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UNIVERSITÉ DE ………………..

FACULTÉ DES LETTRES

DÉPARTEMENT DE LITTERATURES COMPAREES

Motivation de thèse

 

Projet de la thèse d’Alexander KIRIYATSKIY: Deux influences de GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) et de Bertran de Born (1140- v.1215) sur la littérature européenne  

pour obtenir le grade de Docteur en littérature comparée (Ph. D.) présentée publiquement par ALEXANDER KIRIYATSKIY

au Directeur de Thèse:

………………………………………………………………………………….

 

    1) Introduction:

I)                 L’introduction explique le concept de  la thèse de niveau doctorant formule sa tâche sur la base de deux influences de Guillaume IX et de Bertran de Born. Le premier chapitre «Un peu de l’histoire des langues romanes et de sa littérature» montre le développement de la littérature médiévale du VI siècle au XIII siècle. Le fondement de l’introduction analysera pourquoi le deuxième malléine n’appartient pas au Moyen Âge selon l’histoire de la littérature: http://www.anagnosis.org/ana/?q=node/67

  VIe siècle

Boèce (traduit quelques traités d'Aristote, source de la scolastique ; sa Consolation de la philosophie est très lue) http://www.gelahn.asso.fr/age18.html http://www.philo5.com/Les%20philosophes%20Textes/Boece_ConsolationDeLaPhilosophie.htm
Saint Benoît fonde les institutions monastiques occidentales. http://perso.orange.fr/jean-francois.mangin/merovingiens/dim_religieuse_mero.htm
Cassiodore, homme d'état italien, au service du roi goth Théodoric, puis moine en Calabre. http://www.antiquite-vivante.ch/archives/4  Il lie la foi chrétienne et la pensée romaine dans ses Institutiones divinarum & saecularium litterarum. http://www.musicologie.org/publirem/hmt/hmt_cassiodore.html

-- Bénédicte de Nurse http://www.ora-et-labora.net/Benedetto_da_Norcia.html

--Dracontius http://ars-scribendi.ens-lsh.fr/article.php3?id_article=41
Venance (Venante) Fortunat (fournit les modèles de la poésie courtoise, et de l'épopée hagiographique) http://www.diocese-poitiers.com.fr/spirituel/fortunat/fortunat.htm
Grégoire le Grand, pape (pour ses écrits doctrinaires et moraux) http://www.jesusmarie.com/gregoire_le_grand.html
Isidore de Séville   http://fr.wikipedia.org/wiki/Isidore_de_S%C3%A9ville   (pour ses Étymologies ; évêque wisigoth, compilateur du savoir antique). http://www.editions-beauchesne.com/product_info.php?products_id=513

 

·  VIIe - VIIIe siècles


Bède le Vénérable (672-735)
Boniface (mort en 754)

·  Période de la dynastie des Carolingiens (de Pépin le Bref à Louis V : 751-987)

VIIIe - IXe siècles

Alcuin
Théodulphe
Paul Diacre

Xe siècle

Gerbert (on peut lire ici un échange épistolaire entre Gerbert et l'empereur Othon III)

Il y a le désir des écrivains médiévaux que soient réanimée deux idéaux. Ils sont l’antiquité cristallisée et la statique (absence de mouvement)  sans évolution. Pour quelle raison le Moyen Âge idéalisa le IV siècle et sa lutte contre le développement des patois barbarisées.         

Le premier paragraphe enveloppera la problématique a) Les œuvres poétiques du IXème XIème siècles selon leurs deux formes sans rimes comme la «Cantilène de Sainte Eulalie» et la «Chanson de Rolland» et avec la rime comme «La Vie de Saint Léger» et les chanson des troubadours.

Le paragraphe b) L’existence des réflexions poétiques de «La Vie de Saint Léger» des troubadours en italien du XIIème  siècle http://www.classicitaliani.it/intro/intro038.htm . La mutation de «La Vie de Saint Léger» et des troubadours dans  «Le Rythme de saint Alexie» http://www.classicitaliani.it/varia/ritmi.htm#rit6 : la confrontation brèves de touts les deux selon la méthodologie mentionnée dans le mémoire MASTER 2.

Le chapitre II) de l’introduction détermine le concept «Poètes troubadours»

a) La numération des troubadours plus fameux dans l’histoire de leur littérature fait apparaître la même numération des trouvères, alors que le monde soutient la tendance des trouvères et en même temps refuse aux troubadours.

