Explication de la demande de l’asile politique d’Alexander Kiriyatskiy et sa dernière tentative de ne pas demander cette asile
Avant de demander l’asile politique, j’ai produit la dernière tentative pour être inscrit en 1ère année de l’Ecole Doctorale en Espagne malgré mes 3 années reconnues à l’Ecole Doctorale en philosophie de l’Université de Strasbourg. J’ai voulu faire ma thèse dans une autre langue (espagnole) dans le pays, où je n ai’ jamais habité avant le 7 octobre 2011. Ce pays passait la crise économique et là non beaucoup d’étudiants étrangers voulaient suivre la thèse après 2008. Je supposais que mon la Cour des Droits de l’Homme acceptera mes démonstrations que la mafia israélienne a pu inscrire mon nom dans la liste noire de la Communauté Européenne.Les lois des globalistes interdisent sans explication, aux hommes de cette liste, d’étudier et de rédiger la thèse dans les universités de tous les pays de la zone de Schengen comme à l’époque de Staline à l’URSS depuis 1929 jusqu’à 1953. Plus tard à l’URSS de 1954 à 1985, on n’interdisait d’étudier qu’aux hommes qui manifestaient officiellement la destruction du régime des communistes. Après la mort de Staline le gouvernement soviétique a excusé tous les révolutionnaires qui cessaient de critiquer le pouvoir soviétique. Les communistes permettaient à leurs ennemis de travailler selon leurs diplômes ou de rédiger la thèse, alors que les démocrates avaient reconnu leur coulpe et leur erreur et avaient cessé de critiquer le régime des communistes. Pour effacer les concourants dans les voix des pays socialistes, les Etats Unis et les l’Europe Occidentale affirmaient le fait que l’interdiction de critiquer le pouvoir soviétique opprime les droits de l’homme. Lorsque le pouvoir soviétique n’existe plus et aucune puissance politique ne peut pas contredire à l’absence des droits minimaux de l’homme en Europe, les services secrets de la Communauté Européenne et la mafia israélienne ont appliqué, sur moi, la tactique des listes noires de Staline et non de l’URSS après la mort de Staline depuis 1953 jusqu’à 1985. De 2008 à 2011, à la Cour des droits de l’homme je n’ai jamais porté plainte ni contre les gouvernements français, allemand, canadien et israélien ni contre leurs régimes et ni contre leurs présidents. Mon dossier était consultable sur Internet par l’adresse https://alexanderkiriyatskiy.wordpress.com/2010/01/28/hello-world/ et ne décrivait que mes problèmes sociaux sans aucun droit sur la vie en Israël et en France. Ma plainte a illustré l’histoire de ma discrimination en France depuis 2006 jusqu’à 2010 pendant mes études et l’absence de mon propre droit sur tous les types des travaux en Israël comme à l’époque de Staline à l’URSS. En 2006, seule mon nom dans la liste noire a obligé l’Université de Picardie de ne pas reconnaitre mon diplôme Master Deux de l’Université de Trente qui est développé par la Commission Européenne, par le Conseil d’Europe et par l’UNESCO/CEPES http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/MAdaTrento.htm (pages 2 et 13). En été 2006, ce mon diplôme italien en philosophie a reçu l’équivalence canadienne http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/Master.equiA.htm pour étudier aux Ecoles Doctorales en Amérique. Seulement mon nom dans cette liste noire explique la cause pour quelle raison l’Université a ignoré ces deux reconnaissance européenne et canadienne de mon MASTER DEUX soutenu à l’Université de Trente. Seule cette persécution politique m’a obligé à faire le MASEUR DEUX à l’Université de Picardie http://www.kiriyatskiy.pochta.ru/DOCUM/Strasbg/CarteEtud.JPG. Cette persécution secrète n’a pas permis à cette dernière de reconnaître ma soutenance du