ve,
Or, ma recherche en// Europe
oblige � mordre
Mon �me pour mes �tudes, //
absence de mon r�ve.
Sans plusieurs masques
Que mon peuple �tait // contre son grand pays,
L'Am�rique d�montrait // que les jours sont nos nuits,
Affirmait que l'id�e // des communes c'est le bruit.
Son Europe l'invitait, // car l'on n'a pas d�truit
Mon �tat concourant. // Pour lui rompre le dos,
Tous de nos ennemis // ont re�u leurs cadeaux
Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient tr�s prudes aux
Mots des vers qui ne co�tent, // aujourd'hui qu'un verre d'eau
Et donnait les travaux // des meilleurs professeurs
Aux stupides sovi�tiques // qui n'avaient nul saveur
Par beaucoup d'ans non plains // aux �coles de soudeur:
Pour leur faire des arm�es // contre l'�le du bonheur.
Qui n'avait aucune languE, //
sauf le russe, �tait li�
Aux plus hautes soci�t�s, // o� habitent aux palais,
Car ils ont oblig� // la Russie � aller
Vers l'ab�me de l'enfer. // � l'Europe, ce pas pla�t.
Il n'y a plus mon Union // qui pouvait contredire
Aux Rois illumin�s // par le Cosme bien pire,
Au diamant de la dure // hi�rarchie en plaisir
Du contr�le sur chaque �me // et du gris souvenir.
Maintenant, je me trouve en
Suisse, o� je ne perds pas encore mon dernier espoir sur l�analyse juste de mon
recours � travers votre Tribunal
administratif f�d�ral TAF, case postale, 9023 Saint-Gall. En conclusion, je
demande l�annulation de la d�cision du SEM�
et du 20 f�vrier 2015 que la Suisse m�accorde l�asile et annule mes
arr�ts falsifi�s le 5.01.2009 et au mois de juin 2009.
Alexander Vadimovitch
KIRIYATSKIY, le 21 mars 2015 _______________________
56) Avant de demander l�asile politique, j�ai produit la
derni�re tentation d'�tre inscrit en 1�re ann�e de l�Ecole Doctorale en
Espagne malgr� mes 3 ann�es reconnues � l�Ecole Doctorale en philosophie
de l�Universit� de Strasbourg. J�ai voulu faire ma th�se dans une autre langue
(espagnole) dans le pays, o� je n ai� jamais habit� avant le 7 octobre 2011. Ce
pays passait la crise �conomique et l� non beaucoup d��tudiants �trangers
voulaient suivre la th�se apr�s 2008. Je supposais que mon la
Cour des Droits de l�Homme acceptera mes d�monstrations que la mafia
isra�lienne a pu inscrire mon nom dans la liste noire de la
Communaut� Europ�enne.Les lois des globalistes interdisent sans
explication, aux hommes de cette liste, d��tudier et de r�diger la th�se dans
les universit�s de tous les pays de la zone de Schengen comme � l��poque de
Staline � l�URSS depuis 1929 jusqu�� 1953. Plus tard � l�URSS de 1954 � 1985,
on n�interdisait d��tudier qu�aux hommes qui manifestaient officiellement la
destruction du r�gime des communistes. Apr�s la mort de Staline le gouvernement
sovi�tique a excus� tous les r�volutionnaires qui cessaient de critiquer le
pouvoir sovi�tique. Les communistes permettaient � leurs ennemis de travailler
selon leurs dipl�mes ou de r�diger la th�se, alors que les d�mocrates avaient
reconnu leur coulpe et leur erreur et avaient cess� de critiquer le r�gime des communistes.
Pour effacer les concourants dans les voix des pays socialistes, les Etats Unis
et les l�Europe Occidentale affirmaient le fait que l�interdiction de critiquer
le pouvoir sovi�tique opprime les droits de l�homme. Lorsque le pouvoir
sovi�tique n�existe plus et aucune puissance politique ne peut pas contredire �
l�absence des droits minimaux de l�homme en Europe, les services secrets
de la Communaut� Europ�enne et la mafia isra�lienne ont appliqu�, sur
moi, la tactique des listes noires de Staline et non de l�URSS apr�s la mort de
Staline depuis 1953 jusqu�� 1985. De 2008 � 2011, � la Cour des
droits de l�homme je n�ai jamais port� plainte ni contre les gouvernements
fran�ais, allemand, canadien et isra�lien ni contre leurs r�gimes et ni contre
leurs pr�sidents. Mon dossier �tait consultable sur Internet par
l�adresse https://alexanderkiriyatskiy.wordpress.com/2010/01/28/hello-world/
et ne d�crivait que mes probl�mes sociaux sans aucun droit sur la vie en
Isra�l et en France. Ma plainte a illustr� l�histoire de ma discrimination en
France depuis 2006 jusqu�� 2010 pendant mes �tudes et l�absence de mon propre
droit sur tous les types des travaux en Isra�l comme � l��poque de Staline �
l�URSS. En 2006, seule mon nom dans la liste noire a oblig� l�Universit� de
Picardie de ne pas reconnaitre mon dipl�me Master Deux de l�Universit� de
Trente qui est d�velopp� par la Commission Europ�enne, par le Conseil
d�Europe et par l�UNESCO/CEPES http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/MAdaTrento.htm
(pages 2 et 13). En �t� 2006, ce mon dipl�me italien en philosophie a
re�u l��quivalence canadienne http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/Master.equiA.htm
pour �tudier aux Ecoles Doctorales en Am�rique. Seulement mon nom dans
cette liste noire explique la cause pour quelle raison l�Universit� a ignor�
ces deux reconnaissance europ�enne et canadienne de mon MASTER DEUX soutenu �
l�Universit� de Trente. Seule cette pers�cution politique m�a oblig� � faire le
MASEUR DEUX � l�Universit� de Picardie http://www.kiriyatskiy.pochta.ru/DOCUM/Strasbg/CarteEtud.JPG.