Le cinquième paragraphe e) sept groupes des alternances rimées et les règles des monorimes des troubadours de l’introduction au mémoire examine la diversité des alternances rimées dans la poésie des troubadours sur la base du livre d’Istvan Frank.- Répertoire métrique de la poésie des troubadours, 2 vol.- Paris: Champion, 1953-1957. Il présente la diversité des alternances rimées des troubadours: 1) L’alternance rimée appartient au premier groupe des monorimes, alors que tous les vers du poème n’ont que la même rime et nul autre AAA ……AAA, 2) L’alternance des rimes AAABAB appartint au deuxième groupe des monorimes, 3) L’alternance des rimes AAAB CCCB appartienne appartient à la troisième école du monorime 4) a La quatrième école A des rimes des troubadours a l’alternance  AAAAAABBBBBB b) Au quatrième groupe B des rimes des troubadours appartiennent les alternances, alors que cinq premières strophes n'ont que la même rime AAAAA+ un quatrain ou tous les quatre vers n'ont que l'unique autre monorime BBBB AAAAABBBB c) Au quatrième groupe C des rimes des troubadours appartiennent les alternances, alors que chaque nouveaux quatre vers n'ont que la même rime AAAA 5) a) L'alternance rimée ABBABBA appartient au cinquième groupe A des monorimes b) L'alternance rimée AABAAB appartient au cinquième groupe B des monorimes  6) L'alternance rimée AAAABAB appartient au sixième groupe des monorimes qui se rencontre mois souvent que tous les autres. 7) L’alternance ABCDCD du septième groupe A des monorimes et l’alternance ABABBC du septième groupe des monorimes.

Trois traits du mémoire selon le travail qui analyse les connaissances

I) Un peu de l’histoire des langues romanes et de ses littératures. /p. 3 /

a) Les œuvres poétiques du IX ième XI ième siècles. L’appartenance des œuvres du XIième siècle à trois cycles. /p.3/

b) L’existence d’un fragment poétique en italien du IXième siècle /p. 5 /

II) Concept «Troubadours»

a) L’absence de la rime dans le premier monument poétique en français au IX siècle. /p. 5 /

b) Les premières rimes primitives dans l’œuvre du X siècle. /p. 6 /

c) L’empreinte des rimes orientales des troubadours /p. 7 /

d) La numération des troubadours plus fameux dans l’histoire de leur littérature /p. 7 /

e) Sept groupes des alternances rimées selon les règles des monorimes des troubadours /p.  9 /

III) But finale

L’évaluation de l’héritage universelle du XIième siècle. /p. 12 /

IV) Méthodologie

a) Trois types de comparaisons et trois types de confrontation opposée. /p.  12 /

b) Trois groupes des facteurs qui aident, parfois, à analyser les poésies lyriques ou avec le sujet. /p. 13 /

GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) LES INFLUENCES SUR SES POEMES ET SES INFLUENCES

I) La maîtrise du jongleur des mots et des rimes.

a) Destin /p. 14 /

b) Invention des clés poétiques selon l’empreinte /p. 15 /

II) L’analyse partielle du septième poème «Pus vezem de novelh florir» de Guillaume IX duc d’Aquitaine selon la méthodologie mentionnée (les idées maîtresses, les problématiques, le credo, etc. et l’analyse sur la frontière entre la critique littéraire et la linguistique) L'influence des hymnes anonymes du VIII au IX siècles

a) La critique littéraire sans participation de la linguistique /p.  16/

b) L’utilisation de la critique littéraire sur la frontière avec la linguistique parce que l’évolution des langues oblige à correspondre au temps. /p. 21/

c) La domination de l’octosyllabe avec la rime A et des vers glyconiens qui s’utilise dans les sixains de Guillaume IX /p.22/

III) «Chanson», le meilleur poème de Guillaume IX selon le goût d’Alexandre Leupin de l’Université de Louisiane

a) Les citâtes de l'investigateur /p.22/

b) "IV Farai un vers de dreyt nien" et l'influence d'Ambrosius Mediolanesis (IV s.) et de Dracontius (V s.)/p.24/

c) Chanson sans notes.