mémoire consacré à Guillaume IX duc d’Aquitaine en 2007 et a permis au bandits d’Amiens de me battre partout, alors qu’ en 2006 la police française ne devait pas me défendre en France. Seule cette liste noire avec mon nom a obligé la Préfecture de Strasbourg à m’expulser en 2008 et en 2010 et à ne pas me présenter la carte de séjour temporaire d’étudiant étranger jusqu’à la soutenance de ma thèse. Toutes ces mêmes discriminations mentionnées étaient impossibles à l’URSS depuis 1953 jusqu’à 1985. Seul le stalinisme européen au XXIe siècle pouvait inscrire mon nom dans la liste noire et secrète de la Communauté Européenne sans motif. Si la France ne m’avait pas présenté la carte de séjour temporaire de 2007 à 2010, en France, je n’aurais jamais obtenu le statut de réfugié. C’est la raison pour laquelle, je ne demanderai jamais le statut de réfugié en France, où je n’aurai aucune chance de confirmer ce dernier comme je n’ai pas pu confirmer la nécessité de ma carte de séjour d’étudiant pendant mes études à l’Ecole Doctorale à Strasbourg. Seulement, l’appartenance de mon nom à la liste a déclaré que je n’ai aucun droit d’être inscrit dans aucune Ecole Doctorale des Universités Européennes et de recevoir l’absence de mon droit sur la bourse en France. Seule mon nom dans cette liste noire explique l’absence de réponse à la lettre de l’avocat Séverine Rudloff à Strasbourg: pour quelque soit la raison et la motivation, l’Allemagne m’a interdit de traverser ses frontières depuis le 29 juillet 2009 jusqu’au 28 juillet 2019 https://alexanderkiriyatskiy.wordpress.com/2010/12/16/absence-du-droit-sur-l%E2%80%99alibi-en-europe-ou-silence-obligatoire-des-moutons-europeens-de-masses-sans-voix/. Seule la cause de l’inscription de mon nom dans cette liste noire de la Communauté Européenne peut être l’unique raison secrète, pour laquelle l’Allemagne n’interdit de traverser son territoire de 2009 à 2019 sans motif. De la même façon seulement à l’époque de Staline, les hommes des listes noires, qui n’était pas prisonniers comme les «ennemis de peuple», sans explication n’avaient aucun droit de traverser les territoires de nombreuses villes et de plusieurs zones de l’URSS depuis 1929 jusqu’à 1953. De 2010 à 2011 j’ai fait beaucoup de tentatives inutiles pour être admit dans les Ecoles Doctorales en histoire et en philosophie aux Universités de Strasbourg, de Louvain-la-Neuve, de Sorbonne, de Lille, de Padoue, de Montpelliers, etc… Ces derniers ne rompaient pas mon espoir de trouver mon propre directeur de thèse dans les autres universités de l’Europe et ne me faisaient pas supposer que mon nom se trouve dans la liste noire de la Communauté Européenne, c’est la raison pour laquelle mon directeur de thèse à Strasbourg avait peur de m’inscrire en 2e année académique 2008/2009 depuis 2 octobre 2008 jusqu’au 2 février 2009, et c’est la raison pour laquelle, Messieurs les Professeurs en histoire Dominique Beyer et Eckart Wirbelauer n’ont pas pu m’admettre dans leur Ecole Doctorale en histoire à l’Université de Strasbourg, malgré le fait qu’ils n’ont pas perdu le désir de me faire le doctorant de leur département depuis le mois de septembre 2007 jusqu’à 15 00 le 25 novembre 2010 par leur signature en 2007 et en 2010, alors qu’on leur a dévoilé que mon nom se trouve dans la liste noire de Staline au XXIe siècle en Europe globalisée. Mon ex-directeur en philosophie à Strasbourg M. le Pr. Frédéric De Buzon et M. Dominique Beyer ont obtenu l’année sabbathienne payée par l’Université comme M. le Pr. Pablo García Castillo, le décan de philosophie à l’Université de Salamanque, alors que tous ces trois ont rejeté ma demande de suivre ma thèse. M. le Pr. Pablo García Castillo (D. 0001) était la première