Cette pers�cution secr�te n�a pas permis � cette derni�re de reconna�tre ma
soutenance du m�moire consacr� � Guillaume IX duc d�Aquitaine en 2007 et a
permis au bandits d�Amiens de me battre partout, alors qu� en 2006 la police
fran�aise ne devait pas me d�fendre en France. Seule cette liste noire avec mon
nom a oblig� la Pr�fecture de Strasbourg � m�expulser en 2008 et en
2010 et � ne pas me pr�senter la carte de s�jour temporaire d��tudiant �tranger
jusqu�� la soutenance de ma th�se. Toutes ces m�mes discriminations mentionn�es
�taient impossibles � l�URSS depuis 1953 jusqu�� 1985. Seul le stalinisme
europ�en au XXIe si�cle pouvait inscrire mon nom dans la liste noire et secr�te
de la Communaut� Europ�enne sans motif. Si la
France ne m�avait pas pr�sent� la carte de s�jour temporaire de 2007 �
2010, en France, je n�aurais jamais obtenu le statut de r�fugi�. C�est la raison
pour laquelle, je ne demanderai jamais le statut de r�fugi� en France, o� je
n�aurai aucune chance de confirmer ce dernier comme je n�ai pas pu confirmer la
n�cessit� de ma carte de s�jour d��tudiant pendant mes �tudes � l�Ecole
Doctorale � Strasbourg. Seulement, l�appartenance de mon nom � la liste a
d�clar� que je n�ai aucun droit d��tre inscrit dans aucune Ecole Doctorale des
Universit�s Europ�ennes et de recevoir l�absence de mon droit sur la bourse en
France. Seule mon nom dans cette liste noire explique l�absence de r�ponse � la
lettre de l�avocat S�verine Rudloff � Strasbourg: pour quelque soit la raison
et la motivation, l�Allemagne m�a interdit de traverser ses fronti�res depuis
le 29 juillet 2009 jusqu�au 28 juillet 2019 https://alexanderkiriyatskiy.wordpress.com/2010/12/16/absence-du-droit-sur-l%E2%80%99alibi-en-europe-ou-silence-obligatoire-des-moutons-europeens-de-masses-sans-voix/.
Seule la cause de l�inscription de mon nom dans cette liste noire de la Communaut�
Europ�enne peut �tre l�unique raison secr�te, pour laquelle l�Allemagne
n�interdit de traverser son territoire de 2009 � 2019 sans motif. De la m�me
fa�on seulement � l��poque de Staline, les hommes des listes noires, qui
n��tait pas prisonniers comme les �ennemis de peuple�, sans explication
n�avaient aucun droit de traverser les territoires de nombreuses villes et de
plusieurs zones de l�URSS depuis 1929 jusqu�� 1953. De 2010 � 2011 j�ai fait
beaucoup de tentatives inutiles pour �tre admit dans les Ecoles Doctorales en
histoire et en philosophie aux Universit�s de Strasbourg, de Louvain-la-Neuve,
de Sorbonne, de Lille, de Padoue, de Montpelliers, etc� Ces derniers ne
rompaient pas mon espoir de trouver mon propre directeur de th�se dans les autres
universit�s de l�Europe et ne me faisaient pas supposer que mon nom se trouve
dans la liste noire de la Communaut� Europ�enne, c�est la raison pour
laquelle mon directeur de th�se � Strasbourg avait peur de m�inscrire en 2e
ann�e acad�mique 2008/2009 depuis 2 octobre 2008 jusqu�au 2 f�vrier 2009, et
c�est la raison pour laquelle, Messieurs les Professeurs en histoire Dominique
Beyer et Eckart Wirbelauer n�ont pas pu m�admettre dans leur Ecole Doctorale en
histoire � l�Universit� de Strasbourg, malgr� le fait qu�ils n�ont pas perdu le
d�sir de me faire le doctorant de leur d�partement depuis le mois de septembre
2007 jusqu�� 15 00 le 25 novembre 2010 par leur signature en 2007 et en 2010,
alors qu�on leur a d�voil� que mon nom se trouve dans la liste noire de Staline
au XXIe si�cle en Europe globalis�e. Mon ex-directeur en philosophie �
Strasbourg M. le Pr. Fr�d�ric De Buzon et M. Dominique Beyer ont obtenu l�ann�e
sabbathienne pay�e par l�Universit� comme M. le Pr. Pablo Garc�a Castillo, le
d�can de philosophie � l�Universit� de Salamanque, alors que tous ces trois ont
rejet� ma demande de suivre ma th�se. M. le Pr. Pablo Garc�a Castillo (D.