IV) Dame Agnès ou Dame Arsèn dans les images opposées de deux chevaux dans le premier poème de Guillaume IX. L'influence d'Horace (I S. av. J. C.)

a) Le premier poème

b) Les traits du Moyen Âge qui formulent les goûts de ses poètes de néant. /p.31/

c) Première publication des troubadours

d) L’école poétique de néant au cœur de la dame

Les influences supposées de Guillaume IX sur Johan Ruyz d’Espagne, sur Jacopone da Todi avec deux poètes inconnus d’Italie et sur Colin Muset de la langue d’Oïl

I) a) Le sujet du poème «Monument» qui reflète l’humeur du poème «Pos de chantar m’es pres talentz» de Guillaume IX. L'influence de Gottschalk (? -868) et de Prudence (V s.)

b) De petit fragment du même poème «Pos de chantar m’es pres talentz» et son analyse partielle selon la méthodologie utilisée.

c) La supposition que Guillaume IX a influé sur la poésie de l’abbaye de Saint-Victor

II) Sept groupes des alternances rimées des troubadours arrivent en Europe

a) La réflexion de la chanson «Pos de chantar m’es pres talentz» dans la troisième école de rimes de Jacopone da Todi.

b) La réflexion du quatrième groupe A dans le quatrième groupe B en Italie

c) La réflexion de la chanson «Compaigno, non piuosc mudar qu'eo no m'effrei» de Guillaume IX dans la première école des monorimes

d) La représentation de la première école des rimes dans le «Rythme Laurentien» comme dans le premier poème en italien

e) Le poème «VIII. - Farai chansoneta nueva». L'influence de "Cambridge song" (X-XI ss.)

f) L’analyse partielle du poème «VIII. - Farai chansoneta nueva» selon la méthodologie mentionnée

g) La confrontation du «VIII. - Farai chansoneta nueva», d’un fragment de la «Comédie d’ânes» de Titus Machtius Plautus et d’un fragment du « Livre de Bon Amour» de Johan Ruiz au XIV siècle en Espagne.

h) La cinquième école des monorimes (1) L’alternance ABBABBA appartient au cinquième groupe A des monorimes dans le poème «Mout jauzens me prenc en amar » de Guillaume IX. L'influence de de Pierre Damien (1006 -1072) (2) L’alternance rimée AAB-CCB appartient le cinquième groupe B des monorimes

i) L’alternance rimée AABCBC du Xième poème «Ab la dolchor del temps novel» de Guillaume IX formule le septième groupe A des rimes alors que le XIII siècle construit le septième groupe B des rimes ABABBC dans la poésie de Jacopone da Todi. (1) Le Xième poème «Ab la dolchor del temps novel» de Guillaume IX. L'influence de de Venatio Fortunatus (VI s.)  

III) Les confrontations des poèmes de Guillaume IX. L’expression médiévale: "Farai un vers, pos mi sonelh" et son opposition narrative à Venance (ou Venante) Fortunat fondateur de la lyrique en Europe médiévale au VI s.

Le chapitre III) «But du travail» présente les tâches du mémoire et leurs motivations. La théorie de Freud selon la conception de l’amour de l’antiquité à travers le Moyen Âge

Le chapitre IV) «Méthodologie» détermine les modes qui sont utilisés dans les analyse littéraires des textes.

Le paragraphe a) Trois types de comparaisons et trois types de confrontation opposée présentent les sphères des connexions entre les œuvres comparées et confrontées.

Le paragraphe b) Modes de l’analyse comparative du quatrième chapitre présente les modes de l’analyse selon les facteurs objectifs et subjectifs.

 

GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) et BERTRAND DE BORN (1140- v.1215)

La première moitié du mémoire s’intitule La maîtrise du jongleur des mots et des rimes

Son chapitre I) Destin et talent de Bertran de Born n’a que deux paragraphes:

Son premier paragraphe a) Destin décrit la biographie de Guillaume IX sur la base de l’article «Tous droits réservés» (Mise sur la page le 11/2001© Poésie sur la Toile, 1999 – 2003).

Le deuxième paragraphe b) Invention des clés poétiques selon l’empreinte de Guillaume IX.