personne qui a voulu suivre ma thèse en Espagne. Depuis le 8 juillet 2011 jusqu’au 23 septembre 2010. Le 23 septembre M. le Pr. Pablo García Castillo m’a informé qu’il n’a pas pu devenir mon directeur de thèse, car il a reçu l’année sabbathienne. Il m’a dit qu’il n’y avait aucun autre professeur qui avait la compétence de diriger ma thèse parmi les professeurs de son département. Ce n’était pas vrai. À l’Université de Salamanque j’ai trouvé 2 autres professeurs en philosophie qui ont voulu suivre ma thèse avec l’enthousiasme comme Messieurs les professeurs en histoire Beyer et Eckart Wirbelauer à l’Université de Strasbourg. À l’Université de Salamanque, ces très bons hommes qui ont voulu beaucoup m’aider, s’appelaient M. le Grand Professeur Cirilo Flórez Miguel (mon co-tuteur), directeur de thèse du décan M. le Pr. Pablo García Castillo et M. le Pr. Ángel Poncela González (mon 1er directeur de thèse avant le 24 octobre 2011). Il était le dernier doctorant M. le Grand Professeur Cirilo Flórez Miguel. Tous ces deux professeurs pensaient qu’ils avaient le droit de suivre ma thèse en espagnol comme de tous les autres doctorants qui n’appartiennent pas à la liste noire de Staline en Europe du XXIe siècle. Ils n’étaient pas informés que la mafia d’Israël m’a interdit de faire la thèse dans toutes les universités d’Europe. Ils avaient alors signé tous les documents, plus tard j’ai payé pour l’inscription à leur Ecole Doctorale. Mon premier directeur de thèse a réussi de rédiger la lettre officielle (D. 0002) à l’Université des Etudes de Trente pour obtenir la collaboration entre ces deux universités par la cotutelle, trois documents de ma cotutelle pour les universités francophones et italiennes (D. 0003), (D. 0004) (D. 0005). J’ai gardé cette lettre, le projet de thèse signé (D. 0006) par mon premier directeur de thèse, le plan de la mémoire (D. 0007a – D. 0007g) de ma thèse et la matricule (D. 0008). Mais trois jours plus tard, le directeur du département de philosophie a reçu quelques informations. Il a discuté avec mon premier directeur de thèse M. Ángel Poncela González et ce dernier m’a écrit le 24 octobre 2011 qu’il ne peut plus suivre ma thèse, car il n’est pas le spécialiste afin de diriger celle-ci liée avec Nicolas de Cues. Je lui ai dit qu’il est le professeur de l’Université fondée en 1218 et il ne pourrait jamais me signer tous les documents pour payer ma matricule, s’il n’était pas le spécialiste dans cette même thématique. Il n’était pas le petit enfant, alors qu’il m’a donné la lettre avec sa signature pour faire la cotutelle entre son Université de Salamanque et celle-ci des Etudes de Trente. S’il ne m’avait pas trouvé mon nouveau directeur de thèse pour étudier comme tout le monde, j’aurais apporté tous les documents signé par sa main à la Cour des Droits de l’Homme. Mais sous la peur de la mafia israélienne, je n’aurais jamais mon priemier directeur de thèse à l’Université de Salamanque comme dans toutes les Université de France et de Belgique. Pour répondre à cette action contre toute ma vie, je consacrerai toute mon exitence pacifique et informatique afin de détruire Israël comme le pays. Je présente, vers la Cours des Droit de l’Homme, ma nouvelle poésie politique en Youtube. http://www.youtube.com/watch?v=b2Hx2E_4CEA&feature=BFa&list=PL25E6F7B3BC1D54C8&lf=plpp_play_all , par laquelle, on évaluera le totalitarisme d’Europe au début du XXI sècle. Je crois cette même poésie permettra à la Cour des Droits de l’Homme de déterminer précisement tous mes faits. Poète Alexander Kiriyatskiy
Staline en Europe
(D. 0001)
(D. 0002)
(D. 0003)
(D. 0004)
(D. 0005)
(D. 0006)
(D. 0007a)
(D. 0007b)
(D. 0007c)
(D. 0007d)
(D. 0007e)
(D. 0007f)
(D. 0007g)
(D. 0008)