0001) ��tait la premi�re personne qui a voulu suivre ma th�se en
Espagne. Depuis le 8 juillet 2011 jusqu�au 23 septembre 2010. Le 23 septembre
M. le Pr. Pablo Garc�a Castillo m�a inform� qu�il n�a pas pu devenir mon
directeur de th�se, car il a re�u l�ann�e sabbathienne. Il m�a dit qu�il n�y
avait aucun autre professeur qui avait la comp�tence de diriger ma th�se parmi les
professeurs de son d�partement. Ce n��tait pas vrai. � l�Universit� de
Salamanque j�ai trouv� 2 autres professeurs en philosophie qui ont voulu suivre
ma th�se avec l�enthousiasme comme Messieurs les professeurs en histoire Beyer
et Eckart Wirbelauer � l�Universit� de Strasbourg. � l�Universit� de
Salamanque, ces tr�s bons hommes qui ont voulu beaucoup m�aider, s�appelaient
M. le Grand Professeur Cirilo Fl�rez Miguel (mon co-tuteur), directeur de
th�se du d�can M. le Pr. Pablo Garc�a Castillo et M. le Pr. �ngel Poncela
Gonz�lez (mon 1er directeur de th�se avant le 24 octobre 2011). Il �tait le
dernier doctorant M. le Grand Professeur Cirilo Fl�rez Miguel. Tous ces
deux professeurs pensaient qu�ils avaient le droit de suivre ma
th�se en espagnol comme de tous les autres doctorants qui n�appartiennent pas �
la liste noire de Staline en Europe du XXIe si�cle. Ils n��taient pas inform�s
que la mafia d�Isra�l m�a interdit de faire la th�se dans toutes les
universit�s d�Europe. Ils avaient alors sign� tous les documents, plus
tard j�ai pay� pour l�inscription � leur Ecole Doctorale. Mon premier directeur
de th�se a r�ussi de r�diger la lettre officielle (D. 0002) �
l�Universit� des Etudes de Trente pour obtenir la collaboration
entre ces deux universit�s par la cotutelle, trois documents de ma cotutelle
pour les universit�s francophones et italiennes (D. 0003), (D.
0004) (D. 0005). J�ai gard� cette lettre, le projet de th�se sign� (D.
0006) par mon premier directeur de th�se, le plan de
la m�moire (D. 0007a � D. 0007g) de ma th�se et
la matricule (D. 0008). Mais trois jours plus tard, le
directeur du d�partement de philosophie a re�u quelques informations. Il a
discut� avec mon premier directeur de th�se M. �ngel Poncela Gonz�lez et
ce dernier m�a �crit le 24 octobre 2011 qu�il ne peut plus suivre ma
th�se, car il n�est pas le sp�cialiste afin de diriger celle-ci li�e avec
Nicolas de Cues. Je lui ai dit qu�il est le professeur de l�Universit�
fond�e en 1218 et il ne pourrait jamais me signer tous les documents pour
payer ma matricule, s�il n��tait pas le sp�cialiste dans cette m�me
th�matique. Il n��tait pas le petit enfant, alors qu�il m�a donn� la
lettre avec sa signature pour faire la cotutelle entre son Universit�
de Salamanque et celle-ci des Etudes de Trente. S�il ne m�avait pas trouv�
mon nouveau directeur de th�se pour �tudier comme tout le monde, j�aurais
apport� tous les documents sign� par sa main � la Cour des
Droits de l�Homme. Mais sous la peur de la mafia isra�lienne, je n�aurais
jamais mon priemier directeur de th�se � l�Universit� de Salamanque comme dans
toutes les Universit� de France et de Belgique. Pour r�pondre � cette action
contre toute ma vie, je consacrerai toute mon exitence pacifique et
informatique afin de d�truire Isra�l comme le pays. Je pr�sente, vers la
Cours des Droit de l�Homme, ma nouvelle po�sie politique en Youtube. http://www.youtube.com/watch?v=b2Hx2E_4CEA&feature=BFa&list=PL25E6F7B3BC1D54C8&lf=plpp_play_all , par laquelle, on �valuera le
totalitarisme d�Europe au d�but du XXI s�cle. Je crois cette m�me po�sie
permettra � la Cour des Droits de l�Homme de d�terminer pr�cisement
tous mes faits. Po�te Alexander
Kiriyatskiy http://www.youtube.com/watch?v=jBcrjVQzLos&feature=BFa&list=PL25E6F7B3BC1D54C8&lf=plpp_play_all
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