Le chapitre II) L’analyse littéraire basée sur les  idées maîtresses, les problématiques, les crédos, etc. et l’analyse sur la frontière entre la critique littéraire et la linguistique théorique selon le  métriques et les alternances des syllabes brèves et longues

Son premier paragraphe a) La critique littéraire sans participation de la linguistique

Le paragraphe (b) s’appelle L’utilisation de la critique littéraire sur la frontière avec la linguistique, parce que l’évolution des langues oblige à correspondre au temps. Il examine l’analyse sur la frontière entre la critique littéraire et l’évolution de la langue présente l’alternance des syllabes brèves et longues selon l’empreinte des derniers poèmes à Rome Antique. Il essaye de déterminer l’origine de Bertrand de Born sur la base de la poésie de Guillaume IX.

La deuxième moitié du mémoire intitulée Les influences supposées de Guillaume IX sur les troubadours MARCABRU (1130 - 1150),  Comtesse (Béatrice) De Die (vers 1200 ),  RAIMBAUT DE VAQUEIRAS ( …1180 - 1205 …), Cadenet (Elien Elzias ?) (...1160-1240...),  Blacatz (XIII s.), sur  Johan Ruyz d’Espagne sur Jacopone da Todi avec deux poètes inconnus d’Italie, et sur le trouvère Colin Muset de la langue d’Oïl.

 

Les influences supposées de Bertran de Born (1140- v.1215) sur les troubadours Guillem de Berguedan (1138 – 1192), Comtesse (Béatrice) De Die( vers 1200 ),  GUIRAUD DE CALANSON (... 1200 ...), et  sur les trouvère  JEAN BODEL (1165 ? - 1210),

Le paragraphe a) LE MONUMENT  opposé au monument d’Horace démontre que la volonté populaire était toujours opposée aux structures officieuses comme la même langue de Guillaume IX sans grammaire, sans gouvernement et sans rationalité au cœur. (1) Deux confrontations. (2) Le final du poème «Pos chantàr m’es près talèntz» la confrontation plainte de tous les deux poèmes.

b) Comparaison des formes entre «Pos chantàr m’es près talèntz» de Guillaume IX et  «Gosos de Santa María» de Johan Ruys http://www.cervantesvirtual.com/servlet/SirveObras/24661685545133385754491/p0000001.htm#6

c) Confrontation de Guillaume IX selon le poème selon «Pos chantàr m’es près talèntz» et Cadenet selon  «S'anc fui belha ni prezada» http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Cadenet.html .

Le paragraphe d) La supposition que Guillaume IX a influé sur la poésie de l’abbaye de Saint-Victor montre un fragment du poème très proche à la chanson «Pos de chantar m’es pres talentz». Il  permettait de supposer que la métrique et les alternances rimées de Guillaume IX ont influé sur les poètes de l’abbaye de Saint-Vicor et par contre. La thèse analysera leur comparaison des formes et des problématiques selon la méthodologie mentionnée.

Le chapitre II) Sept groupes des alternances rimées des troubadours arrivent en Europe analyse la réalisation des même alternances mentionnées dans l’introduction.

Le paragraphe a) La réflexion de la chanson «Pos de chantar m’es pres talentz» dans la troisième école de rimes de Jacopone da Todi présente la réflexion de l’alternance rimée «zadjal andalou» dans la poésie ecclésiastique à travers les intermédiaire troubadours. La thèse examinera quelques poème de Jacopone da Todi http://www.classicitaliani.it/duecento/Iacopo02.pdf qui pouvaient être composés sous l’influence de Guillaume IX à travers de Saint-Victor.

 

Le paragraphe b) Réflexion du quatrième groupe A dans le quatrième groupe B en Italie présente l’affirmation que Le quatrième groupes A des monorimes des troubadours a dix ou onze vers alors que les premiers six vers n’ont que le même monorime et le deuxième groupe de quatre à cinq vers n’a qu’une seule autre rime de tous les vers du deuxième groupe. Il est cité un fragment de la poésie de Bertrand de Born qui correspond aux exigences du quatrième groupe A des monorimes. Dans la deuxième partie du paragraphe il s’agit qu’À la quatrième école B des monorimes AAAAAAABB de clergés appartient le «Rythme Cassine», où on fait le discours entre l’orthodoxe d'orient et le catholique d'occident.

Comparaison entre le poème «Rassa tan creis e monta e poia» de Bertran de Born http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/BertrandDeBorn-1.html et de tout le «Rythme cassine» http://www.classicitaliani.it/varia/ritmi.htm#rit8 .

Le paragraphe c) La réflexion de la chanson «Compaigno, non piuosc mudar qu'eo no m'effrei» de Guillaume IX dans la première école des monorimes présente le deuxième poème du Guillaume IX comme le même monorime de tous les vers du poème, où ne se rencontrent aucune autre rime. Son alternance des syllabes longues et brèves du poème mentionné de Guillaume IX

E tenguatz// lo per vil//an qui no// l'enten
O dins son //cor volun//tiers (qui) non// l'apren;
Grev partir// si fa d'a//mor qui la// trob'a son// talen.

 est l’empreinte la quatrième strophe majeure d’Asclépiade qui était réalisé dans le poème « I — (AD MAECENATEM)» du livre  «CARMINVM LIBER PRIMVS — Odes I » de Quintus Horatius Flaccus. http://www.espace-horace.org/qhf/odes1.htm#i

 

·  Maecenas// atauis// edite //regibus,

·  o et prae//sidium //et dulce //decus meum,

·  sunt quos cur//riculo //puluer(em) O//lympicum

·  collegis//se iuuat// metaque //feruidis (Traductions   http://www.mythorama.com/caches_txt_fr/500_599/560/560.html  http://www.espace-horace.org/trad/patin/odes1.htm#i) L            a thèse examinera la première épreuve de l’utilisation de la métrique latine dans la poésie populaire et montrera ses tentatives de suivre les modèles classiques.

Le paragraphe du doctorat analysera la réflexion de la première école de monorime dans les chansons de Blacatz http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Blacatz.html , dans la poésie de MARCABRU http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Marcabru-1.html . Le.

  Le paragraphe d) du doctorat essayera de démontrer leur influence sur la formation de l’école poétique du «Rythme Laurentien» comme dans le premier poème fini en italien. Il essayera de montrer la connexion entre les images des chevaux  de Guillaume IX leur réflexion dans la naissance de la littérature italienne.

Le paragraphe e) La réflexion partielle du poème «VI - Ben vuelh que sapchan li pulzor» de Guillaume IX dans le poème «A chantar m'er de so qu'eu non volria» de Comtesse (Béatrice) De Die (vers 1200) http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/ComtessaDeDia.html après  

Le paragraphe f) analysera l’influence du Sixième groupe des alternances rimées sur le poème «Sire cuens, j'ai vielé,»  de Colin Muset http://www.arlima.net/ad/colin_muset.html; Ce paragraphe essayera de supposer que le poème «Sire cuens, j'ai vielé  était composé encore sous l’influence du poème «Pos chantàr m’es près talèntz» de Guillaume IX selon le troisième groupe rimé. Ce paragraphe fera  la confrontation plaine entre le poème «Sire cuens, j'ai vielé,»  de Colin Muset  et deux chansons «VI - Ben vuelh que sapchan li pulzor» et  «Pos chantàr m’es près talèntz» de Guillaume IX.

Le paragraphe g) fera les confrontations des sujets, selon la méthodologie mentionnée, du poème «VI - Ben vuelh que sapchan li pulzor» et de la «BALLADE SUR LE DÉPART AU PARADIS» de Vysotskiy.  

 

Le paragraphe h) analysera Le poème ”VIII. - Farai chansoneta nuevaet essayera de montrer  la réflexion de son deuxième groupe rimé sur le poème «Dirai vos senes doptansa» de Marcabru http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Marcabru-2.html ou le derniers vers B ne correspond pas à la métrique glyconienne. Encore ce paragraphe montrera l’influence sur la formation du deuxième groupe B  AAABAAB des monorimes dans le poème de Marcabru «PASTOURELLE» ou «L'autrier jost'una sebissa»

http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/Marcabru-5.html

 

Le paragraphe i) fera l’analyse complète de la chanson «VIII. - Farai chansoneta nueva» de Guillaume IX et de deux poèmes «Dirai vos senes doptansa» et  «L'autrier jost'una sebissa» de Marcabru d’après la méthodologie mentionnée selon les facteurs de la critique littéraire.

 

Le paragraphe j) La confrontation du «VIII. - Farai chansoneta nueva», d’un fragment de la «Comédie d’ânes» de Titus Machtius Plautus et d’un fragment du «Livre de Bon Amour» de Johan Ruiz au XIVe siècle en Espagne fait les parallèles entre Guillaume IX, Titus Machtius Plautus et Johan Ruyz et montre les réflexions de la poésie provençale et les poésie byzantine en Espagne sur le «chemin français».

 

Le paragraphe k) enveloppera la cinquième école des monorimes et ses 3 parties. (1) L’alternance ABBABBA appartient au cinquième groupe A des monorimes dans le poème «Mout jauzens me prenc en amar » de Guillaume IX.

(2)  L’alternance rimée AAB-CCB appartient le cinquième groupe B des monorimes. Elle est présentée dans un fragment du poème de Bertrand de Born :

Lo sen venzerem ab foudat
Nos Lemozi, et envezat,
Que volem qu'om do e r
ia,
Que.lh Norman en son enoiat
E Dizon, si.s n'eron tornat,
Jamais us no sai venria ...

Elle introduit les petites innovations dans le cinquième groupe A des monorimes et en même temps fait apparaître le cinquième groupe B. Cette partie montre la réflexion du même groupe dans le poème fameux «Stabat mater» de Jacopone da Todi. La réflexion du même groupe dans le poème de Johan Ruys «Cántica de loores de Santa María » http://www.cervantesvirtual.com/servlet/SirveObras/24661685545133385754491/p0000001.htm#95

 

En ti es mi esperança,            1684              

Virgen Santa María;

el Señor de tal valía

es razón de haber fiança.

Ventura astrosa,                     1685

cruel, enojosa,

captiva, mesquina,

¿por qué eres sañosa,

contra mí tan dañosa,

 et falsa vesina?

seule la première ligne du même poème de l’évêque d’Hita correspond au cinquième groupe A de Guillaume IX. L’analyse complétée des poèmes «Stabat mater dolorosa» de Jacopone da Todi et de la «Cántica de loores de Santa María » de Johan Ruys

 

(3) L’influence du cinquième groupe des monorimes sur le trouvère Jehan Bodel selon son poème «Congés»  

http://www.unibuc.ro/eBooks/lls/MihaelaVoicu-LaLiterature/Trouveres.htm

 

l) L’alternance rimée AABCBC du Xème poème «Ab la dolchor del temps novel» de Guillaume IX formule le septième groupe A des rimes  alors que le XIII siècle construit le septième groupe B des rimes ABABBC dans la poésie de Jacopone da Todi.

 

m) Le septième groupe B des rimes ABABBC selon l’éloge I [XXII] de Jacopone da Todi

 http://www.classicitaliani.it/duecento/Iacopo01.pdf   et selon sa réflexion dans le petit changement dans le poème «Gosos de santa  Maria» de Johan Ruys

  http://www.cervantesvirtual.com/servlet/SirveObras/24661685545133385754491/p0000001.htm#89  

 

 n) La supposition que l’origine du septième groupe B était le poème «Be-m platz lo gais temps de pascor» de Bertran de Born http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/BertrandDeBorn-3.html. Cette alternance du septième groupe A1 ABABCCBCC  pouvait devenir l’origine de l’alternance rimée du poème «Ab joi et ab joven m'apais» de  Comtesse (Béatrice) De Die http://histoire-ma.chez-alice.fr/troubadours/Troubadour/ComtessaDeDia.html . Leur confrontation selon la méthodologie mentionnée.

      

III) L’influence de la racine du septième groupe des alternances rimées sur les trouvères

 

 

 

Epilogue: La création des troubadours

 

Motivation du doctorat Deux influences de GUILLAUME IX DUC D'AQUITAINE (1071-1127) de Bertran de Born (1140- v.1215) sur la littérature européenne  d'Alexander Kiriyatskiy

La motivation du doctorat est la cause de l'analyse systématique de la formation de la première poésie non en latin. Les racines de la même cause sont les traditions de néant dans la poésie des troubadours. Le XXIème siècle a besoin de la nouvelle reconnaissance de poètes qui ont renouvelé toute la littérature européenne. Elle a formulé les premiers ordres des rimes et des métriques. La cause de la composition du doctorat est le désir de ne pas séparer la poésie des patois romans et d'analyser l'influence supposée de deux troubadours la naissance de la poésie française italienne et espagnole. La tâche du doctorat enveloppera la base des nouvelles empreintes de la poétique orientale. Elles aideront à analyser de nouveau les changements de l'époque des croisades, parce qu'elles montreront les connexions entre 1) Le désir de réanimer l'empire antique et formuler le nouveau, celui qui n'existait pas. 2) L'analyse des connexions entre le passé et le futur nous permettront de comprendre la problématique de l’époque comme la mesure de celle-ci. La tâche de thèse posera la question: «Pourquoi les alternances rimées des troubadours ont réussi à influer sur la poétique ecclésiastique alors que l'église était toujours contre le développement des patois populaires. 3) Le but du doctorat est l'analyse de sept groupes des alternances rimées qui ont produit leurs propres types A, B, C, D, etc dans la poésie des autres poètes occitaines et des poètes des autres peuples. 4) La liberté et la nécessité dans les choix formule la deuxième Renaissance après l'époque de Charles Magne. La cause de la composition de thèse est la nouvelle comparaison et la nouvelle confrontation entre ces deux renaissances conditionnelles.

L’objet de la thèse est fondée sur la nouvelle compréhension du XXIème siècle qui devra présenter la nouvelle idée maîtresse où il s'agira comment l'hérésie de la symbolisation de l'amour a vaincu la tradition poétique de l'Europe.

 

Le doctorat essayera de systématiser de nouveau le développement de la littérature du XII au XIV siècle en Europe.

            

Méthodologie

 

a) Trois types de comparaisons et trois types de confrontation opposée.

 

Deux matières s’opposent mais l’une dépend de l’autre. Elles sont la comparaison et la confrontation opposée. Beaucoup de faits et phénomènes se recherchent selon leurs rapports. Chaque fois des facteurs se rencontrent dans les sphères jamais étudiées ou peu investiguée.

       Se comparent et se confrontent les œuvres d’une seule nationalité avec les œuvres des peuples proches, distincts ou éloignés l’un de l’autre. Aussi s’analysent les œuvres qui ont été composées en langues appartenant à un seul groupe linguistique et à des groupes différents. S’étudient des œuvres écrites aussi aux périodes différentes de l’histoire.

       (A) Comparaison se considère l’étude des facteurs communs. Le but de la comparaison se trouve dans la construction des parallèles historiques, dans la recherche et dans la systématisation des nombreux facteurs généraux et subjectifs. Les deux types de facteurs déterminent le fond et la vigueur des influences littéraires.

       Telles définitions permettent de comprendre mieux l’évolution de toute la littérature mondiale.

       En Russie et en Italie la matière “Comparaison traditionnelle“ a trois types qui ne dépendent pas des périodes historiques. (A 1) Le premier se fond sur l’influence de l’œuvre essentielle lorsque se déterminent une seule source et une seule réminiscence (thème emprunté) développée dans des œuvres différentes mais appartenant à un seul genre.  (A 2) Le deuxième type d’analyse comparative conduit aux limites entre comparaison et confrontation opposée. Ses œuvres appartiennent à une seule source mais de sujets différents. Ils sont unis seulement comme réflexion de la première œuvre lorsque la première devient manifestation indirecte de la deuxième. (A 3) Le troisième type de comparaison recherche lyrique où le sujet n’existe pas et chaque forme ou chaque influence idéologique ou quelque phénomène historique devient la source.

       (B) La confrontation oppose les littératures qui ont des sujets différents sans origines communes. Les confrontations se divisent dans trois types. (B1) Le premier étudie les œuvres absolument opposées pour démontrer la variété d’un seul genre et pour confronter la diversité de foi esthétique. (B 2) Le deuxième type recherche littératures avec absence d’une seule source et de réminiscence commune, il analyse les destins similaires de leurs écrivains. C’est pourquoi le deuxième type analyse les indices égaux. Ils se recherchent dans les matières analysées. Si les deux œuvres ne développaient pas le même thème et si elles ne provenaient pas de la même source, existerait une autre source indirecte de tous les deux qui devient la somme des indices communs. Les indices communs, qui se rencontrent dans les littératures de peuples différents, se fondent sur l’influence d’une partie de la première œuvre essentielle. Cette première œuvre détermine indirectement le sujet de la deuxième œuvre. Le deuxième type de confrontation désigne parallèles historiques entre les littératures de nombreux peuples lorsqu’en ces dernières se rencontrent les indices communs recherchés. S’enveloppe le but général du deuxième type de confrontation et passe la recherche des indices communs â l’intérieur des littératures. Elles se confrontent, sont été constituées les escaliers d’époques et en même temps se comparent. Ce même deuxième type de confrontation sera utilisé dans le processus de la composition du doctorat.

       (B 3) Le troisième type de confrontation est voisin du premier type de comparaison et se sert lorsque se recherche l’influence d’un chef-d’œuvre sur les œuvres mineures (que soit impossible de comparer à telle chef-d’œuvre les œuvres subordonnées). Selon le troisième type de confrontation les œuvres subordonnées n’en sont que la réflexion.

b) Modes de l’analyse comparative:

       Deux types des méthodes existent selon les comparaisons et les confrontations. Ici il s’agit des analyses générales (1) et des analyses subjectives (2) utilisées dans les recherches.

       (1) Les premiers étudient les sphères générales. Elles sont les facteurs historiques (1 a), les idées généralisées (1 b), les problématiques (1 c), les thématiques (1 d), les idéals esthétiques (regard sur le monde et recherche d’idéals dans le monde) (1 e), le credo artistique (1 f), les intentions esthétiques (1 g), les compositions poétiques (1 h), le développement des événements (1 i), les tendances (1 l), les genres (épique, dramatique, lyrique, etc..) (1 m), les formes (prose ou poésie) (1 n), les procédés de la recherche (d’exploration, de généralisation, d’individualisation, d’évaluation, de contemplation et d’état intermédiaire entre la critique littéraire et la linguistique théorique) (1 o).

       (2) Les deuxièmes facteurs subjectifs se présentent comme plus concrets et plus isolés parce qu’ils se réalisent dans des comparaisons plus souvent que dans des confrontations opposées. Les méthodes subjectives sont composées selon trois groupes. 

       (2.1) Les facteurs, qui entrent dans le premier groupe, soulignent les particularités des arguments, les développements des événements et de l’individu. Ils sont le sujet et l’argument (2.1. a), l’évolution des sujets (commencement, culmination et nombreux départs (ils peuvent constater la solution des conflits, le fin tragique, l’absence de solution des problèmes mais ils laissent l’espoir en avenir, etc.) (2.1. b). Aussi les facteurs du premier groupe aident à évaluer les personnages essentiels et secondaires (2.1.c), les caractères des personnages (2.1.d), les particularités psychologiques des personnages (2. 1. e), ils déterminent les types des héros (2.1.f), l’intériorité psychologique (2.1.g), les types de relation entre les personnages (2.1.h), les différences des relations des écrivains avec leurs personnages (2.1.i) et les styles du discours entre les héros (2.1.l)

       (2.2) Le deuxième groupe de facteurs subjectifs de comparaison et de confrontation comprend la poésie et la prose poétique des genres lyrique, dramatique et épique. Il analyse les concepts successifs aux facteurs suivants: au lexique poétique (2.2.a), aux règles synthétique de la prose (2.2.b), à la sémantique poétique (2.2.c) et à la rythmique poétique (alternance des syllabes (iambe, coré, hexamètre, dactyle, strophe saphique, etc.) et métrique (décasyllabe, endécasyllabe, etc.)) (2. 2. d).

       (2.3) Le troisième groupe des facteurs examine les tropes: les épithètes (2.3.a) et les comparaisons sémantiques (2.3.b).

       Les facteurs de ces méthodes seront utilisés dans le processus de la composition de l’analyse.

But finale.

 

La première poésie en langue populaire, dont le sujet et le développement des idées des nouvelles relations entre le lecteur écouteur et le poète chanteur n’existaient pas encore au XIe siècle, doit inventer la nouvelle base qui aura devenu l’héritage universelle de la littérature de toute l’Europe. La critique littéraire doit être le trait distinct des chansons des troubadours qui sont entrés dans la poésie mondiale et sont resté dans les poésies des autres langues (espagnole, italienne et russe). La pensé s’exprime très souvent dans le choix de l’alternance de la rime et de la métrique, elle peut être comprise exactement seulement selon le développement du sujet, selon les images et selon les influences. Cette partie de l’étude doit embrasser tous les aspects de l’analyse et la particularité du temps des troubadours. Le but du travail consiste en démonstrations qui font comprendre la guerre entre la latinisation de toute l’Europe et la naissance de la poésie populaire de néant. En fin de l’analyse, se réaliserait la preuve de la traduction poétique en français de tous les poèmes en langues étrangères comme de Guillaume IX duc d’Aquitaine qui seront utilisés dans la composition du doctorat. Le but du doctorat est l'utilisation de toute la méthodologie mentionnée pendant le processus de la composition.

 

 

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